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Viktor Kalabis

Viktor Kalabis (nĂ© le Ă  ČervenĂœ Kostelec, mort le Ă  Prague) est un compositeur tchĂšque du XXe siĂšcle[1].

Viktor Kalabis
Naissance
ČervenĂœ Kostelec
DĂ©cĂšs (Ă  83 ans)
Prague
Activité principale Compositeur
Famille Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ (Ă©pouse)

RĂ©pertoire

symphonies, musique de chambre, ballet

Tombe de Viktor Kalabis

Biographie

DiplĂŽmĂ© du gymnasium de JindƙichĆŻv Hradec en 1942, Kalabis a fait ses Ă©tudes en composition au conservatoire de Prague sous la direction d’Emil Hlobil (en) (1945-1948) et Ă  l'AcadĂ©mie des arts et de la musique sous la direction de Jaroslav ƘídkĂœ (1948-1952)[2]. Il a aussi fait des Ă©tudes de musicologie et psychologie Ă  la facultĂ© de philosophie et art de l'UniversitĂ© Charles de Prague, obtenant son diplĂŽme en 1952 et le doctorat en 1991, aprĂšs la chute du gouvernement communiste. Dans la pĂ©riode 1953 - 1972 Kalabis Ă©tait directeur musical et Ă©diteur de la Radio tchĂ©coslovaque de Prague et aprĂšs 1972 il s'est consacrĂ© entiĂšrement Ă  la composition.

L'Ɠuvre de Kalabis se caractĂ©rise par un fort sens de logique intĂ©rieur, ordre musical, proportion artistique, maĂźtrise des moyens expressifs et de l'instrumentation. Plusieurs de ses Ɠuvres ont Ă©tĂ© composĂ©es sur commande : le concerto pour orchestre (orchestre philharmonique tchĂšque), la quatriĂšme symphonie (Staatskapelle Dresden), Canticum Canticorum (GĂ€chinger Kantorei) et le deuxiĂšme concert pour violon (Josef Suk). Le premier concert pour piano et le concert pour clavecin ont Ă©tĂ© composĂ©s pour sa femme Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ, les Cinq Chants romantiques d'amour pour Terezie Csajbokova et l'Orchestre philharmonique national hongrois.

De nombreuses compositions ont Ă©tĂ© Ă©crites Ă  l'occasion de compĂ©titions internationales, comme le printemps de Prague (Tempting pour flĂ»te, Rondo Drammatico pour violoncelle), le concours international Carl Czerny International (Allegro Impetuoso), le Festival International de Brno (Invocations pour cor). Les Ɠuvres de Kalabis ont Ă©tĂ© jouĂ©es dans le monde entier par des orchestres et des chefs de premier rang, comme Lovro von Matačić, Guennadi Rojdestvenski, Wolfgang Sawallisch, Jiƙí Kout, Zdeněk MĂĄcal, Karel Ančerl, VĂĄclav Neumann, Manuel Rosenthal, Jaroslav Vogel et Herbert Blomstedt.

Kalabis a Ă©tĂ© cofondateur du concours international « Concertino Praga », prĂ©sident de la Fondation Bohuslav MartinĆŻ dĂšs 1991 Ă  2003[2] et fondateur de l'institut Bohuslav Martinu. En 1969 il a reçu le Prix d'État et le prix de la critique tchĂ©coslovaque pour sa composition Concerto for Large Orchestra ; l'enregistrement vidĂ©o Alice au pays des merveilles, produit par la tĂ©lĂ©vision tchĂšque, a reçu le « Parents' Choice Award » aux États-Unis.

Lors de son anniversaire Ă  ses 80 ans, il affirme : « Lorsque j'ai entendu, pour la premiĂšre fois, des mĂ©lodies de Bohuslav MartinĆŻ, ses polkas pour piano, sa ComĂ©die sur le pont et mĂȘme les thĂšmes de ses symphonies inimitables, j'ai Ă©prouvĂ© la mĂȘme sensation qu'en lisant l'Ă©quation d'Albert Einstein exprimant sa thĂ©orie de la relativitĂ©. Comment Ă©tait-il possible de susciter tant d'Ă©motions avec des moyens aussi modestes ? »

Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ

On ne peut rendre hommage Ă  Viktor Kalabis sans inclure Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ, qui lui donna des cours de piano, avant de devenir sa femme. Elle est la dĂ©dicataire naturelle de ses Concertos pour piano et Concerto pour clavecin, ainsi que de la Sonate pour violon et clavecin, mais aussi des dĂ©licieuses piĂšces pour clavecin solo, dont Six two-part canonic Inventions for Harpsichord avec, comme le titre le prĂ©cise dĂ©jĂ , une inspiration basĂ©e sur la musique baroque. Sa conception de la musique pour clavecin change fort avec Aquarelles de 1979, et il va encore plus loin avec son op. 75 : Preludio, Aria e Toccata, I casi di Sisyphos. (Kalabis disait que c’était une piĂšce pour clavecin orchestral, c’est-Ă -dire une Ɠuvre considĂ©rĂ©e comme prĂȘte Ă  ĂȘtre orchestrĂ©e.)

