Charles-Marie Simon
Charles-Marie Simon, né à Machault (Ardennes) en 1782 et mort à Reims le , est un médecin français.
Biographie
Il fut docteur en médecine de la Faculté de Paris, professeur à l’École secondaire de médecine de Reims, officier de l’Université, chirurgien en chef adjoint de l’Hôtel-Dieu de Reims Il soutient, en 1809 à Paris, sa thèse « Dissertation du l’Hermatémèse »[1].
Bienfaiteur des hospices, il légua une somme de 40.000 francs, affectée à la construction d’un asile pour les aliéné. Il mourut célibataire et repose au cimetière du Nord de Reims[2].
Hommage
Son nom a été donné à la rue ou étaient établis au n° 51, l’école de médecine et pharmacie, dirigée en 1910 par le docteur Jean-Baptiste Langlet (qui fut maire de Reims de 1908 à 1919) et au n° 53, l’hôpital civil (devenu aujourd’hui le musée Saint-Remi)[3], rue Simon.
Bibliographie
- Thèse : dissertation du l’Hermatémèse.
Article connexe
Notes et références
- https://www.google.fr/books/edition/Catalogue_des_imprim%C3%A9s_du_Cabinet_de_Re/YxjcgOfH2-EC?hl=fr&gbpv=1&dq=reims+docteur+Simon&pg=PA290&printsec=frontcover
- Source : Jean-Yves Sureau dans La Vie RĂ©moise
- https://www.lardennais.fr/art/825648/article/2016-10-21/la-rue-simon-a-reims-de-1904-a-nos-jours