Ana Garcia de Cuenca
Ana GarcĂa MarĂn, nĂ©e Ă Calasparra (RĂ©gion de Murcie) et morte le Ă Cordoue, est une femme de lettres espagnole.
Naissance |
19? Calasparra |
---|---|
Décès |
Cordoue |
Activité principale |
femme de lettres |
Langue d’écriture | Espagnol |
---|
Ĺ’uvres principales
Méditations et Mots directs avec le Père Éternel
Biographie
Elle a pris le nom de son Ă©poux JosĂ© Cuenca Monet. Ses parents Ă©taient JosĂ© GarcĂa Penalva et Dolores MarĂn Moya, tous deux Ă©taient nĂ©s dans la RĂ©gion de Murcie. Très peu après sa naissance la famille a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă Cordoue, oĂą elle vĂ©cut toute sa vie jusqu’à sa mort le [1]. Sa sĹ“ur, Juana, a collaborĂ© dans son travail social jusqu’à la fin de sa vie, morte 10 ans avant elle.
Le , elle a ses premières visions dans l'église Notre-Dame de Grâce de Cordoue (es). Quelques mois plus tard, elle commence à avoir des rêves prophétiques qui auront lieu tous les jours jusqu'à sa mort, qu'elle décrit dans ses cahiers. Elle souhaite que ses écrits soient diffusés dans le monde entier par l'Église catholique.
Elle fonde le Club de la Peseta dont l’activité principale est demander aux plus aisés de partager avec les nécessiteux.
En 1974, le gouvernement espagnol reconnait son Ĺ“uvre en lui attribuant l'Ordre de Bienfaisance (es).
Ĺ’uvre
- 1975 : Méditations et Mots directs avec le Père Éternel (tome I et II)
- 1977 : Le Mot du Créateur et Le Prophète te parle, avec le Nihil Obstat de l’Église catholique, préfacé par Mgr. José Guerra Campos (Évêque de Cuenca).
- 1979 : Après des entretiens avec Mgr. Infante Florido (ÉvĂŞque de Cordoue), Mgr. MartĂnez Somalo, Mgr. Casaroli, Mgr. Seper et Mgr. Ratzinger, il est reçu par le Pape Jean Paul II.
- 2009 : Les 94 livres de son Œuvre sont édités.
Hommages
- 1986-1987 : Aloys G. Tumbo Oeri, professeur de l’Université de Nairobi (Kenya) propose Cuenca pour le Prix Nobel de la Paix deux fois.
- 1988 : Mahmud Ali Makki (es) après avoir lu et étudié les livres de Ana, la propose aussi pour le Prix Nobel de la Paix.
- 2007 : La Municipalité de Cordoue donne son nom à une rue de la ville[3].