NĂ©e Ă  Plzeƈ le , elle est donc un peu plus jeune que son « Ă©lĂšve ». Cette musicienne d’exception aurait pu disparaĂźtre tragiquement comme tant d’autres internĂ©s Ă  TerezĂ­n. Heureusement, le destin en dĂ©cida autrement. Elle fait ses Ă©tudes de piano en 1947-51, puis passe rapidement au clavecin avec O. Kredba. En 1956, elle remporte le Concours International de Munich. Deux ans plus tard, la voici Ă  Paris avec Marguerite Roesgen-Champion. En 1961, elle fonde avec VĂĄclav Neumann les « Solistes de chambre de Prague », et dĂšs 1962, elle enseigne Ă  l’AcadĂ©mie de musique de Prague. Son rĂ©pertoire est alors baroque : Couperin, Bach, Purcell
 Elle jouera notamment avec Jean-Pierre Rampal. Sa discographie est impressionnante, dont l’intĂ©grale de l'Ɠuvre de Bach pour clavecin. Elle a aussi enregistrĂ© un choix de sonates de Scarlatti. Elle a enseignĂ© le clavecin Ă  l'AcadĂ©mie des Arts de Prague et Ă  l'École supĂ©rieure de musique de Bratislava. Elle a aussi donnĂ© des cours supĂ©rieurs Ă  Prague et ZĂŒrich.

Victor Kalabis compositeur

Musique symphonique

À certaines oreilles, le langage musical de Kalabis est immĂ©diatement reconnaissable et comprĂ©hensible. Si ses Ɠuvres de jeunesse montrent l’admiration pour Brahms, c’est avant tout MartinĆŻ qu’il rĂ©vĂšre et rĂ©vĂ©rera toujours. Quant Ă  ses recherches modales, elles Ă©voquent le travail de BartĂłk. Il est aussi inspirĂ© par Honegger, Stravinsky
, toutes influences qui, assimilĂ©es, forgeront son style personnel fait de lyrisme, de puissance expressive et de dĂ©pouillement. La crĂ©ation musicale de Viktor Kalabis s’étend surtout dans le domaine de la musique symphonique, du concerto et de la musique de chambre. Ses compositions sont toujours caractĂ©risĂ©es par une forte structure et la logique dans le langage musical. Ces aspects sont combinĂ©s avec un sens dramatique et une invention mĂ©lodique toujours jaillissante. La solide formation hĂ©ritĂ©e de ce maĂźtre pĂ©dagogue qu’était ƘídkĂœ – dont Jindƙich Feld (nĂ© en 1925), contemporain de Kalabis a aussi Ă©tĂ© l’élĂšve – a donnĂ© Ă  Kalabis une maĂźtrise souveraine des techniques de composition qu’il affinait continuellement par l’approfondissement et les idĂ©es nouvelles. Il fut aussi « un excellent observateur des mouvements musicaux qui traversĂšrent son temps » (Guy Erismann). On dit mĂȘme qu’il jonglait avec le dodĂ©caphonisme qu’il contraignait Ă  devenir tonal.

