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Charles Wellington Furse

Charles Wellington Furse, né le à Staines, mort le est un peintre anglais.

Charles Wellington Furse
Tombe de Charles Wellington Furse dans le jardin de St Peter's Church à Frimley
Naissance
Décès
(à 36 ans)
Nationalité
Activité
Père
Charles Wellington Furse (en)
Mère
Jane Diana Monsell (d)
Fratrie
John Henry Monsell Furse (d)
Elizabeth Diana Furse (d)
Mary Theresa Furse (d)
William Furse (en)
Edith Furse (d)
Conjoint
Katharine Furse (en) (à partir de )
Enfants
Peter Reynolds Furse (d)
Paul Wellington Furse (en)
Vue de la sépulture.

Fils du Révérend. C. W. Furse, archidiacre de Westminster, et recteur de St John's il descend aussi de Joshua Reynolds. Il ne vécut pas très longtemps, mais si bref qu'ait été le temps que le destin lui impartit, cela ne l'empêcha pas de devenir un « artiste important[1] » au point d'occuper une place éminente dans l'histoire de l'art du portrait en Angleterre, qui va de l'époque où Antoine van Dyck « fut appelé à la cour de Charles Ier d'Angleterre jusqu'au XXe siècle[2]. »

Francis Galton portrait par Charles Wellington Furse, National Portrait Gallery, Londres

Dès l'âge de sept ans il réalisa des dessins en vue d'illustrer les romans de Walter Scott. Il entra à la Slade School of Fine Art en 1884, obtenant la bourse Slade l'année suivante. Il complète sa formation à l'Académie Julian à Paris. Il vit son travail acharné souvent interrompu par la maladie, « car les symptômes de la tuberculose étaient déjà apparus quand il fréquentait la Slade School. La réalisation d'un important tableau intitulé Cain est sa première contribution à la Royal Academy à laquelle il fut élu l'année de sa mort. Quelques années auparavant, il avait ardemment soutenu le New English Art Club aux expositions duquel il contribua de manière constante[2]. »

Il peignait ses portraits de telle façon que les personnes représentées y apparaissent avec naturel, semblant dégagées des contraintes liée à la pause dans l'atelier de l'artiste.

En il épouse Katharine Symonds, la fille de John Addington Symonds. Il meurt quatre ans plus tard après lui avoir donné deux fils.

Bibliographie

  • (en) William C. Lubenow, Liberal intellectuals and public culture in modern Britain, 1815-1914 : making words flesh, Woodbridge Rochester, NY, Boydell, , 252 p. (ISBN 978-1-84383-559-2, lire en ligne).

Notes et références

  1. William .C. Lubenow, Liberal Intellectuals and Public Culture in Modern Britain, 1815-1914: Making Words Flesh, The Boydell Press, New York, 2010, p. 68.
  2. Encyclopaedia On Line.

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