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Buckingham Nicks

Buckingham Nicks est le seul album studio du duo rock Buckingham Nicks. L'album sort en 1973, il est produit par Keith Olsen et distribué par Polydor Records. Buckingham Nicks est notable dans le fait qu'il marque le début de la collaboration commerciale entre Stevie Nicks et Lindsey Buckingham, qui rejoindront plus tard Fleetwood Mac.

Buckingham Nicks
Album de Buckingham Nicks (Stevie Nicks et Lindsey Buckingham)
Sortie
Enregistré 1973
Sound City Studios, Los Angeles, California
Durée 36:42
Genre Rock
Producteur Keith Olsen
Label Anthem/Polydor/Quality (Canada)

Albums de Buckingham Nicks (Stevie Nicks et Lindsey Buckingham)

L'album est un échec commercial à sa sortie[1] - [2], et malgré la réussite ultérieure du duo, il n'a jamais été re-masterisé ou re-publié sur un autre support depuis 1973[3].

Origines

Avant l'enregistrement de l'album Buckingham Nicks, Lindsey Buckingham et Stevie Nicks jouĂšrent ensemble dans le groupe The Fritz Rabyne Memorial Band[4] - [5]. Le duo se rencontra alors qu'ils Ă©taient tous deux au lycĂ©e de Menlo-Atherton Ă  Atherton, en Californie, au sud de San Francisco. À l'Ă©poque, Nicks Ă©tait senior Ă  l'Ă©cole secondaire et Buckingham, un an plus jeune, Ă©tait junior[6]. Selon Nicks, ils se seraient rencontrĂ©s pour la premiĂšre fois lors d’un rassemblement informel de jeunes de l’école en 1966[5] - [7]. Nicks et Buckingham se seraient retrouvĂ©s en harmonie avec ce que certains prĂ©tendirent ĂȘtre une chanson des Beach Boys, bien que Nicks affirme elle-mĂȘme avoir chantĂ© California Dreamin', un single de The Mamas and The Papas, dans une interview accordĂ©e Ă  The Source en 1981[6] - [7]. NĂ©anmoins, aprĂšs cette rencontre Nicks et Buckingham n'ont plus collaborĂ© pendant deux ans[7]. En 1968, Buckingham invita Nicks Ă  chanter avec The Fritz dans lequel il jouait de la basse avec certains de ses amis du lycĂ©e[7]. Nicks parle de sa venue au sein de The Fritz dans une interview de Us Weekly en 1988 :

«J'ai rencontré Lindsey quand j'étais au lycée lorsqu'il était junior, et nous avons chanté une chanson ensemble aprÚs les cours. Deux ans plus tard, en 1968, il m'a appelé et m'a demandé si je voulais faire partie d'un groupe rock. J'avais joué de la guitare et faisait du chant assez bien mais totalement orienté folk. J'ai donc rejoint le groupe, et quelques semaines plus tard, nous avons fait l'ouverture de gros concerts : Jefferson Airplane, Janis Joplin. Tout d'un coup, j'étais dans le rock & roll.»[7]

Bien que Nicks et Buckingham n'aient jamais jouĂ© leur propre musique originale avec The Fritz, le groupe leur a donnĂ© l'opportunitĂ© d'acquĂ©rir de l'expĂ©rience sur scĂšne, en se produisant devant des foules tout en s'ouvrant Ă  des chansons rock couronnĂ©es de succĂšs[7]. Grace Slick des Jefferson Airplane, Janis Joplin de Big Brother and the Holding Company et Jimi Hendrix, dont The Fritz a Ă©galement fait l'ouverture, ont tous influencĂ© Nicks et son personnage de scĂšne en devenir. Le manager du groupe, David Forrester, travailla dur afin d'obtenir un contrat pour The Fritz, bien que leur son ne correspondait pas exactement Ă  la musique psychĂ©dĂ©lique de leurs contemporains les plus populaires[8]. Le duo continua de tourner avec The Fritz durant trois ans, jusqu'Ă  ce que le groupe soit finalement dissous en 1971[8]. AprĂšs avoir dĂ©veloppĂ© une relation amoureuse, en plus de leur travail, Nicks et Buckingham dĂ©cidĂšrent peu de temps aprĂšs de partir de San Francisco pour Los Angeles afin de poursuivre leurs rĂȘves d'ĂȘtre signĂ©[8].

