Action pour la renaissance de la Corse
L'Action pour la renaissance de la Corse (en corse : Azzione per a rinascita di a Corsica), (ARC), est un parti politique nationaliste corse[1], dissous le .
Action pour la renaissance de la Corse (co) Azzione per a rinascita di a Corsica | |
Présentation | |
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Fondation | |
Fusion de | Action régionaliste corse |
Disparition | |
Fusionné dans | Association des patriotes corses |
Siège | Corse |
Positionnement | Gauche |
Idéologie | Nationalisme corse Autonomiste |
Idéologie
Les revendications principales de l'ARC étaient la lutte pour la « corsisation » des emplois, la défense de l'identité culturelle, et la charte de retour des exilés[2], telles que formulées par le leader du mouvement Edmond Simeoni lors de l'occupation illégale à Aléria.
Histoire
Le 22 août 1975, l'ARC réalise sa première action provocatrice et violente en occupant la ferme d'un viticulteur d'Aléria, en Haute-Corse. Le groupuscule sera évacué par l'armée française, une action qui causera la mort de deux gendarmes français[3].
C'est le 27 août 1975 que la dissolution sera prononcée lors d'un Conseil des ministres[4].
Organisation
Le groupe était mené par le Docteur Edmond Simeoni[3].
Notes et références
- « Qu'est ce que l'ARC ? », sur l'INA (consulté le )
- « Qu’est-ce que le nationalisme corse ? », sur Brut. (consulté le )
- « Le nationalisme corse, 40 ans de lutte », sur Franceinfo, (consulté le )
- « CONSEIL DES MINISTRES DU 27 AOUT 1975. DISSOLUTION DE L'ARC », sur vie-publique.fr (consulté le )