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Bermondsey

Bermondsey (/ˈbɜrməndziː/) est un quartier de Southwark, situĂ© au sud de Londres, au Royaume-Uni.

Bermondsey
Peinture de Joris Hoefnagel datant de 1570 et reprĂ©sentant une fĂȘte Ă  Bermondsey.
GĂ©ographie
Pays
RĂ©gion
Londres (d)
Police area
NUTS2
Comté cérémonial
Borough londonien
Partie de
Bermondsey (en), Metropolitan Borough of Bermondsey (en), comté de Londres, Surrey (d), Metropolitan Board of Works area (d)
Baigné par
Coordonnées
51° 29â€Č 55″ N, 0° 04â€Č 33″ O
Fonctionnement
Statut
District de Londres (d)
Carte
Bermondsey, quartier du borough de Southwark

Situation géographique

SituĂ© dans le borough londonien de Southwark, Bermondsey a comme frontiĂšre le quartier de Borough & Bankside ainsi que celui de Walworth Ă  l’ouest, Rotherhithe Ă  l’est, Peckham au sud, et la Tamise au nord.

Bermondsey est situĂ© Ă  51° 29â€Č 56.83″ de latitude nord et Ă  0° 4â€Č 38.66″ de longitude ouest[1].

La superficie de ce quartier couvre un peu plus de 6,5 km2.

Toponymie

Les premiÚres mentions de Bermondsey datent du VIIIe siÚcle et sont présentes dans le Cartularium saxonicum[2], ouvrage dans lequel le Pape Constantin Ier accorde des privilÚges à un monastÚre à Vermondsey, ancien nom de ce quartier de Londres. Ensuite, vers le XIe siÚcle, le nom de Bermondsey apparaßt, mentionné comme tel dans le Domesday Book.

Le nom Bermondsey pourrait signifier « Beornmund's island », expression qui viendrait de Beorn (le prince) et de Mund (la main), dĂ©nominations donnant un certain sens important Ă  l’endroit d’un point de vue royal. Le terme « island » pourrait suggĂ©rer que le quartier de Bermondsey aurait eu un caractĂšre insulaire. Cependant Bermondsey aurait Ă©tĂ© seulement une zone qualifiĂ©e comme marĂ©cageuse en bord de Tamise. « Beornmund » a donnĂ© « Bermond » et le suffixe –ey, venant du vieil anglais –eg, signifie « Ăźle » et rappelle la dĂ©nomination « island » ; le tout donna Bermondsey. Il s’agirait donc d’une origine saxonne[3].

Histoire

Fouilles sur le site de l'Abbaye de Bermondsey montrant la trace encore existante des murs de celle-ci

Le lieu possĂšde une longue histoire commençant au nĂ©olithique et Ă  l’ñge de bronze : deux fosses datant de ces Ă©poques ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es et servent de traces importantes de ces pĂ©riodes. Des structures de bois y ont Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©couvertes, montrant dĂ©jĂ  les marques d'une agriculture dĂ©veloppĂ©e.

Une trace importante du passĂ© est la route romaine qui y a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e, reliant Londres Ă  Canterbury. Celle-ci fut Ă©galement utilisĂ©e lors de la pĂ©riode saxonne et pendant le Moyen Âge en gĂ©nĂ©ral. Le long de cette route ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s les restes de ce qui Ă©tait certainement un temple ou un site funĂ©raire, ainsi que des poteries. Tout ceci fut dĂ©couvert grĂące Ă  des fouilles de English Heritage[4], en 2005.

Sur le site de Bermondsey, des traces de la pĂ©riode saxonne ont Ă©tĂ© aussi retrouvĂ©es. DĂ©jĂ  au dĂ©but VIIIe siĂšcle, une Ă©glise, mentionnĂ©e par le Pape Constantin, aurait Ă©tĂ© construite Ă  Bermondsey, mais dont aucune trace n’a Ă©tĂ© retrouvĂ©e. Cependant en 1086, une Ă©glise a Ă©tĂ© construite Ă  Bermondsey, Ă©glise qui deviendra par la suite l’Abbaye de Saint-Sauveur. En 1154, Henri II y Ă©tablira sa cour. MalgrĂ© le dĂ©veloppement de cette abbaye, le lieu reste peu peuplĂ© car l'endroit est trop humide.

