Prix Capuran
Le prix Capuran, de la fondation du même nom, est un ancien prix triennal de l'Académie française, créé en 1895 et « décerné au meilleur poème écrit sur un sujet moral ou religieux, ou à toute pièce de théâtre pouvant servir à l’amélioration de la jeunesse »[1].
Lauréats
- 1899 : Léonce Depont (1862-1913) pour Sérénités
- 1902 :
- Émile Fabre pour La vie publique
- Yann Nibor, dit Albert Robin (1857-1947) pour Poésies populaires
- 1905 :
- Louis Le Cardonnel pour Poèmes
- Charles Segard
- Émile Trolliet
- 1908 :
- Théodore Botrel pour Notre-Dame-Guesclin
- Juliette de Wils pour Bayard
- Eugénie Houchard pour Estelle
- 1911 :
- Marie Bellier-Klecker pour Théâtre du jeune âge
- A. Bentz pour Chants français et chrétiens
- Louis Mercier pour Lazare le Ressuscité
- Achille Millien pour L’heure du couvre feu
- 1914 : Jacques des Gachons
- 1917 :
- André Rivoire pour L’humble offrande
- Marius Touron (1882-1915) pour Glanes et copeaux
- 1920 :
- Charles de Saint-Cyr (1875-1940) pour Complaintes poèmes suivis de Noël
- Joseph-Émile Poirier (1875-1939) pour Plus haut que soi-même
- 1923 :
- Marie Diemer pour Sainte Geneviève
- Albert Marchon (1897-1970) pour Sous le signe de la Vierge
- 1926 : Marc Leclerc
- 1929 :
- Suzanne Buchot pour Quand se penchent les lys
- Madeleine de Lanartic pour Nouvelles oraisons
- Marie-Louise Dromart pour Sur mes pipeaux fleuris
- 1932 :
- Yvonne Estienne pour Ça suit
- Germain Trézel (1877-1946) pour La tunique de Nessus
- 1935 :
- Pierre Dumaine pour Louise de Bettignies, pièce en trois actes
- Lionel Nastorg pour Une histoire d’amour
- Émile Roudié (1877-1953) pour Souvereine
- 1938 : Cita (Vandaele) Malard et Suzanne Malard pour Le Dieu vivant
- 1941 : Robert Pelée de Saint-Maurice pour Alexis
- 1950 : Robert Morche
- 1954 : Maurice Gervais pour La couronne de Stratonice Héliogabale
- 1956 : Pierre Pineau pour Ceux qui rachètent
- 1962 : Louis Geandreau et Léon Guillot de Saix pour Narcisse
- 1968 : Florette Morand pour Feu de brousse
- 1971 :
- Alice Cluchier (1899-1987) pour Du vitrail à la lumière
- Alain Frontier pour Royauté
- 1974 : Charles Dhers pour Arant, navigant
- 1977 :
- Marc Baron pour Que la transparence nous vienne
- Marcel Boucard pour Est-ce vrai ?
- 1980 : Jean Vuaillat pour Mariales et signets pour Noël
- 1984 :
- Maria Antonia Alexandra pour Vie religieuse
- Geneviève Bo pour Poèmes : Requiem, Visages, Bestiaire, Sourires
- Henry de Julliot pour Cantate pour une mère
- 1987 : Maurice Courant et Anonyme pour Dons[2]
Notes et références
- « Prix Capuran », sur Académie française (consulté le )
- « Cas particulier de 1987 », sur académie-française.fr (consulté le )
Liens externes
- Prix Capuran sur librarything
- Anciens prix décernés par l'Académie française sur le site de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1915, « à la mémoire des écrivains tués à l'ennemi » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1916, « aux écrivains combattants, tués ou blessés à l'ennemi » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1942, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1943, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1944, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1945, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1946, « prix littéraires de la captivité » sur Archives de l'Académie française.
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