La sĂ©rie de ses cinq Symphonies, Ă©crites entre 1957 et 1976, forme le pilier principal de son Ɠuvre symphonique. Peu enclin Ă  se plier au conformisme du rĂ©alisme socialiste que reprĂ©sentait VĂĄclav DobiĂĄĆĄ et ses Ă©mules de l’idĂ©ologie officielle, Kalabis marque clairement sa prĂ©fĂ©rence pour un nĂ©oclassicisme teintĂ© de lyrisme sombre qui explique le ton dramatique de ses Symphonies. La renommĂ©e mondiale de Viktor Kalabis est venue surtout avec sa DeuxiĂšme Symphonie ‘Sinfonia Pacis’ op. 18 de 1961. Lyrique et mĂ©ditative, cette symphonie est aussi son Ɠuvre la plus frĂ©quemment jouĂ©e aussi bien en RĂ©publique tchĂšque qu’à l’étranger. Kalabis lui-mĂȘme donne un commentaire de cette symphonie qui nous fait mieux comprendre la maniĂšre dont sa philosophie humaniste imprĂšgne son Ɠuvre : « J’ai terminĂ© la composition (et l’orchestration) de ma deuxiĂšme symphonie en . J’étais alors astreint aux obligations de mes fonctions rĂ©guliĂšres Ă  la Radio et me heurtais, au cours de ce travail, Ă  de nombreuses difficultĂ©s. La symphonie porte un sous-titre, Sinfonia Pacis. J’ai longtemps hĂ©sitĂ© avant d’inscrire ce sous-titre en tĂȘte de partition. Je m’étais, en effet, rendu compte que des prĂ©cisions de cet ordre pouvaient aider l’auditeur Ă  orienter sa pensĂ©e au moment de l’écoute de l’Ɠuvre, mais qu’elles pouvaient ĂȘtre tout autant dĂ©routantes, le risque Ă©tant qu’elles puissent restreindre le champ d’évocation que l’auteur voulait exprimer. Et, dans une certaine mesure, je me trouvais exactement dans ce cas de figure. Or, mon souci premier Ă©tait de prĂ©ciser le contenu philosophique de mon ouvrage. Le problĂšme de la guerre ou de la paix est, dans notre siĂšcle – il l’a d’ailleurs toujours Ă©tĂ© – un problĂšme d’éthique, celui de tout homme Ă©levĂ© dans la rĂ©alitĂ© d’une culture. Il demeure le problĂšme Ă  la fois le plus actuel et le plus fondamental. Aussi ne m’a-t-il pas semblĂ© possible de le passer sous silence. En utilisant la terminologie latine, j’ai voulu souligner le fait qu’il s’agit lĂ  d’un problĂšme qui interpelle l’humanitĂ© tout entiĂšre, indĂ©pendamment des peuples, races et classes sociales. » (citation extraite du livret accompagnant le CD Praga, P. E. Barbier). Ces principes se retrouvent aussi dans les autres symphonies. Par exemple, dans la TroisiĂšme Symphonie (1971) composĂ©e pour l’orchestre de MĂŒnster (Allemagne) et son chef A. Walter. Ici, il y a en plus des liens directs avec les Ă©vĂšnements de l’invasion soviĂ©tique de 1968, qui dĂ©truisit un avenir un peu plus souriant pour le pays alors dirigĂ© par Dubček. Les trois mouvements de la symphonie sont des tableaux :

  1. Le sens de la vie, élégie.
  2. Le chaos dans le monde et tout ce qui est inhumain.
  3. La nécessité de combattre pour un avenir meilleur.

Cette TroisiĂšme Symphonie est une piĂšce de trĂšs grande expression.

Dans la QuatriĂšme Symphonie Ă©crite en 1973 pour la Staatskapelle de Dresde nous retrouvons les pensĂ©es profondes et les mĂ©ditations sur les problĂšmes de l’homme et de l’humanitĂ©, bien que la musique soit prĂ©sentĂ©e comme musique pure et non Ă  programme. La CinquiĂšme Symphonie s’inscrit dans la mĂȘme lignĂ©e.

En dehors des symphonies, citons parmi les autres compositions pour orchestre, les Variations pour grand orchestre op. 24, le Concerto pour grand orchestre op. 25 destiné à la Philharmonie tchÚque et Two Worlds musique de ballet, op. 54, souvent joué en concert.

Les Ɠuvres pour soliste et orchestre

Onze concertos sont Ă  l’actif de Kalabis. S’il compose un Concerto pour clavecin et orchestre Ă  cordes op. 42 en 1975 sur commande de la Camerata ZĂŒrich, l’Ɠuvre est en fait dĂ©diĂ©e Ă  Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ. Le concerto ne nie pas son caractĂšre baroque, et l’on sait que les exemples de ce temps sont lĂ©gion. Kalabis connaissait aussi les Ɠuvres de Poulenc dont son dĂ©licieux Concerto ChampĂȘtre et, naturellement, MartinĆŻ. Ainsi, on arrive rapidement Ă  un type de composition d’expression nĂ©oclassique avec les harmonies et les couleurs du XXe siĂšcle. Le Concerto pour piano op. 12 avait dĂ©jĂ  vu le jour en 1954. Ensuite, dĂ©bute une pĂ©riode intensĂ©ment crĂ©atrice avec le premier Concerto pour violon et orchestre op. 17 de 1959 qui connaĂźt un rĂ©el succĂšs : il allie une parfaite construction Ă  la profondeur de l’émotion et Ă  une grande invention. Il est dĂ©diĂ© Ă  la mĂ©moire de l’activiste dĂ©mocrate Hana Weberova-Hlavsova, disparue prĂ©maturĂ©ment. Dans le concerto, on ressent une bataille dont l’issue n’est guĂšre optimiste ; son Ă©criture nous fait partager une angoisse permanente, surtout dans le deuxiĂšme mouvement. Le Concerto pour violon no 2 est une commande de Josef Suk. Le Concerto pour trompette op. 36 a Ă©tĂ© Ă©crit pour Maurice AndrĂ©.

