Pierre Ismaël Bidoung Kpwatt
Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt, né le à Nanga Eboko, est un homme politique camerounais[1]. Il est ministre des Sports et de l’Éducation physique dans le gouvernement Philémon Yang[2]. Le , il est nommé par décret présidentiel du chef de l'État Paul Biya, ministre des Arts et de la Culture dans le gouvernement Joseph Dion Ngute[3].
| Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Ministre camerounais des Arts et de la Culture | |
| En fonction depuis le (4 ans et 6 mois) |
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| Président | Paul Biya |
| Premier ministre | Joseph Dion Ngute |
| Gouvernement | Dion Ngute |
| Prédécesseur | Narcisse Mouelle Kombi |
| Ministre des Sports et de l'Ă©ducation physique | |
| – (3 ans, 3 mois et 1 jour) |
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| Président | Paul Biya |
| Premier ministre | Philémon Yang |
| Gouvernement | Yang III et IV |
| Prédécesseur | Adoum Garoua |
| Successeur | Narcisse Mouelle Kombi |
| Ministre de la Jeunesse et de l'Éducation civique | |
| – (3 ans, 9 mois et 22 jours) |
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| Président | Paul Biya |
| Premier ministre | Philémon Yang |
| Gouvernement | Yang II |
| Prédécesseur | Adoum Garoua (Jeunesse) |
| Successeur | Mounouna Foutsou |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Nanga Eboko (Cameroun) |
| Nationalité | Camerounaise |
| Parti politique | RDPC |
| Profession | Dramaturge politique |
Biographie
Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt est né le à Nanga Eboko, une localité située dans la région du Centre du Cameroun. Il est dramaturge politique. Il est universitaire, éducateur et animateur social[4]. Il exerce la fonction de directeur de l'Institut National de la Jeunesse et du Sport (INJS) avant d'être ministre.
Politique
Ministre de la Jeunesse et des Sports, puis ministre de la Jeunesse et de l'Éducation civique de 2011 à 2015, il est nommé ministre des Sports et de l'Éducation physique le [5]. Il a été nommé dans le nouveau gouvernement de 2019 au poste de Ministre des Arts et de la Culture[6]. Il est membre du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), le parti au pouvoir. Dans le parti, il exerce la fonction de chargé de relation avec les femmes (OFRDPC) et les jeunes (OJRDPC) du RDPC[7].
#BidoungChallenge
En 2016, son salut courbé devant le président Biya lors de la présentation de l'équipe du Cameroun féminine de football lui vaut d'être moqué pour son extrême révérence[12]. La posture sera ainsi reprise par les joueurs de l'équipe du Cameroun de football devant le président après leur victoire à la CAN 2017[13].
Articles connexes
Références
- Jean-Marie Nkoussa, « Remaniement ministériel : Bidoung Kpwatt de retour au ministère des Sports », Cameroon-Info.Net, 3 octobre 2015
- « Services du Premier ministre », sur www.spm.gov.cm, (consulté le )
- SPM Services du Premier ministre Portail du gouvernement, « nomination du 04 janvier 2019 », sur www.spm.gov.cm (consulté le )
- « Les Charognards | Librairie Numérique Africaine », sur librairienumeriqueafricaine.com (consulté le )
- « Le Ministre Bidoung Kpwatt prend fonction », Ministère des Sports et de l'Éducation physique, (Cameroun), 7 octobre 2015
- Darren Lambo Ebelle, « CAMEROUN :: Voici le nouveau gouvernement de Paul Biya :: CAMEROON », sur camer.be, (consulté le )
- cameroun24.net - Master Communication, « Bidoung Mkpatt :Le retour du baroudeur », sur cameroun24.net (consulté le )
- Bidoung Kpatt Pierre Ismaël, Théâtre et développement culturel au Cameroun, ANRT, , 1415 p. (lire en ligne)
- Bidoung Kpatt Pierre Ismaël, La veste de fer : suivi de, Monsieur le Préfet, Cameroun, Editions CLE, , 130 p. (lire en ligne)
- Bidoung Kpatt Pierre Ismaël, Les Charognards, Cameroun, Edition CLE, , 222 p. (ISBN 978-2-7235-0330-3 et 2-7235-0330-5, lire en ligne)
- Bidoung Mkpatt Pierre Ismaël, Les Malicieuses : ou les Femmes capables.., Cameroun, RFI, , 254 p. (lire en ligne)
- « La révérence d'un ministre devant le président fait le buzz au Cameroun », sur voaafrique.com,
- Mathieu Olivier, « Cameroun : les Lions indomptables osent le #BidoungChallenge devant Paul et Chantal Biya », sur Jeune Afrique,