Enregistrement et production

Tout en jouant avec The Fritz, Nicks assistait Ă  des cours de communication orale Ă  l'UniversitĂ© d'État de San JosĂ©[4]. Buckingham l'a rejoignit Ă  l'universitĂ©, rĂ©ussissant Ă©galement Ă  Ă©quilibrer les Ă©tudes et la musique[4]. En 1972, ils continuĂšrent Ă  Ă©crire des chansons, enregistrant des bandes de dĂ©mo la nuit Ă  Daly City sur un magnĂ©tophone Ampex Ă  quatre pistes de Buckingham conservĂ©s Ă  l'usine de torrĂ©faction de son pĂšre[9] - [10]. Ils dĂ©cidĂšrent d'abandonner les Ă©tudes et de partir Ă  Los Angeles pour trouver une proposition d'enregistrement[4]. Le magnĂ©tophone Ampex toujours avec eux, ils continuĂšrent d'enregistrer des chansons en dĂ©mo[10]. Nicks eue plusieurs emplois durant cette pĂ©riode. En tant qu'hĂŽtesse Ă  Bob's Big Boy[11] - [12], serveuse Ă  Clementine[13] et comme femme de mĂ©nage pour le producteur de disques Keith Olsen, afin de se soutenir financiĂšrement avec Buckingham. D'un commun accord ils avaient dĂ©cidĂ© qu'il serait mieux pour Buckingham de ne pas travailler et de se concentrer plutĂŽt Ă  perfectionner sa technique de guitare[7]. Nicks et Buckingham ne tardĂšrent pas Ă  rencontrer Keith Olsen, alors ingĂ©nieur du son au studio Sound City, ainsi que les entrepreneurs occasionnels Ted Feigan et Lee LaSeffe[8]. Buckingham et Nicks jouĂšrent certaines de leur musique et tous furent impressionnĂ©s par ce qu'ils entendirent[8]. Peu de temps aprĂšs, LaSeffe rĂ©ussi Ă  obtenir un accord de distribution avec Polydor[8]. Nicks parle de cette sĂ©rie d'Ă©vĂ©nements dans une interview avec The Island Ear en 1994 :

«Nous avons eu d'excellentes dĂ©mos. Nous avons dĂ©marchĂ©. Pendant un certain temps, nous avons passĂ© un accord avec Polydor et avons sorti notre premier album, Buckingham Nicks. Nous avons eu un avant-goĂ»t du grand moment. Nous avons eu d'excellents musiciens dans un grand, grand studio. Nous y arrivions. Les choses allaient leur chemin. Mais jusqu'Ă  ce moment lĂ , je pensais tout quitter et retourner Ă  l'Ă©cole parce que j'en avais marre d'ĂȘtre malheureuse et que je dĂ©testai ĂȘtre pauvre.»[7]

Waddy Wachtel a été l'un des musiciens embauchés pour aider à l'enregistrement de l'album[8]. Il parle de sa relation avec le producteur Keith Olsen ainsi que sa relation avec Nicks et Buckingham sur son site

«Donc, Keith [Olsen] et moi avons commencé à travailler ensemble. C'était aux alentours de '68, '69. Et c'est à partir de là que les choses ont commencé. C'est là que Keith est venu un jour et m'a dit : «Je ramÚne ce couple de Nord de la Californie, Stevie et Lindsey. Et je veux que tu joues sur leur disque.» J'ai joué sur l'enregistrement de Buckingham Nicks. Tous les trois nous sommes devenus des amis trÚs proches. Nous étions toujours ensemble.»[14]

Promotion

En 1973, Nicks dépensa 111 $ ($612 en 2017 dollars[15]) pour un chemisier blanc[16] pour la photo de couverture, mais le photographe, Jimmy Wachtel et Buckingham obligÚrent Nicks à enlever son haut lors de la prise de la photo[17] - [13].