Revenons au Concerto pour piano et orchestre op. 12 de 1954. À ce moment, le jeune compositeur commence Ă  trouver sa voie, ayant assimilĂ© l’influence de Stravinsky (voir op. 3, Concerto pour orchestre de chambre) ainsi que celle des autres grands compositeurs de la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle comme Prokofiev, BartĂłk, Honegger, Hindemith et MartinĆŻ. Il se forge un langage dans lequel il n’oublie pas l’hĂ©ritage de J. S. Bach et de toute l’histoire de la musique. Le rĂ©sultat est ainsi cette forme de nĂ©o-classicisme en langage moderne. S’il connaĂźt l’école de Vienne, il n’y trouve pas sa maniĂšre d’expression. Pas plus qu’il n’est sĂ©duit par les musiques expĂ©rimentales auxquelles il avait pourtant accĂšs. Dans son cheminement compositionnel, Kalabis trouve sa voie crĂ©atrice Ă  partir de ce Concerto. C’est grĂące Ă  sa propre inventivitĂ© qu’il se libĂšre pour devenir Ă  son tour un crĂ©ateur authentique. Ce concerto a encore une autre histoire : c’est le cadeau de noces Ă  sa fiancĂ©e Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ !

Un domaine non abordĂ©, l’opĂ©ra

Viktor Kalabis n’a Ă©crit aucun opĂ©ra, ce qui pour un compositeur tchĂšque est pour le moins Ă©tonnant, tant le genre semble inscrit dans les gĂšnes des compositeurs de BohĂȘme et de Moravie. Par contre, il a Ă©crit pas mal de musique pour voix et/ou chƓur. Citons les Cinq chants romantiques sur l’amour op. 38 ou encore Canticum Canticorum, cantate pour contralto, tĂ©nor, chƓur mixte et orchestre de chambre, op. 65.

La musique de chambre

La musique de chambre occupe une partie importante de la production de Viktor Kalabis. TrĂšs tĂŽt, dĂšs 1947 en effet, il se met Ă  l’Ɠuvre : Sonate no 1 pour piano op. 2 et la Sonate no 2 pour piano op. 4 suit en 1949. S’enchaĂźnent alors son Quatuor Ă  cordes no 1 op. 6. (1949), un Nonet no 1 op. 13, et un Quatuor Ă  cordes no 2 op. 19. Ce quatuor en trois mouvements a son centre de gravitĂ© dans le deuxiĂšme mouvement. L’ensemble est conçu comme un grand arc se dĂ©veloppant depuis l’adagio point de dĂ©part jusqu’au conflit dramatique de l’allegro molto pour revenir Ă  une conclusion calme et lyrique – adagio. Les sept quatuors Ă  cordes forment une sĂ©rie assez unique dans l’histoire de la deuxiĂšme moitiĂ© du XXe siĂšcle. Le Quatuor no 6 est Ă©crit Ă  la mĂ©moire de Martinu. C’est une musique pleine d’invention, de caractĂšre, tout Ă  fait personnelle, un peu Ă©cartĂ©e des formes traditionnelles et qui reflĂšte tous les aspects de la vie humaine. Le catalogue des Ɠuvres de chambre montre la diversitĂ© des ensembles pour lesquels Kalabis a composĂ©.

Viktor Kalabis nous a laissĂ© une Ɠuvre magistrale et nous le comptons parmi les grands compositeurs de la deuxiĂšme moitiĂ© du XXe siĂšcle. Cela se confirme d’une part par le fait qu’il a reçu beaucoup de commandes de partout dans le monde et, d’autre part, que ses compositions sont aussi exĂ©cutĂ©es dans le monde entier. Et nous espĂ©rons que cela continuera. Son univers allie les deux Ă©lĂ©ments essentiels que sont un sens artistique dĂ©veloppĂ© au plus haut point et une habiletĂ© professionnelle accomplie, sans jamais tomber dans la facilitĂ© d’Ɠuvres superficielles. Il reflĂšte les joies et les convulsions de notre temps doublĂ© d’un message clairement humaniste avec une grande puissance expressive. Le dynamisme de sa jeunesse aura durĂ© jusqu’au bout. « J’avoue que j’aime beaucoup la musique de Kalabis et j’espĂšre que sa musique sera dĂ©couverte par de plus en plus de monde. » Karel Van Eycken - Gauthier Coussement

ƒuvres

Les Ɠuvres de Viktor Kalabis comptent plus de 80 numĂ©ros d’opus et sa discographie est effectivement assez vaste pour attester de la reconnaissance internationale.

  • Jiƙí Pilka est l’auteur d’un portrait de Viktor Kalabis paru en 1996 aux Ă©ditions ACADEMIA (en tchĂšque).
  • Un catalogue commentĂ© des Ɠuvres de Viktor Kalabis existe sous la plume de Jaroslav Ć eda Ă  la BibliothĂšque Municipale de Prague, dĂ©partement Musique, MusĂ©e de la Musique tchĂšque. (2 volumes, en tchĂšque).
  • Le site www.musica.cz/kalbis/kalabis/htm fournit une courte biographie en tchĂšque et en anglais de Kalabis et surtout le catalogue complet de ses Ɠuvres avec mention des minutages et de l’éditeur.
  • www.di-arezzo.com propose aussi des partitions de plusieurs Ă©diteurs.

