The Rusty Bells

Après diverses formations musicales communes, Jérémy Andrès et Christophe Bureau s'entendent sur ce nouveau projet psychédélique en 2008[1].

Le nom du groupe n'est pas un hasard. D'après leurs protagonistes : « Le bruit des cloches a un pouvoir d’exorcisme et de purification ; dans certains pays, il est même associé à celui du tonnerre »[2].

Le duo joue une musique parfois qualifiée de « psychédélisme galactique »[3].

Pendant les trois premières années, les Rusty Bells privilégient les concerts et les tournées à travers la France et l'Europe[4] - [5] - [6] - [7] - [8] - [9] - [10] - [11] - [12].

En 2010, les Rusty Bells sont le premier lauréat du programme de soutien à la création étudiante (offert par l'Université de Droit de Toulouse et le Festival Electric Artyland)[13] - [14].

En juin 2011, Thomas Capdevielle intègrera la formation[15].

Le groupe deviendra duo à partir de l'année 2014.

Le groupe signe son premier album[16] sur le label Dead Bees records (en) (label qui distribuait certains albums du groupe Californien The Brian Jonestown Massacre)[17].

C'est l'occasion pour eux de sortir leur premier vinyle. Un projet qui leur tenait particulièrement à cœur depuis de nombreuses années[18].

Après de multiples collaborations et de nombreux concerts[19] - [20] - [21], le groupe devenu alors un duo sort son nouveau single Run to Stay Inside[22] et fait l'objet d'un soutien artistique par la marque Converse (chaussure)[23].

The Brian Jonestown Massacre[24], Hubert-Félix Thiéfaine[25],The Jim Jones Revue[26] - [27], Joel Gion, King Khan and the Shrines [28], Dex Romweber Duo, Bob & Lisa du groupe The BellRays, Oli le baron[29], Julien Doré[30], Ghinzu[31], Luke[32], Asyl[33], Richard Kolinka de Téléphone[29], My Little Cheap Dictaphone[34], Sky Parade[35], Left Lane Cruiser[36], Overwerk, Heymoonshaker[37], Poni Hoax, Tagada Jones etc.