Sortie | 1971 |
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Enregistré |
France |
Durée | 41:54 |
Genre | Zeuhl, Rock progressif |
Producteur | Roland Hilda |
Label |
Philips Records Seventh Records |
Critique |
Albums de Magma
1001° centigrades est le second album studio du groupe français Magma, sorti en 1971. La formation du groupe change quelque peu à l’occasion de ce nouvel opus : Claude Engel part mais n’est pas remplacé ; Alain Charlery et Richard Raux sont remplacés par Louis Toesca (trompette) et Yochk'o Seffer (saxophone, clarinette basse).
1001° centigrades est le deuxième opus de la saga kobaïenne : les paroles sont chantées en kobaïen et l’album raconte l’histoire du retour sur terre du peuple kobaïen pour sauver la planète.
Sommaire
Parution et réception
1001° centigrades bénéficie d'un accueil très favorable par la presse : chronique enthousiaste d'Yves Adrien dans Rock & Folk no 54 en juillet 1971[1]. Jazz Hot dans son no 278 de décembre 1971 va dans le même sens[2].
L'album est disque du mois de juillet 1971 du magazine Best no 36[3]. L'académie Charles-Cros lui décerne son grand prix en 1971.
Paru à l'origine en vinyle sur Philips Records (réf. 6397031), le disque sera réédité en CD en 1989 par Seventh Records (réf. REX VI).
Liste des pistes
Face A
- RĂŻah SahĂŻltaahk - 21:45 (Christian Vander)
Face B
- "Iss" LanseĂŻ DoĂŻa - 11:46 (Teddy Lasry)
- Ki ĂŹahl Ă– LĂŻahk - 8:23 (Faton Cahen)
Personnel
Musiciens
- Christian Vander : chant, batterie, percussions
- Klaus Blasquiz : chant, percussions
- Faton Cahen : piano, claviers
- Francis Moze - basse
- Teddy Lasry - clarinette, saxophone, flûte, voix
- Yochk'o Seffer - saxophone, clarinette basse
- Louis Toesca - trompette
Techniciens
- Dominique Blanc-Francard : ingénieur
- Louis Sarkissian : manager
- Roland Hilda : production
Notes et références
- « Comment exprimer le choc que j'ai ressenti, à l'écoute du second enregistrement de ce groupe qui est déjà l'un des meilleurs au monde et sera peut-être un jour le seul, l'ultime ? » (Yves Adrien in Rock & Folk no 54 juillet 1971) ; cité ici.
- « La construction ne laisse place à nulle critique : pas une longueur. Le tout joué à la perfection et fort bien mis en place. » (G.L.B. in Jazz Hot no 278 décembre 1971) ; cité ici.
- Chronique de Jean-Paul Commin in Best no 36 juillet 1971 ; citée ici.