Trois Femmes puissantes
Trois Femmes puissantes est un roman de Marie NDiaye paru le aux éditions Gallimard et ayant reçu le prix Goncourt la même année.
Historique
Marie NDiaye a dédié son roman à ses trois enfants Laurène, Silvère et Romaric. Le , ce roman reçoit le prix Goncourt dès le premier tour, fait rare, par cinq voix contre deux pour La Vérité sur Marie de Jean-Philippe Toussaint, et une voix pour Les Heures souterraines de Delphine de Vigan[1] - [2]. Le roman était largement favori pour obtenir le prix dès la première sélection du jury connue[3]. Il est l'une des meilleures ventes de la rentrée littéraire 2009[4].
En 2013, des passages du roman sont adaptés et lus dans le film-documentaire Notre monde de Thomas Lacoste.
Résumé
Ce roman composé de trois récits est l'histoire de trois femmes, Norah, Fanta et Khady, qui disent « Non » à l'humiliation et « Oui » à la vie.
Éditions
- Marie NDiaye, Trois Femmes puissantes, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », , 316 p. (ISBN 978-2-07-078654-1)
- Marie NDiaye, Trois Femmes puissantes, Versailles, Feryane, coll. « Roman », , 309 p. (ISBN 978-2-84011-935-7)Édition en gros caractères
- Marie NDiaye, Trois Femmes puissantes, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Écoutez lire », (ISBN 978-2-07-012811-2)Narratrice : Dominique Blanc ; support : 1 disque compact audio MP3 ; 9 h 15 min environ ; référence éditeur : Gallimard A 12811.
- Marie NDiaye, Trois Femmes puissantes, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Folio » (no 5199), , 332 p. (ISBN 978-2-07-044049-8)
Notes et références
- « Le prix Goncourt à Marie NDiaye, le Renaudot à Frédéric Beigbeder », Libération,‎ (lire en ligne).
- Pierre Assouline, « Le Goncourt de 2004 à 2011 », Du côté de chez Drouant, France Culture, 31 août 2013, à réécouter sur franceculture.fr.
- Thierry Clermont, « Goncourt et Renaudot : ultimes rumeurs et pronostics », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
- « Marie NDiaye : 140 000 exemplaires vendus », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
- Désirée Schyns, « Harraga dans la littérature francophone : Boualem Sansal, Tahar Ben Jelloun, Mathias Enard et Marie Ndiaye », sur Romanische Studien.de.