Police de l'Ă©poque d'Edo
Dans le Japon féodal, les guerriers individuels et les groupes de citoyens sont principalement responsables de l'auto-défense jusqu'à l'unification du pays par Tokugawa Ieyasu en 1603. Au cours de l'époque d'Edo (1603–1868), le shogunat Tokugawa forme un gouvernement féodal centralisé[1]. Les samouraï qui protègent autrefois le Japon contre les ennemis extérieurs et se battent entre eux pour la suprématie et deviennent la nouvelle police et constituent les effectifs des forces de sécurité intérieure[2]. Leur nouvel emploi consiste à assurer la paix civile, ce qu'ils accomplissent pendant plus de 250 ans[3].
Estampe sur bois de l'Ă©poque d'Edo montrant des policiers portant des armures sous leur kimono, et utilisant jutte, sasumata, sodegarami et tsukubo pour capturer des criminels au sommet d'un toit.
Armes
- Sasumata
- Tsukubo
- Sodegarami
- Jutte
- Kanamuchi
- Kusari-fundo/manriki
- Kriko no bo/aribo
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Edo period police » (voir la liste des auteurs).
- A History of Japan: 1615-1867, Author Sir George Bailey Sansom, Publisher Stanford University Press, 1963, (ISBN 0804705267 et 9780804705264) P.46
- Bonds Of Civility: Aesthetic Networks And The Political Origins Of Japanese CultureStructural Analysis In The Social Sciences, Author Eiko Ikegami, Publisher Cambridge University Press, 2005, (ISBN 0521601150 et 9780521601153) P.157
- The Hated Outsiders: How Manifest Destiny Affected the Japanese and the Jews, Author Jesse C. Newman, Publisher AuthorHouse, 2011, (ISBN 1463402538 et 9781463402532) P.167
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