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Successions alternatives au trĂ´ne d'Angleterre

La succession de la couronne de Grande-Bretagne est déterminée par l'Acte d'établissement de 1701. Cet acte stipulant que, Guillaume III et Anne étant morts sans descendance, la couronne serait donnée à Sophie de Hanovre (une petite-fille de Jacques Ier) et à ses héritiers protestants. Cette loi a toujours été appliquée depuis, exception faite de l’amendement passé en 1936 lorsqu’aucun descendant d'Édouard VIII n'a prétendu au trône.

L'histoire britannique nous montre de nombreux cas de succession alternative.

Le long de cet article, le nom du monarque historique apparaît en italique et en gras son nom qu'il aurait dû porter en tant que monarque.

Georges PlantagenĂŞt, duc de Clarence

En 2004, le documentaire Britain's Real Monarch rĂ©vèle la descendance directe de son père, Michael Abney-Hastings, de Georges PlantagenĂŞt, 1er duc de Clarence, et rĂ©itère l'illĂ©gitimitĂ© du mariage d'Édouard IV et d'Élisabeth Woodville (illĂ©gitimitĂ© proclamĂ©e par le Parlement d'Angleterre en 1483, puis annulĂ©e en 1485), union dont descendent tous les monarques d'Angleterre depuis la Maison Tudor.

Edouard VII

Edouard du Palatinat, avait, en tant que frère ainé de Sophie de Hanovre de meilleure prétention qu'elle sur le trône d'Angleterre, il en fut exclu à cause de sa religion catholique.

Continuation de la maison de Stuart

Voir Jacobitisme et Ordre de succession jacobite pour le trĂ´ne britannique

Notes et références

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