La Fondation Viktor Kalabis et Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ donne la liste suivante de compositions[3] - [4].

Ballets
  • "Two Worlds" op. 54
  • Bajka ("Fable") op.59
Symphonies
  • Symphonie no 1 op. 14
  • Symphonie no 2 op.18 "Sinfonia pacis" (1961)
  • Symphonie no 3 pour grand orchestre op. 33 (1970–71)
  • Symphonie no 4 pour grand orchestre op. 34 (1972)
  • Symphonie no 5 Fragment pour grand orchestre op. 43 (1976)
Musique symphonique
  • Suite « Festival de StrĂĄĆŸnice Â» pour grand orchestre op. 9
  • Variations Symphonique pour grand orchestre op. 24
  • Concerto pour grand orchestre op. 25
  • Ouverture pour grande orchestre op. 7
Concertos
  • Concerto pour piano et orchestre no 1 op. 12 (1954)
  • Concerto pour piano et instruments Ă  vent no 2
  • Concerto pour violon et orchestre no 1 op. 17
  • Concerto pour violon et orchestre no 2 op. 49
  • Concerto pour clavecin et cordes op. 42
  • Fantasia Concertante pour alto et orchestre Ă  cordes
  • Concerto pour violoncelle et orchestre op. 8
  • Concerto pour trompette et orchestre op. 3 ("Le Tambour de Villevielle")
  • Concertino pour basson et instruments Ă  vent op. 61
Compositions pour orchestre de chambre
  • Diptych pour cordes op. 66
  • Chamber Music for String
  • Concerto Hommage Ă  Stravinsky pour orchestre de chambre op. 3
Quatuors Ă  cordes
  • Quatuor Ă  cordes no 1 op. 6 (1949)
  • Quatuor Ă  cordes no 2 op. 19
  • Quatuor Ă  cordes no 3 op. 48
  • Quatuor Ă  cordes no 4 op. 62 "ad honorem J. S. Bach"
  • Quatuor Ă  cordes no 5 op. 63 "In Memory of M. Chagall"
  • Quatuor Ă  cordes no 6 op. 68 "In Memory of B. Martinu"
  • Quatuor Ă  cordes no 7
Quatuor avec piano
  • Ludus pour quatuor avec piano op. 82 (1996)
Nonets
  • Nonet no 1 op. 13 Classical
  • Nonet no 2 op. 44 "Homage to Nature"
Compositions pour instruments Ă  vent
  • Incantation
  • Septet "Strange Pipers"
  • Octuor pour instruments Ă  vent op. 50 "Spring Whistles" (1979)
  • Divertimento pour quintet Ă  vent op. 10
  • Petite musique de chambre pour quintette Ă  vent op. 27
Duos avec piano
  • Sonate pour violon et piano
  • Hallelujah pour violon et piano
  • Sonate pour alto et piano
  • Sonate pour violoncelle et piano op. 29
  • Sonate pour clarinette et piano op. 30
  • Suite pour clarinette et piano op. 55
  • Suite ("Bagpiper's") pour hautbois et piano op. 11
  • Fantasie pour hautbois et piano op. 1
  • Variations pour cor anglais et piano op. 31
  • Sonate pour trombone et piano
Duos avec clavecin
  • Sonate pour violon et clavecin op. 28
  • Dialogues pour violoncelle et clavecin
  • "Four Pictures" pour flĂ»te et clavecin
Duos pour d'autres formations
  • Duettina pour violon et violoncelle
  • Duettina pour violoncelle et contrebasse
  • 3 Impressions pour deux clarinettes
  • Small Suite pour deux bassons
  • Couples pour deux flĂ»tes
  • Compositions pour instruments solo
Piano
  • Accents (Expressive studies for piano)
  • Entrata, Aria e Toccata pour piano op. 41
  • 3 Polkas pour piano op. 52
  • 4 Enigmas for Graham
  • 2 Toccatas pour piano
  • Allegro impetuoso pour piano
  • Sonate pour piano no 1 op. 2 (1947)
  • Sonate pour piano no 2 op. 4 (1949)
  • Sonate pour piano no 3 op. 57
Clavecin
  • 6 Two-Voices Canonic Inventions
  • Aquarelles op. 53
  • Preludio, Aria e Toccata, "I casi di Sisyphos"
Violoncelle
  • 3 Monologues pour violoncelle solo
  • Rondo Drammatico pour violoncelle solo
Flûte
  • 3 PiĂšces pour flĂ»te
  • "Tempting" pour flĂ»te
Cor anglais
  • Invocation pour Cor anglais solo
Guitare
  • RĂ©miniscences pour guitare op. 46
Orgue
  • Fresque symphonique pour orgue op. 22, "Afresco sinfonico"
Compositions vocales
  • Cantates
  • "Canticum canticorum" cantate pour alto, tĂ©nor, chƓur de femmes et petit orchestre op. 65
  • La Guerre, cantate op. 45 pour ChƓur Mixte, flĂ»te, et piano on folk poetry
Chants avec accompagnement orchestral
  • 5 Romantic Love Songs to words by R.M. Rilke
  • « Le Mariage des oiseaux Â» op. 5 (voix et piano)
  • "Carousel of Life" for lower voice and piano to words by R.M. Rilke
ChƓurs mixtes
  • "Dawn" op. 51, "Autumn" op. 60, 2 chƓurs sur des textes de Vl. Sefl