Peek Freans, ancien fabricant de biscuits, était basé à Bermondsey

Ce problĂšme d'humiditĂ© trouva un dĂ©but de solution au XVIe et XVIIe siĂšcles (Ă©poque des Tudors). En effet, la population commença une politique de drainage de sol dans le quartier de Bermondsey, permettant une meilleure agriculture. C'est Ă©galement Ă  cette mĂȘme Ă©poque que la premiĂšre Ă©cole primaire est construite Ă  Tooley Street, et que le Swan Theatre ouvre ses portes en 1592. À la fin du XVII et au XVIII, les cartes de Bermondsey montrent que le lieu est divisĂ© en champs drainĂ©s. Le quartier obtient Ă©galement une certaine renommĂ©e comme celui de centre de la tannerie, grĂące Ă  une charte accordĂ©e par la reine Anne de Grande-Bretagne en 1703, bien que la premiĂšre mention de cette activitĂ© remonte Ă  1192. Vers 1721, Bermondsey voit l'ouverture de son premier hĂŽpital construit par Thomas Guy, Ă  la St Thoma's Street : le Guy's Hospital. Au XIX et XXe siĂšcles, la zone s’industrialise avec une premiĂšre ligne de chemin de fer en 1836, pour devenir le quartier de Londres que l’on connait aujourd’hui.

Entre 1857 et 1989, les biscuits étaient fabriqués à Bermondsey, par la compagnie Peek Freans (en) (aujourd'hui amalgamée avec United Biscuits).

Personnalités

Alwin Child

Alwin Child est rĂ©pertoriĂ© dans les personnalitĂ©s ayant eu une histoire Ă  Bermondsey car, en 1082, il fonda en cet endroit-mĂȘme un monastĂšre consacrĂ© Ă  Saint-Sauveur, prieurĂ© mentionnĂ© dans le Domesday Book. Il construisit ce prieurĂ© selon l’ordre de Cluny pour des moines clunisiens de CharitĂ©-sur-Loire et le monastĂšre continua son activitĂ© jusqu’en 1372, pour devenir Abbaye quelques annĂ©es plus tard.

Catherine de Valois

Au XVe siĂšcle, la Reine Catherine, nĂ©e Catherine de Valois, femme d'Henri V et princesse française, est venue Ă  l’Abbaye de Bermondsey et y trouva logement. Elle s’y plut tellement bien qu’elle y resta jusqu’à sa mort.

Son histoire, et en particulier l’histoire de sa mort, reste gravĂ©e dans les anecdotes de l’Abbaye de Bermondsey. En effet, le , Henri VI, son fils qui sentait le dĂ©cĂšs de sa mĂšre approcher, envoya Ă  celle-ci, qui se trouvait Ă  Bermondsey, une tablette d’or dans laquelle se trouvait un crucifix ornĂ© de saphirs et de perles. Deux jours plus tard, sa mĂšre s’éteignit.

Élisabeth Woodville

Élisabeth Woodville, Reine DouairiĂšre et veuve d'Édouard IV, est Ă©galement une personnalitĂ© de Bermondsey puisqu’elle y passa la fin de sa vie.

Son exil Ă  Bermondsey commence en novembre 1486 lorsqu’une rĂ©bellion Ă©clate. Alors qu’elle l’avait aidĂ© Ă  monter sur le trĂŽne, Henri VII, petit-fils de la Reine Catherine, dĂ©clare, lors d’un Concile, que la Reine DouairiĂšre[5] Elisabeth a outrepassĂ© ses droits et celle-ci est forcĂ©e de se retirer dans l’Abbaye de Bermondsey. Elle y restera enfermĂ©e jusqu’en 1492, oĂč elle y dĂ©cĂšde des suites d’une maladie.