«Je pleurais quand nous avons pris cette photo. Et Lindsey était en colÚre contre moi. Il m'a dit: «Tu sais, tu es juste une enfant. C'est de l'art.» Et moi de lui répondre : «Ce n'est pas de l'art, c'est moi qui prends une photo nue avec toi, et je ne chipote pas.»[18]

J'ai pensĂ©, « Qui ĂȘtes-vous? Tu ne me connais pas?"
 Je ne pouvais pas respirer. Mais je l'ai fait parce que je me sentais comme un rat pris au piĂšge.»[19]

En dépit de leurs efforts, Buckingham Nicks fut pratiquement ignoré par le personnel chargé de la promotion chez Polydor[8]. Grùce à sa diffusion par plusieurs disques jockeys de Birmingham en Alabama, l'album a été bien accueilli pendant les heures de soirée rock progressif WJLN-FM[20], et le duo a réussi à cultiver une base de fans relativement restreinte et concentrée pour ce type de musuque. Mais, ailleurs dans le pays, l'album n'a pas connu de succÚs commercial et a été rapidement supprimé du catalogue de la marque[8]. Découragés, Nicks et Buckingham passÚrent une grande partie du reste de 1973 à continuer à travailler en dehors de l'industrie de la musique pour payer leur loyer[8].

Cependant, leur musique ne tarda pas à tomber sur de bonnes oreilles. Celles de Mick Fleetwood, qui tout en évaluant des enregistrements, entendit le morceau Frozen Love dans les retours sons du studio Sound City[21] - [22]. Fleetwood invita le duo à rejoindre son groupe, Fleetwood Mac, pour le réveillon du Nouvel An 1974[23] - [24] - [25] - [26]. Plus tard, au El Carmen, un restaurant Mexicain, Lindsey rencontra Christine, Mick, et John. Nicks se joignant à eux aprÚs son service chez Clémentine, dans son costume de garçonne[27] - [28] - [29] - [30].

Tournées

Nicks et Buckingham partirent en tournĂ©e cette annĂ©e pour promouvoir Buckingham Nicks dans le sud des États-Unis[8]. Des enregistrements pirates Ă  partir de deux concerts Ă  Tuscaloosa et Birmingham, en Alabama, ont refait surface sur internet[31]. Ces concerts ont Ă©tĂ© les premiĂšres reprĂ©sentations de Rhiannon, Sorcier, et Monday Morning, ainsi que Lola (My Love), Frozen Love et Don't Let Me Down Again.

Le groupe en tournée se composait du bassiste Tom Moncrieff, qui plus tard a joué de la basse sur le premier album solo de Nicks, Bella Donna, et le batteur Gary "Hoppy" Hodges, qui joue de la batterie sur l'album. Waddy Wachtel a également fait partie de la tournée avec le groupe.

Moncrieff et Hodges ont ensuite formé le groupe Sinaï 48 avec un nouveau chanteur-compositeur-interprÚte en duo en 2006, marquant ainsi la premiÚre réunion des membres de Buckingham Nicks en dehors de la collaboration entre Buckingham et Nicks.

Perspectives de réédition

MalgrĂ© le succĂšs international que Nicks et Buckingham ont connu plus tard, Buckingham Nicks n’a jamais Ă©tĂ© officiellement publiĂ© sur CD. Il y a eu divers CD de cet album qui peuvent ĂȘtre achetĂ©s sur certains sites Web ainsi qu'une copie tĂ©lĂ©chargeable de cet album via divers sites d'hĂ©bergement de fichiers en ligne (la plupart ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s du vinyle). Une copie piratĂ©e intitulĂ©e Buckingham Nicks : Deluxe Edition de CorĂ©e du Sud, sous forme de Bootleg[32] est disponible en CD sur certains sites Web (y compris eBay) ainsi que par tĂ©lĂ©chargement gratuit sur divers sites. Cette version ajoute 12 pistes supplĂ©mentaires qui ont toutes Ă©tĂ© enregistrĂ©es par Buckingham Nicks Ă  peu prĂšs Ă  la mĂȘme pĂ©riode que l'album, mais n'ont pas Ă©tĂ© incluses dans l'album, probablement en raison des restrictions de temps sur le vinyle. Une copie de cet album qui proviendrait des bandes maĂźtresses (par opposition Ă  une copie extraite du vinyle) est Ă©galement disponible sur divers sites d'hĂ©bergement de fichiers en ligne.