ChƓurs d'enfants

  • Children Songs (avec piano)
  • Album of Folksongs (avec piano)
  • 4 Songs for Little Children (avec piano)
  • We Sing a Song (avec flĂ»te et hautbois) op. 40
  • Trois chƓurs d’enfant avec piano op. 47

Enfin, voici quelques Ɠuvres, dont certaines ne sont pas disponibles en enregistrement : Studance pour piano Six piùces pour les plus jeunes pianistes

Discographie non exhaustive

LP

  • Symphonie no 2 Sinfonia Pacis, op. 18 Supraphon ST 50592
(+ Miloslav IĆĄtvan : Ballad of the south)
Orchestre Symphonique TchĂ©coslovaque / Martin TurnovskĂœ
  • Symphonie no 3 pour grand orchestre, op. 33 Panton 11 0349 H
(+ Jan HanuĆĄ : Musica Concertante)
Philharmonie Tchùque / J. Bělohlávek
  • Symphonie no 4 pour grand orchestre, op. 34 Supraphon ST 41 10 1784
(+ Josef Boháč : Suita Drammatica)
Philharmonie Tchùque / Zdeněk Koơler
  • Symphonie Fragment no 5 pour grand orchestre op. 43 Panton ST 8110 0126
(+ Jan HanuĆĄ : Symphonie no 6)
Philharmonie TchĂšque / VĂĄclav Neumann
  • Variations Symphoniques, op. 24 Panton ST 81 0830 1031
(+ Otmar MĂĄcha : Variations sur un thĂšme et la mort de Jan RychlĂ­k
Iơa Krejčí : Symphonie no 1)
Orchestre Symphonique de Prague (FOK)/ MiloĆĄ Konvalinka
  • Two Worlds, musique de ballet pour grand orchestre (d’aprĂšs Alice in Wonderland) Panton ST 81 10 0373 G
(+ IĆĄa Krejčí : SĂ©rĂ©nade pour orchestre)
Philharmonie Tchùque / Jiƙí Bělohlávek
Il en existe un film avec le Ballet de Chambre de Prague.
  • Concerto per grande orchestra (1966) Supraphon ST 1 10 1411/2
(+ Zdeƈek Lukåƥ : Symphonie no 4
Jindƙich Feld : Symphonie no 1
Emil Hlobil : Concerto Filarmonico)
Philharmonie TchĂšque / Ladislav SlovĂĄk
  • Diptych pour cordes, op. 66 Panton ST 81 0838
(+ Otomar Kvěch : R.U.R.
Jiƙí Teml : Symphonie no 2)
Orchestre de Chambre Suk / Josef Vlach
  • Concerto pour piano et orchestre Supraphon ST 1 10 1680
(+ Josef Páleníček : Concerto no 3 pour piano et orchestre)
Emil Leichner, piano
Orchestre de Chambre de Prague / Jiƙí Kout
  • Concerto pour clavecin et cordes, op. 42 Supraphon Kvadro 1410 2755 QG
(+ Zdeƈek Ơeståk : Concerto pour orchestre à cordes)
Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ, clavecin
Orchestre de chambre de Prague / Viktor Kalabis
  • Concertino pour basson et instruments Ă  vent, op. 61 Panton ST 8111 0538
(+ Oldƙich Semerák : Musique pour quartetto
Zdeƈek Lukáơ : ‘2+2’ Sonare per quattro strumenti
Ivan Kurz : Deux ‘Ja’ – Duo pour deux violons)
Harmonie de la Philharmonie TchĂšque.
  • Concerto pour violon et orchestre no 1, op. 17 Panton ST 8110 0467
(+ J. B. Foerster : Concerto pour violon no 2)
Petr Ć kvor, violon
Orchestre Symphonique de Prague (FOK) / Viktor Kalabis
  • Concerto pour violon no 2, op. 49 en un mouvement Supraphon ST 1110 3035 ZA
