Shelagh McDonald
Shelagh McDonald est une auteure-compositrice-interprète écossaise de musique folk.
Genre musical | folk |
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Instruments | voix |
Années actives | 1970-1971, depuis 2012 |
Labels | B&C Records |
Site officiel | https://shelaghmcdonald.wordpress.com/ |
Biographie
Shelagh McDonald s'est fait connaître au début des années 1970 avec deux disques, Shelagh McDonald Album (1970) et Stargazer (1971). Elle a ensuite soudainement disparu. La sortie de ses anciens enregistrements sous forme de compilation en 2005 a attiré l'attention du journaliste Charles Donovan, qui écrit alors un article dans The Independent, s'interrogeant sur le sort de la chanteuse[1]. La presse écossaise s'étant intéressée à son tour à sa disparition, Shelagh McDonald est réapparue pour raconter son histoire. Sa disparition est due à un bad trip après une prise de LSD, qui l'a soumise à des hallucinations durant plusieurs semaines, et lui a demandé plus de 18 mois pour récupérer une santé et un psyché normaux, et qui a surtout complètement ruiné sa voix[2]. Elle a mené ensuite une vie nomade à travers l'Écosse pendant plusieurs décennies avec son compagnon[3].
Depuis la mort de dernier en 2012, sur ses encouragements, Shelagh McDonald s'est remise à la chanson[4]. Elle a sorti un troisième disque, en déclarant avoir simplement refermé une parenthèse de 40 ans[2].
Discographie
- 1970 : Shelagh McDonald Album, B&C Records
- 1971 : Stargazer, B&C Records
- 2005 : Let No Man Steal Your Thyme, Sanctuary Record
- Parnassus Revisited
Références
- (en) Charles Donovan, « Mystery Woman », The Independent, 23 juin 2005.
- [(en) Chris Broughton, « I disappeared for 30 years », sur The Guardian,
- (en) Charles Donovan, « Shelagh McDonald, Vanished Singer/Songwriter Feared Dead for Decades, Is Alive and Singing… », sur huffingtonpost.co.uk, (consulté le )
- (en) « Singer back, 40 years after vanishing act », sur heraldscotland.com, (consulté le )
Sources
- (en) Ian Anderson, « Shelagh McDonald - Return Journey », sur frootsmag.com, fRoots (en), (consulté le ), numéro 353/354.