Seh-Dong-Hong-Beh
Seh-Dong-Hong-Beh (ce qui signifie "Dieu dit la Vérité") était une cheffe des Amazones du Dahomey. En 1851, elle dirigea une armée entièrement féminine composée de 6 000 combattantes contre la forteresse Egba de Abeokuta[1] - [2] - [3] - [4] - [5] - [6] - [7] - [8] - [9].
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Seh-Dong-Hong-Beh » (voir la liste des auteurs).
- « HISTOIRE. De l'Antiquité au XIXe siècle, ces femmes qui ont fait l’Afrique », Courrier international,
- « Femmes dans l'histoire de l'Afrique », UNESCO
- (en) John Laffin, Women in battle, Abelard-Schuman, , 192 p.
- Reginald Hargreaves, Women-at-arms, Hutchinson & Company,
- « Seh-Dong-Hong-Beh of Abomey (Benin) | Rain Queens: Female leadership traditions of Africa », sur rainqueensofafrica.com (consulté le )
- (en-US) Sarah Kettler, « 'Wonder Woman' Hits the Big Screen: A Look at 7 Real-Life Super Heroines », Biography.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Afrikan Women Warriors », (version du 27 octobre 2009 sur Internet Archive)
- (en) Tim Coates, King Guezo of Dahomey, 1850-52 : The Abolition of the Slave Trade on the West Coast of Africa, Stationery Office, , 232 p. (ISBN 978-0-11-702460-1, lire en ligne)
- (en-US) Kiersten Willis, « Fearless Black Female Warriors of Dahomey Kingdom Get Live-Action Series », Atlanta Black Star,‎ (lire en ligne, consulté le )
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