Servantes de la Très Sainte Trinité et des pauvres
Les servantes de la Très Sainte Trinité et des pauvres (en latin : Congregationem Ancillarum a SS. Trinitate et a Pauperibus) sont une congrégation religieuse féminine hospitalière de droit pontifical.
Servantes de la Très Sainte Trinité et des pauvres | |
Ordre de droit pontifical | |
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Approbation diocésaine | 10 août 1911 par Mgr Ortíz y Rodríguez |
Approbation pontificale | 28 avril 1962 par Jean XXIII |
Institut | congrégation religieuse |
Type | apostolique |
But | soins des malades et des personnes âgées |
Structure et histoire | |
Fondation | 25 décembre 1897 Guadalajara |
Fondateur | Marie-Vincente de Sainte-Dorothée |
Abréviation | SS.T.PP |
Rattaché à | ordre des frères mineurs |
Site web | (es) site officiel |
Liste des ordres religieux |
Historique
Le , Dorothée Chávez Orozco (1867-1949) guérit d'une pleurésie et promet de consacrer sa vie au service des pauvres malades dans l'hôpital de la Santísima Trinidad de Guadalajara. Elle fonde sa congrégation avec l'aide du père Miguel Cano Gutiérrez et prononce des vœux religieux avec deux compagnes le et prend le nom religieux de Marie-Vincente de Sainte-Dorothée.
Le , la congrégation reçoit une première approbation de l'archevêque de Guadalajara, José de Jesús Ortíz y Rodríguez ; avec l'accord du Saint-Siège, il l'établit comme institut religieux de droit diocésain le . Les servantes des pauvres sont agrégées à l'ordre des frères mineurs le et obtiennent le décret de louange le .
Activités et diffusion
Les servantes des pauvres se consacrent aux soins des personnes âgées et des malades et fournissent leurs services dans les hôpitaux et les maisons de retraite.
Elles sont présentes dans huit diocèses du Mexique.
La maison-mère est à Guadalajara.
En 2017, la congrégation comptait 130 sœurs dans 20 maisons[1].
Notes et références
- (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, , 2329 p. (ISBN 978-88-209-9975-9 et 88-209-9975-7), p. 1642