Alexandre Denguet Atiki
Alexandre Denguet Atiki, né le à Brazzaville[1] et mort le dans la même ville[2], est un homme politique congolais.
Député |
---|
Naissance | |
---|---|
Décès |
(Ă 75 ans) Brazzaville |
Nationalité | |
Activité |
Parti politique |
---|
Biographie
Employé de la Caisse nationale de la prévoyance sociale, syndicaliste, il représente la République du Congo à la conférence générale du Travail à Genève en 1969[2].
Cofondateur du Parti congolais du travail (PCT) en 1969, il devient membre suppléant du Comité central, puis membre à part entière en 1972. Il occupe alors différents postes ministériels : ministre du Travail (1971), ministre du Travail et de la Justice[3] (1972-1973) remplaçant Aloïse Moudileno Massengo), ministre du Travail et de l'Action sociale (1975). Il quitte le gouvernement à la fin de 1975 pour devenir directeur de l'Office national du commerce[2].
En 1977, après l'assassinat du président Marien Ngouabi, le nouveau président Joachim Yhombi-Opango le nomme ambassadeur en France et délégué permanent à l'Unesco. À partir de , il est à nouveau membre du Comité central du PCT. En 2002, il est élu député et devient premier vice-président de la commission Santé et affaires sociales. Réélu en 2007, il est nommé président du groupe parlementaire de la majorité présidentielle[2].
Références
- Selon une autre source, il serait né en 1938 à Fort Rousset (aujourd'hui Owando)
- «Alexandre Denguet-Attiki», ADIAC, Agence d'information d'Afrique centrale,
- J.O. de la RĂ©publique du Congo du 15 aout 1972. DĂ©cret 72-780 du 11/08/1972).