Deux des dix chansons de l'album ont Ă©tĂ© diffusĂ©es sur CD. Long Distance Winner est sorti dans le cadre du coffret Enchanted de Nicks, et Stephanie est apparu sur un CD promotionnel de Buckingham intitulĂ© Words and Music (A Retrospective), bien que ce soit Ă©galement Ă  partir d'un transfert depuis le vinyle. Une autre chanson de l'album, Crystal, a Ă©tĂ© enregistrĂ©e par Fleetwood Mac pour le LP du groupe, Fleetwood Mac, en 1975. Elle a Ă©galement Ă©tĂ© enregistrĂ©e par Nicks pour la bande originale du film de 1998, Practical Magic. Don't Let Me Down Again a Ă©tĂ© enregistrĂ© par Fleetwood Mac pour leur album live de 1980, puisqu'il a Ă©tĂ© jouĂ© Ă  plusieurs reprises en tournĂ©e pour soutenir l'album Fleetwood Mac, avec Frozen Love. De plus, Buckingham a interprĂ©tĂ© Stephanie lors de sa tournĂ©e One Man Show en 2012. Stephanie figure Ă©galement dans l’album live, One Man Show. Nicks a interprĂ©tĂ© Cryin 'In The Night pour la premiĂšre fois depuis 1973[33] lors de sa tournĂ©e 24 Karat Gold Tour en 2016.

Dans une interview sur WRLT 100.1 Nashville du , Buckingham a manifestĂ© de l'intĂ©rĂȘt Ă  voir l'album sorti sur CD. Il a Ă©galement Ă©voquĂ© la possibilitĂ© d'une tournĂ©e Lindsey Buckingham-Stevie Nicks dans les prochaines annĂ©es Ă  l'appui de la possible rĂ©Ă©dition. Les musiciens Moncrieff et Hodges ont Ă©galement exprimĂ© leur intĂ©rĂȘt Ă  rejoindre Buckingham et Nicks pour une future tournĂ©e.

Dans une interview de NME en , Lindsey Buckingham a rĂ©itĂ©rĂ© son intĂ©rĂȘt Ă  donner Ă  l'album un CD officiel. Concernant la longue attente, il a dĂ©clarĂ© : «Il a Ă©tĂ© victime d'inertie. Nous avons bien l'intention de sortir cet album et peut-ĂȘtre mĂȘme de faire quelque chose avec lui.»[34]. En , Nicks espĂ©rait qu'une Ă©dition du 40e anniversaire de Buckingham Nicks serait publiĂ©e en 2013, affirmant qu'au moins une chanson inĂ©dite des sessions pourrait ĂȘtre incluse dans la sortie[35].

En , dans un entretien avec WZLX[36], Buckingham parle de la possibilité d'une sortie officielle du CD en 2013 :

«Stevie et moi avons traĂźnĂ© un peu ces derniers temps et nous en avons parlĂ©. Je pense que cela se produira Ă©galement cette annĂ©e. Curieusement, je dĂ©teste mĂȘme le dire, je pense que le 40e anniversaire de cela est l'annĂ©e prochaine. Waouh! Est-ce possible? Donc, nous en avons parlĂ©. Bien sĂ»r, nous en parlons depuis longtemps, mais Stevie semble vraiment dans l'idĂ©e. Alors oui, je dirais oui.»[36]

Le , Stevie et Lindsey, dans le cadre de Fleetwood Mac, ont sorti Extended Play, leur premier nouvel album studio depuis Say You Will en 2003, avec quatre chansons, soit trois nouvelles ainsi qu'un inédit provenant des sessions de Buckingham Nicks (« Without You ») qui était une démo « perdue » écrite à l'époque de Buckingham Nicks trouvé posté sur YouTube.

