Wang Guowei
Wang Guowei (chinois simplifiĂ© : 王国维 ; chinois traditionnel : çŽ‹ĺś‹ç¶ ; pinyin : ), nĂ© le Ă Haining, dans la province du Zhejiang, et dĂ©cĂ©dĂ© le sur le lac de Kunming, dans la province du Yunnan, est un Ă©crivain chinois de la pĂ©riode moderne et un historien. "王国维故居 L'ancienne rĂ©sidence de Wang Guowei" Ă Jiaxing est une des Sites historiques et culturels majeurs protĂ©gĂ©s au niveau national de Chine[1].
Naissance | |
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Décès | |
Prénoms sociaux |
靜安, 伯隅, éťśĺşµ, ç¦®ĺ ‚, äşşé–“ |
Nom posthume |
ĺż ć„¨ |
Noms de pinceau |
č§€ĺ ‚, 永觀, ć°¸ĺ ‚ |
Nationalités | |
Formation |
Université des sciences de Tokyo (en) |
Activités |
A travaillé pour |
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Il est le premier, en 1917, sous la République de Chine (1912-1949), à écrire une dissertation sur l'écriture ossécaille.
Biographie
Philosophe et érudit, Wang Guowei est l'auteur de la première étude importante sur le théâtre et les poèmes chantés.
Wang se suicide par noyade en peu avant l'entrée de l'Armée nationale révolutionnaire dans Pékin[2].
Bibliographie
- Chantal Chen, « Rapports d'influence : la conceptualisation d'une valeur de l'esthétique chinoise ancienne par référence aux conceptions de l'Occident », Extrême-Orient, Extrême-Occident, 1982, no 1 [lire en ligne]
Notes et références
- (zh) 耿坤, « 王国维故居 », www.zgbk.com,‎ (consulté le ).
- Frédéric Lemaître, « En Chine, l’anniversaire encombrant du 4 mai 1919 », Le Monde,
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :