Traité de Fort Jackson
Le traité de Fort Jackson est un traité signé le à Fort Jackson en Alabama, à l'issue de la guerre Creek, au terme duquel les Creeks cèdent au gouvernement fédéral des États-Unis près de 89 000 km2 (22 millions d'acres) de terres[1], soit plus de la moitié de leurs possessions territoriales héréditaires. Le traité accorde aux Amérindiens des droits individuels de propriété foncière, disloquant la propriété commune du territoire.
Territoires cédés par les Creek au traité de Fort Jackson
Ce traité a ouvert la porte à l'Alabama fever, qui voit la population du Territoire de l'Alabama multipliée par 12 entre 1810 et 1820.
Notes et références
- Howe 2007, p. 75.
Annexes
Bibliographie
- (en) Daniel Walker Howe, What hath God wrought : the transformation of America, 1815-1848, New York, Oxford University Press, , 904 p. (ISBN 978-0-19-507894-7, OCLC 896102165, lire en ligne).
- (en) James Leitch Wright, Creeks & Seminoles : the destruction and regeneration of the Muscogulge people, Lincoln, University of Nebraska Press, , 383 p. (ISBN 978-0-8032-4738-3, OCLC 47009656, lire en ligne).
Liens externes
- (en) Kathryn Braund, « Summer 1814 : the Treaty of Ft. Jackson ends the Creek War », sur nps.gov.
- (en) Christopher Maloney, « Treaty of Fort Jackson », sur encyclopediaofalabama.org.
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