Thomas Pope

Thomas Pope, fondateur du Trinity College d’Oxford, est connu Ă  Bermondsey pour avoir fait abattre les bĂątiments de l’Abbaye afin d’y Ă©riger son hĂŽtel particulier dans les annĂ©es 1540. L’Abbaye ayant Ă©tĂ© dissoute par Henri VIII en 1537, Thomas Pope en profita pour l'acquĂ©rir et construire, par la suite, sa demeure personnelle.

Autres

  • Mary Clare Moore (1814-1874), religieuse irlandaise des SƓurs de la MisĂ©ricorde, infirmiĂšre de guerre et enseignante, est morte Ă  Bermondsey.

Culture

L'abbaye de Bermondsey

Esquisse de ce que devait ĂȘtre l'abbaye de Bermondsey.

Au dĂ©but du XIe siĂšcle, Bermondsey appartenait Ă  Édouard le Confesseur, et une Ă©glise y a Ă©tĂ© construite en 1086 par Aylwin Child et Guillaume II d’Angleterre, dit Guillaume le Roux.

DĂšs 1089 arrivent sur le site des moines de La CharitĂ©-sur-Loire dans la NiĂšvre (Bourgogne). Peu de documents, hormis les annales de Bermondsey, mentionnent la construction de ce la future abbaye ; mais ceux qui nous sont parvenus dĂ©crivent souvent la vie des religieux, notamment en ce qui concerne l’hospitalitĂ©. Cette charitĂ© Ă©tait un vĂ©ritable devoir pour les moines et l'abbaye car cette derniĂšre Ă©tait situĂ©e sur la route reliant Londres et Douvres.

À la suite des conflits entre France et Angleterre, Cluny Ă©prouve des difficultĂ©s Ă  rĂ©cupĂ©rer les taxes dues par les monastĂšres qui lui sont dĂ©pendants ; ces problĂšmes seront augmentĂ©s lorsqu'en 1289 Édouard Ier interdit aux prieurĂ©s d’envoyer quelque argent que ce soit Ă  la maison mĂšre ; les conflits avec la France se renforçant, le roi s'appropriera les prieurĂ©s clunisiens, notamment lors de la guerre de Cent Ans.

Richard Dunton[6] met fin au statut de maison étrangÚre du prieuré de Bermondsey. Reconnu comme anglais, le monastÚre sera épargné de nombreuses taxes. En 1399, le Pape Boniface IX élÚvera le prieuré de Bermondsey au statut d'abbaye. Elle prend alors le nom de St-Sauveur et devient abbaye bénédictine.

À partir de 1538, l’abbaye est propriĂ©tĂ© de la couronne et, par la suite, rachetĂ©e par Thomas Pope. Ce dernier la dĂ©truit et y construit un manoir privĂ©, oĂč Élisabeth Ire d'Angleterre lui rend visite en 1570.

Peu de traces de son existence subsistent : en effet, les pierres du site ont Ă©tĂ© utilisĂ©es pour d’autres constructions dĂšs le XVIe siĂšcle. Il est possible nĂ©anmoins constater son passĂ© et l'imaginer grĂące au plan des routes qui donne une indication sur sa situation et sa grandeur, car celles-ci s’étalaient tout autour de l’abbaye. D’autre part, des fouilles du museum of London et la sociĂ©tĂ© Pre-Construct Archaeology Ltd[7] s'organisĂšrent de 1998 Ă  , rĂ©vĂ©lant des restes archĂ©ologiques de l'abbaye dont un plat en argent qui daterait du XIVe siĂšcle.

En 1667, l’église Ste-Magdalen est construite sur les traces de l’ancienne abbaye.

L'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine

St Mary Magdalen Church, ou l'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine, dans le quartier de Bermondsey.

