Blason d'Evere
Le blason d'Evere, sous sa forme actuelle, date du . Il est basé sur l'écu du dernier seigneur d'Evere, le vicomte Adrien Walckiers de Tronchiennes et sur le saint protecteur de la commune, saint Vincent.
Armoiries d'Evere | |
DĂ©tails | |
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Adoption | |
Ăcu | Parti, au premier d'or au faucon au naturel, contournĂ©, posĂ© sur un rocher de trois coupeaux de gueules, mouvant de la pointe et surmontĂ© d'une Ă©toile Ă six rais du mĂȘme ; au second de gueules au faucon au naturel posĂ© sur un rocher de trois coupeaux d'or, mouvant de la pointe et surmontĂ© d'une Ă©toile Ă six rais du mĂȘme. |
Tenants | tenu de la senestre par un saint Vincent auréolé assis tenant de la dextre un sceptre de lyses, le tout d'argent. |
Précédentes versions | 1387 |
Usage | Commune d'Evere |
Description
Son blasonnement est :
- Ăcu : vicomte Adrien Ange Walckiers de Tronchiennes (1721 - 1799)[note 1]
« Parti, au premier d'or au faucon au naturel, contournĂ©, posĂ© sur un rocher de trois coupeaux de gueules, mouvant de la pointe et surmontĂ© d'une Ă©toile Ă six rais du mĂȘme ; au second de gueules au faucon au naturel posĂ© sur un rocher de trois coupeaux d'or, mouvant de la pointe et surmontĂ© d'une Ă©toile Ă six rais du mĂȘme. »
- Tenant :
« Ăcu tenu de la senestre par un saint Vincent aurĂ©olĂ© assis tenant de la dextre un sceptre de lyses (fleurdelysĂ©), le tout d'argent. »
Historique
Le blason crĂ©Ă© par le conseil communal dirigĂ© par le bourgmestre Willem Van Leeuw est officialisĂ© par arrĂȘtĂ© royal signĂ© en date du [1].
Sceau communal
Le sceau communal reprenant le blason de la commune date de 1931[2] (sans les deux Ă©toiles Ă six rais).
La légende circulaire actuelle date de 1995[3] :
- français :
« ADMINISTRATION COMMUNALE D'EVERE - ARRONDISSEMENT ADMINISTRATIF DE BRUXELLES-CAPITALE »
- néerlandais :
« GEMEENTEBESTUUR EVERE - ADMINISTRATIEF ARRONDISSEMENT BRUSSEL-HOOFDSTAD »
Notes et références
Notes
- Adrien Walckiers a été créé vicomte en 1786.
Références
- Tribot et Defawe, op. cit., p. 3.
- Pieter Cnops, op. cit., p. 108.
- Pieter Cnops, op. cit., p. 110.