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Angèle Jacq

Angèle Jacq, née le à Landudal et morte le à Quimper[1] - [2], est une romancière française. Ancienne agricultrice, devenue employée de banque, elle écrit plusieurs romans historiques situés en Bretagne.

Angèle Jacq
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Biographie
Naissance
Décès
(Ă  83 ans)
Quimper
Nom de naissance
Angèle Marie Marguerite Jacq
Nationalité
Activité
Autres informations
Distinction

Son œuvre littéraire lui vaut de recevoir, dès 2003, le collier de l'Ordre de l'Hermine, décerné par l'Institut culturel de Bretagne, qui lui est remis à Saint-Malo en 2003[3]. Elle milite également pour la langue bretonne, dont elle est une locutrice. Elle a pris position contre la destruction de la mémoire collective des Bretons et pour une éducation populaire détachée de l'État[4]. Signataire de l'Appel de Carhaix, elle est porte-parole du Collectif Breton pour la Démocratie.

En 2008, elle est à l'initiative d'une pétition, « 101 écrivains pour les langues régionales »[5]

Ĺ’uvres

Romans à caractère historique :

  • Les braises de la libertĂ©, France-Empire 1995. RepubliĂ© en 2010 [Coop-Breizh], ce roman fait l'objet d'une suite, Tinaig Ă©ditĂ©e par Coop Breizh
  • LĂ©gendes de Bretagne, France-Empire 1997.
  • Le voyage de Jabel, Edilarge 1999, rĂ©Ă©ditĂ© aux Éditions du PalĂ©mon en 2004
  • Ma langue au chat, Le PalĂ©mon 2002
  • Dans la sĂ©rie Les hommes libres :
    • Tome 1 : Ils n'avaient que leurs mains, Le PalĂ©mon 2003
    • Tome 2 : Un brassard et des sabots, Le PalĂ©mon 2005
    • Tome 3 : LibertĂ© Frankiz Fahafana, Le PalĂ©mon 2007
  • PĂŞcheur de GuinĂ©e, Le Temps Ă©diteur 2018

Notes et références

Liens externes

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