Construite en 1667 sur le site de St Sauveur, l'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine (ou St Mary Magdalen Chrurch) est une Ă©glise anglicane. C’est aujourd’hui le plus vieux bĂątiment du quartier. Elle fut rĂ©novĂ©e en 1830 par George Porter qui lui posa un style gothique particulier. Cependant, un incendie l’affecta en 1971 ; la façade a dĂ» ĂȘtre reconstruite, ainsi que toute la dĂ©coration intĂ©rieure.

Le Manoir d'Édouard III

En 1353, Édouard III d’Angleterre a fait construire, Ă  proximitĂ© de la Tamise, un manoir. Ce manoir lui a servi de rĂ©sidence dans le quartier de Bermondsey. À l'heure actuelle, il ne reste plus que quelques traces de la prĂ©sence de cette bĂątisse.

The Angel House

Image illustrant The Angel Ă  l'heure actuelle, avec Ă  l'avant la prĂ©sence des poteaux de soutien, qui ont permis la prĂ©sence d'une galerie en dessous de cette bĂątisse, ainsi que la prĂ©sence de fenĂȘtres Ă  guillotine.

Cette bĂątisse datant du XVe siĂšcle Ă©tait, tout d’abord, une auberge et une maison de repos pour les voyageurs. Elle Ă©tait gardĂ©e par les moines du prieurĂ© de Bermondsey et, hormis les voyageurs, une clientĂšle aisĂ©e la frĂ©quentait. Cependant, une clientĂšle insalubre composĂ©e de contrebandiers, de pirates fluviaux
 y passait en raison de son emplacement stratĂ©gique et, propice aux commerces et aux rencontres en bordure de Tamise. Cette situation en bord de Tamise lui vaut Ă©galement un grand succĂšs auprĂšs d’artistes du XXe siĂšcle comme Augustus John et James Abbott McNeill Whistler.

The Angel House, qui est aujourd’hui une brasserie, doit son ancien nom Courage et sa conservation Ă  Samuel Smith[8], qui, alors qu’elle Ă©tait laissĂ©e Ă  l’abandon, l’a sauvĂ©e et rĂ©novĂ©e.

D’un point de vue architectural, The Angel Public House est constituĂ©e de deux Ă©tages et d’un grenier. Elle est construite de briques multicolores, la façade en rez-de-chaussĂ©e est faite de bois, le toit est en ardoise et les fenĂȘtres sont caractĂ©ristiques par le fait que ce sont des fenĂȘtres Ă  guillotine. La façade dirigĂ©e vers la Tamise de The Angel Public House montre une particularitĂ© : elle est composĂ©e d’une galerie inhabituelle reposant sur des poutres en bois.

Le Lion de Bermondsey

Sculpture de l'artiste Kevin Boys datant de 2011 et représentant The Bermondsey Lion.

Le Lion de Bermondsey (ou The Bermondsey Lion) est une sculpture de l’artiste Kevin Boys[9], Ă©rigĂ©e en juillet 2011 dans le quartier de Bermondsey.

Cette sculpture a une histoire datant de la fin du XIVe siĂšcle. En 1399, le Pape Boniface IX Ă©leva le prieurĂ© de Bermondsey au statut d’Abbaye, Ă  la demande du Roi Richard II. Le Roi accorda ensuite son cachet Ă  l’Abbaye, cachet reprĂ©sentant un lion tenant une crosse avec une mitre sur la crosse, le Lion de Bermondsey.

The Anchor Brewhouse

The Anchor Brewhouse (en français, littéralement : Brasserie de l'Ancre) était une petite brasserie londonienne située prÚs de Tower Bridge.

Sport

Stade du Millwall F.C. Ă  Bermondsey.

Bermondsey est Ă©galement connu pour ĂȘtre le lieu oĂč Ă©volue l’équipe de football du Millwall Football Club, club de football anglais de deuxiĂšme division fondĂ© en 1885.