(+ Ladislav KubĂ­k : Concerto pour violon et orchestre en un mouvement)
Josef Suk, violon
Philharmonie TchĂšque / Wolfgang Sawallisch
  • Concerto pour violon no 2, op. 49 Panton ST 81 0950 1011
(+ Miloslav Kabeláč : Metamorphoses no 2 pour piano et orchestre op. 58)
Ivan ĆœenatĂœ, violon
Orchestre Symphonique de Prague (FOK) / Jiƙí Bělohlávek
  • Quatuor Ă  cordes no 2, op. 19 Panton ST 1111 3613 G
(+ Ladislav KubĂ­k : quatuor Ă  cordes en un mouvement
Vladimir Sommer : Quatuor à cordes en ré mineur)
Quatuor Panocha
  • Quatuor Ă  cordes no 2, op. 19 Supraphon SUA ST 58855
(+ Pavel Borkovec : Quatuor Ă  cordes no 5)
Quatuor Vlach
  • Quatuor Ă  cordes no 5, op. 63 Panton ST 8111 0623
(+ Vladimir SvatoĆĄ : quatuor Ă  cordes no 2
Ć těpan LuckĂœ : Quatuor Ă  cordes (en 1 mouvement)
Quatuor Kroft
  • Piano trio, op. 39 Supraphon ST 1 11 2170
Josef Suk, Josef Chuchro et Jan Panenka
Six two-part Canonic Inventions for harpsichord, op. 20
Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ
Sonate pour violon et clavecin, op. 28
Josef Suk, Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ
  • Petite musique de chambre pour quintette Ă  vent, op. 27 Supraphon ST 1 11 1426
(+ Jindƙich Feld : Quintette no 2
Lubor BĂĄrta : Quintette no 2
Oldƙich Flosman : Sonata pour quintette à vent et piano)
Quintette Ă  vent de Prague + Josef HĂĄla, piano
  • Canticum Canticorum, cantate pour alto, tĂ©nor, chƓur de femmes et petit orchestre, op. 65 Panton ST 81 0923-1 211
(+ Zdeƈek Lukåƥ : To plant a tree (6 chansons)
Václav Felix : Open Letters, op. 67 (5 chƓurs mixed)
Luboơ Sluka : At the end of the millenium (3 chƓurs mixed)
Ctirad Kohoutek : Kissing Bread (Scherzo pour chƓur mixed)
Marga Schimel, alto ; Aldo Baldin, ténor ; Göchinger Kantorei ; Stuttgarter Kammer-Orchester ; Helmut Rilling
  • Cinq chansons romantique d’amour (texte : R. M. Rilke) Supraphon ST 1112 2455 G
(+ Petr Eben : Chansons)
Ernst Haefliger, ténor
Orchestre de Chambre TchĂšque / Viktor Kalabis
  • Concerto pour trompette et orchestre, op. 36 SU 1192035
  • Petite musique pour cordes, op. 21 SU 8355
  • Nonet no 2, op. 44 SU 8111 0097
  • Octuor pour instruments Ă  vent, op. 50 PA 1119 2736
  • Divertimento pour quintette Ă  vent, op. 10 SU 5484
  • Sonate pour violon et clavecin, op. 28 SU 1112 1706
  • Sonate pour violoncelle et piano, op. 29 PA 11 0490
  • Sonate pour clarinette et piano, op. 30 PA 11 0231
  • Sonate pour trombone et piano, op. 32 SU 1119 1053
  • Sonate no 3 pour piano, op. 57 SU 1119 3549
  • Akcety, pour piano, op. 26 SU 019 0557
  • Trois polkas pour piano, op. 52 SU 1119 2934
  • Tri kusy pour flĂ»te seule, op. 35 PA 11 0439
  • Svitani, pour chƓur de femmes, op. 51 PA 8112 0190

CD

(plusieurs enregistrements ont été transférés sur CD)

