Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires. (modifier l'article).
-La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents :
- Les titres sont pré-formatés par le logiciel. Ils ne sont ni en capitales, ni en gras.
- Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
- Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
- L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
- Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
- Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
- Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
- Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
- Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
- Insérer une infobox (cadre d'informations à droite) n'est pas obligatoire pour parachever la mise en page.
Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification.
Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article.
Le terme de révolution affective est avancé par Sander et Scherer en 2014 pour désigner une période qui débute en plein cœur des années 1980 et qui succède à ce que l'on appelle la Révolution cognitive dans les années 1960.
Ce tournant affectif, qu’une analyse historique attribue à un essor des travaux sur les émotions en psychologie (Deluermoz, Fureix, Mazurel et Oualdi, 2013 ; Rimé, 2016), ne doit pas tant à la découverte des émotions elles-mêmes qu’à la découverte du rôle central et fonctionnel qu’elles jouent dans les conduites humaines (Damasio, 1995). En effet, les processus affectifs et émotionnels, selon ce qu’en fait l’individu, assurent différentes fonctions au niveau individuel et au niveau interindividuel ou social. Sur ce dernier point, on sait désormais que l’expression affective et émotionnelle influence les émotions, cognitions et comportements d’autrui et favorise l’affiliation ou au contraire la distanciation (Fischer et Manstead, 2008 ; Frijda et Mesquita, 1994 ; Keltner et Haidt, 1999)[1].
Notes et références
- Mael Virat et Catherine Lenzi, « La place des émotions dans le travail socio-éducatif », Sociétés et jeunesse en difficulté,‎ , p. 1 (lire en ligne)