Liste des pistes

No Titre Durée
1. Crying in the Night 2:58
2. Stephanie 2:12
3. Without a Leg to Stand On 2:09
4. Crystal 3:41
5. Long Distance Winner 4:51
6. Don't Let Me Down Again 3:51
7. Django 1:02
8. Races are Run 4:14
9. Lola (My Love) 3:44
10. Frozen Love 7:16

Charts

Chart (1973) Position
U.S. Billboard Midline LP[37] 28

Personnel

Buckingham Nicks :

Musiciens :

Production :

  • Keith Olsen - producteur, ingĂ©nieur du son
  • Lee Lasseff - producteur exĂ©cutif
  • Richard Dashut - assistant ingĂ©nieur
  • Jimmy Wachtel - album le design, photographie

Références

  1. (en-US) Noel Murray, « Stevie Nicks and Lindsey Buckingham made a fine pop record pre-Fleetwood Mac », Music,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  2. (en) « What was a flop for Nicks, Buckingham music fans now consider a lost classic », Gadsden Times,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  3. (en-US) « Uncut's 50 greatest lost albums - NME », NME,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  4. Martin E. Adelson, « Stevie Nicks », sur www.fleetwoodmac.net (consulté le )
  5. Martin E. Adelson, « Lindsey Buckingham », sur www.fleetwoodmac.net (consulté le )
  6. Michael Loadenthal, « Donald Liddick. Eco-Terrorism: Radical Environmental and Animal Liberation Movements. Westport, Connecticut, Praeger Publishers, 2006 », Journal of Terrorism Research, vol. 2, no 1,‎ (ISSN 2049-7040, DOI 10.15664/jtr.182, lire en ligne, consultĂ© le )
  7. « Stevie Nicks on the Early Years 1966-1974 », sur www.inherownwords.com (consulté le )
  8. Shelley L. Rogers, Mick Fleetwood, Stephen Davis et Noel E. Monk, « Fleetwood: My Life and Adventures in Fleetwood Mac », Notes, vol. 48, no 2,‎ , p. 531 (ISSN 0027-4380, DOI 10.2307/942074, lire en ligne, consultĂ© le )
  9. « NICKSFIX.COM », sur www.nicksfix.com (consulté le )
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  11. (en-US) « Music: Lindsey Buckingham in Two Worlds », Mixonline,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
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  13. (en-US) Brian Hiatt, « Stevie Nicks: A Rock Goddess Looks Back », Rolling Stone,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
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  16. « Never before seen Buckingham Nicks Album Cover outtake Photos @StevieNicks @Lndsybuckingham », sur www.fleetwoodmacnews.com (consulté le )
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  21. (en-GB) « Episode 6, Series 1, Old Grey Whistle Test 40 - BBC Radio 2 », sur BBC (consulté le )
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  28. (en) Tim Jonze, « Fleetwood Mac's Stevie and Christine: 'We were like rock'n'roll nuns' », sur the Guardian, (consulté le )
  29. (en-US) « Mick Fleetwood on sex, rock ‘n’ roll and his alleged $60M drug habit », New York Post,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  30. (en) Stephen Davis, Gold Dust Woman : The Biography of Stevie Nicks, St. Martin's Press, (ISBN 978-1-250-03290-4, lire en ligne)
  31. « Old Trivia Questions », sur rockalittle.com (consulté le )
  32. (en) « Buckingham Nicks - Buckingham Nicks », sur Discogs (consulté le )
  33. (en) « How The Elusive 'Buckingham Nicks' Established Stevie Nicks' Songwriting Voice », NPR.org,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  34. (en-US) « Lindsey Buckingham: 'Fleetwood Mac will be back next year' - NME », NME,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  35. (en-US) Randall Roberts, « Stevie Nicks dishes on new and old work with Lindsey Buckingham », Los Angeles Times,‎ (ISSN 0458-3035, lire en ligne, consultĂ© le )
  36. « Lindsey Buckingham Talks Buckingham/Nicks Reissue: ‘I Would Say Yes’ 
 », archive.li,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  37. (en) Nielsen Business Media Inc, Billboard, Nielsen Business Media, Inc., (lire en ligne)

Liens externes

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