  • Concerto pour clavecin et orchestre Ă  cordes op. 42 Supraphon SU 3736-2 911
Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ, clavecin
Orchestre de chambre de Prague / Viktor Kalabis
  • Concerto pour violon et orchestre no 1
Petr Ć kvor, violon
Orchestre symphonique de Prague / Viktor Kalabis
  • Cinq chansons romantique d’amour op. 38
Ernst Haefliger
Orchestre de chambre TchĂšque / Viktor Kalabis
  • Variations Symphonique pour grand orchestre op. 24
Philharmonie TchĂšque / VĂĄclav Neumann
  • Symphonie no 3 Panton 81 9027 2 011
Orchestre Symphonique de Radio Prague / Jiƙí Bělohlávek
Concerto pour violon et orchestre no 2
Josef Suk, violon
Philharmonie TchĂšque / Wolfgang Sawallisch
  • Concerto pour grand orchestre op. 25
Philharmonie TchĂšque / Ladislav SlovĂĄk
  • Symphonie no 3 pour grand orchestre op. 33 Harmonia Mundi PR 255 002 CM 210
Orchestre Symphonique de Radio Prague / Jiƙí Bělohlávek
Tristium, Fantaisie concertante pour alto et cordes op. 56
LubomĂ­r MalĂœ, alto
Orchestre de chambre slovaque / Bohdan Warchal
Symphonie Fragment no 5 pour grand orchestre op. 43
Orchestre Symphonique de Radio Prague / Jiƙí Kout
Bajka (Fable), musique de ballet pour orchestre de chambre op.59
Philharmonie de chambre de Pardubice / Petr Ć kvor
  • Tristium op. 56 Arco Diva UP 0097 – 2 131
(+ Jindƙich Feld : Sonate pour flĂ»te (+ orch.)
Musique concertante pour flûte, alto, harpe et cordes
Zdeƈek Lukåƥ : Musique pour harpe et cordes)
Jitka HosprovĂĄ, alto
Orchestre de chambre de Prague / AntonĂ­n Hradil
  • Tristium op. 56 Artesmon AS 720 – 2 –Chvala violy
(+ Klement SlavickĂœ : Rapsodie pour alto solo
Zdeƈek Lukåƥ : Sonate pour alto solo
Petr Eben : Rorate Coeli)
Jan PeruĆĄka, alto
Petite Philharmonie TchĂšque / Jan Kucera
  • Symphonie no 2 op.18 Sinfonia Pacis pour grand orchestre Harmonia Mundi PR 250 011 CM 201
Orchestre symphonique de Prague (FOK) / Václav Smetáček
(+ W. Lutoslawski : concerto pour orchestre
B. Britten : Cantata Misericordium)
  • Diptych op. 66 pour cordes MD + G L 3317
Orchestre de chambre Suk / Josef Vlach
(+ Leoơ Janáček : Suite pour cordes
Bohuslav MartinĆŻ : Partita et Serenata II)
  • Quatuor Ă  cordes no 3 op. 48 Panton 71 0440-2
Talich quartet
Quatuor Ă  cordes no 4 op. 62 ad honorem J. S. Bach
DoleĆŸal Quartet
Quatuor à cordes no 5 op. 63 à la mémoire de Marc Chagall
Kroft Quartet
Quatuor à cordes no 6 op. 68, à la mémoire de Bohuslav MartinƯ
MartinĆŻ Quartet
  • Aquarelles pour clavecin op. 53 Nibiru 0138 2131
Preludio, Aria e Toccata per clavicembalo ‘I Casi di Sisyphos’
Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ, clavecin
(+ Bohuslav MartinĆŻ : Sonate ; Deux piĂšces ; Deux impromptus
Jan RychlĂ­k : Ommaggi Gravicembalistici
Peter Mieg : Pour le clavecin
BĂ©la BartĂłk : 3 Danses bulgares du cycle Mikrokosmos)
  • Sonate pour violon et piano op. 58 Panton 81 1398 2 131
Ivan ĆœenatĂœ, violon ; Milan Langer, piano)
Hallelujah (Psaume 150) pour violon et piano, troisiùme partie des ‘Trois fresco’s de l’Ancien Testament, ensemble avec Petr Eben et Oldƙich Korte (*)
Antonin NovĂĄk, violon ; Jaroslav Ć aroun, piano
(+ Oldƙich Korte : Philosophical Dialogues ; Elihu contra Job (*)
Petr Eben : Sonatina Semplice ; Saul et la prophétesse à En Dor (*)
  • Ludus pour quatuor avec piano op. 82 Arcodiva Stereo UP 0027-2- 131
MartinĆŻ Piano Quartet
(+ Bohuslav MartinĆŻ : Quatuor avec piano no 1
Karel Husa : Variations pour violon, alto, cello et piano)
  • Six two-part cononical Inventions op. 20 pour clavecin AMU 2000
(1 – 4) Czech Radio Licence HF 0006-2131
(+ Jiƙí. Gemrot : Sonata per cembalo
Lubor BĂĄrta : Sonata
Milan SlavickĂœ : Coming together 1
Jiƙí Teml : Diptych
Bohuslav MartinĆŻ : Sonata
Petr Eben : Sonata)
Giedré Lukƥaité-Mråzkovå.

Références

  1. « Encyclopédie Larousse en ligne - Viktor Kalabis », sur larousse.fr (consulté le ).
  2. « Mouvement Janáček - Notice », sur mouvementjanacek.free.fr (consultĂ© le ).
  3. The Viktor Kalabis and Zuzana RĆŻĆŸičkovĂĄ Foundation
  4. « Viktor Kalabis Complete Works – Harpsichordist », sur kalabismusic.org (consultĂ© le ).

Bibliographie

  • StĂ©phane Detournay, Viktor Kalabis, musicologue et compositeur tchĂšque, in : Le Courrier de Saint-GrĂ©goire n°100, revue de l'AMSG, 2021-2022/V.

Liens externes

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