Avenue Théo Vanpé
L'avenue Théo Vanpé est une avenue bruxelloise de la commune d'Auderghem, qui relie le boulevard du Souverain à la place Édouard Pinoy sur une longueur de 290 mètres.
Avenue Théo Vanpé | |
Situation | |
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Coordonnées | 50° 48′ 41″ nord, 4° 25′ 26″ est |
Pays | Belgique |
Région | Région de Bruxelles-Capitale |
Ville | Auderghem |
Début | Boulevard du Souverain |
Fin | Place Édouard Pinoy |
Morphologie | |
Type | Avenue |
Longueur | 290 m |
Site web | https://www.auderghem.be/ |
Historique et description
Le chemin apparaît déjà sur la carte de Van Werden (1659). Il commençait à Hof te Schoonenberch, à la fin de l'actuelle chaussée de Watermael, et menait les fermiers au Neermeulen (plus tard le moulin à Papier).
L'Atlas des Communications Vicinales (1843) mentionne ce chemin sous le n° 24 et le nom Papiermolenstraet (rue du Moulin à Papier). Il était long de 1.805 m et comprenait alors la rue de la Houlette, le Pré des Agneaux, la place Édouard Pinoy, l'avenue Théo Vanpé et, après la Woluwe, il se terminait à l'actuelle avenue des Frères Goemaere.
Il fut interrompu une première fois lors de la construction du boulevard du Souverain. Le collège décida alors le de donner à cette partie le nom de rue de la Brebis.
Le , pour éliminer des doublons en région bruxelloise, elle devint la rue de la Houlette.
En aménageant la place Pinoy, la rue fut encore une fois coupée en deux, le . Ainsi naquit l'avenue Théo Vanpé.
Abords
Quatre personnes ayant habité avenue Vanpé aillaient donner leur nom à une voie publique: Georges Golinvaux (n° 77), Adolphe Keller (n° 19), Louis Van Simaey (n° 50) et Guy-Jean Verachtert (n° 70).
Origine du nom
Théo Vanpé né le 17 mars 1899 à Etterbeek, tué le 25 décembre 1917 à bord du S.S. Espagne, torpillé en haute mer[1] lors de la première guerre mondiale. Il était domicilié en la commune d'Auderghem rue de la Chasse Royale n° 27.