Les joueurs de ce club sont surnommĂ©s The Lions, ce qui Ă©voque l’emblĂšme historique du Roi Richard II et qui rappelle celle qu’il a laissĂ©e afin d’inaugurer l’Abbaye de Bermondsey en 1399.

Transports

Londres, ville trĂšs touristique, est Ă©galement connue pour ses diffĂ©rents transports en commun. Mis Ă  part le fameux bus Ă  impĂ©riale, la marche Ă  pied, la voiture ou encore le vĂ©lo, il est possible de se dĂ©placer dans cette capitale au moyen du mĂ©tro traversant l’entiĂšretĂ© de la ville, ainsi que ses quartiers pĂ©riphĂ©riques, mais aussi au moyen du train. Bermondsey ne fait pas l'exception avec ses diffĂ©rents arrĂȘts de train ou de mĂ©tro :

  • Station de mĂ©tro Bermondsey
  • South Bermondsey railway station

Bibliographie

  • COWIE Robert et CORCORAN Jane, The prehistoric, Roman and later landscape between Watling Street and Bermondsey Eyot: investigations at Rephidim Street and Hartley’s Jam Factory, Bermondsey, dans Surrey Archaeological Collections, 94, 2008,p. 159-179
  • COTTINEAU Dom L.H., RĂ©pertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurĂ©s, MĂącon, Protat frĂšres, 1935, vol. 1, p. 355
  • EKWALL Eilert, The Concise Oxford Dictionary of English place-names, 4e Ă©d, Oxford, Clarendon Press, 1984, p. 39
  • HALLAM Eelizabeth M., Domesday Book. Through nine centuries., Londres, Thames and Hudson, 1986, p. 34 et 53
  • HEARD Kieron, The hinterland of Roman Southwark: part I, dans London Archaeologist, 8:03, 1996, p. 76-82
  • MOORE Peter, Bermondsey. Une abbaye mĂ©connue. , dans Dossiers d’archĂ©ologie, Cluny et ses influences en Europe. Gigny, Baume, Mesvres, Saint-Vivant de Vergy, Souvigny, Castelletto, RomainmĂŽtier, Hirsau, Saint-BenoĂźt de Val-ladolid, Bermondsey, no 19, , p. 66-71
  • OMAN Charles, The Bermondsey Dish, dans The Burlington Magazine, 94, No. 586, Jan., 1952, p. 23-25
  • SMITH Geroge, The dictionary of national biography, Londres, Oxford University Press, 1888-1889, vol 6, p. 614-618
  • STEELE Alisson, Beneath the Trocette: evidence for Roman and medieval Bermondsey, dans London Archaeologist, 8:10, 1998, p. 265-270
  • TAYLOR Jeremy, Medieval and post-medieval buildings along Bermondsey Street, dans London Archaeologist, 12:01, 2008, p. 9-14
  • The Cambridge historical encyclopedia of Great Britain and Ireland, Cambridge, Cambridge University Press, 1985, p. 186

Liens externes

Notes et références

  1. « GeoHack - Bermondsey », sur wmflabs.org (consulté le ).
  2. D’aprĂšs Walter de Gray Birch, Cartularium Saxonicum: A Collection of Charters Relating to Anglo-Saxon History, Cambridge University Press, coll. « Cambridge Library Collection », 1883-1893
  3. D'aprĂšs Ekwall, E. (1940) The Concise Oxford Dictionary of English Place-names; 2nd ed. Oxford: Clarendon Press; p. 43
  4. « English Heritage Home Page / English Heritage », sur English Heritage (consulté le ).
  5. DouairiĂšre est un terme se rapportant Ă  une veuve d'un milieu aristocratique
  6. Homme religieux faisait partie du clergé
  7. Pre-Construct Archaeology Ltd
  8. brasseur anglais du 17e siĂšcle ayant ouvert de nombreuses brasseries aux alentours de Londres
  9. Artiste et sculpteur dans le milieu de la forge
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