AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Whirimako Black

Barbara Whirimako Black[1] (née en 1961 à Whakatane) est une chanteuse néo-zélandaise.

Whirimako Black
Naissance
Whakatane, Nouvelle-ZĂ©lande
Activité principale Chanteuse
Activités annexes Actrice
Genre musical Musiques du monde, jazz, soul
Années actives Depuis 2000

Biographie

Whirimako Black est descendante des tribus Ngāti Tuhoe, Ngāti Tuwharetoa, Ngāti Ranginui, Kahungunu, Te Whakatohea, Te Whanau-a-Apanui, Te Arawa et Ngāti Awa. Black porte un tatouage féminin maori traditionnel, un tā moko, au menton.

Black chante principalement dans le maori de Nouvelle-Zélande, utilise des formes musicales traditionnelles maories et se sert des instruments traditionnels de taonga pƫoro.

À la fin de son adolescence, elle chante dans un groupe et gagne un peu d'argent. À 19 ans, elle dĂ©mĂ©nage en Australie pendant neuf ans, oĂč elle joue dans des groupes, essaie d'ĂȘtre professionnelle, travaille dans un magasin tenu par son concubin et a deux enfants[2].

En 1991, elle forme le groupe fĂ©minin maori Tuahine Whakairo mais le quitte en 1993 pour commencer une carriĂšre solo. Dans le mĂȘme temps, elle devient enseignante[2].

Parmi ses réalisations musicales, il y a la composition et le chant des titres de la série de Television New Zealand, The New Zealand Wars, ainsi que la composition avec Hori Tait de l'indicatif du journal télévisé en maori Te Karere.

Whirimako Black est nommée membre de l'Ordre du Mérite de Nouvelle-Zélande, pour ses services à la musique maorie le [1].

Black fait ses débuts d'actrice dans le film White Lies en 2013. Elle est nominée aux Asia Pacific Screen Awards dans la catégorie Meilleure actrice.

Discographie

  • 2000 : Hinepukohurangi: Shrouded in the Mist
  • 2003 : Hohou Te Rongo: Cultivate Peace
  • 2004 : Tangihaku Mai Music
  • 2005 : Kura Huna Mai Music
  • 2006 : Soul Sessions Mai Music
  • 2007 : Whirimako Black Sings
  • 2011 : The Late Night Plays

Références

  1. (en) « New Year Honours List 2006 », sur Department of the Prime Minister and Cabinet (Nouvelle-Zélande), (consulté le )
  2. (en) « Soul daughter of Tuhoe », The New Zealand Herald,‎ (lire en ligne)

Liens externes

Source de la traduction

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.