Physogyra lichtensteini

Ce corail forme des colonies de taille modeste mais de constitution massive, ou des plaques épaisses (parfois jusqu'à 2 m de diamètre[2]). Ils constituent des méandres avec des vallées courtes mais largement séparées (quoique toujours connectées), connectées avec un coenosteum clair et fin. Les septes sont grandes, solides, avec un bord lisse, proéminentes et largement espacées. Les cloisons sont solides. Les tentacules sont étendus seulement la nuit. Pendant la journée toute la surface de la colonie est couverte d'une masse de vésicules la taille de petits raisins, arrondis ou oblongs voire pointus (5-10 mm de diamètre[2]). Ceux-ci se rétractent quand ils sont dérangés[3].

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  Grosse colonie.
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  Gros plan.
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  Avec une crevette symbiotique, Thor amboinensis.

Cette espèce ne doit pas être confondue avec Plerogyra sinuosa, qui a des « bulles » plus grandes[2], et des méandres plus lâches[3].

C'est un corail qui peut être commun dans les eaux turbides, ou dan des habitats protégés[3]. On la trouve ponctuellement dans tout l'Indo-Pacifique tropical[3].

• (en) Référence World Register of Marine Species : espèce Physogyra lichtensteini (Milne Edwards & Haime, 1851) (consulté le 22 juin 2015)
• (en) Référence Catalogue of Life : Physogyra lichtensteini (Milne Edwards & Haime, 1851) (consulté le 22 décembre 2020)
• (fr+en) Référence CITES : espèce Physogyra lichtensteini (Milne Edwards & Haime, 1851) (+ répartition) (sur le site de l’UNEP-WCMC) (consulté le 22 juin 2015)
• (fr) Référence CITES : taxon Physogyra lichtensteini (sur le site du ministère français de l'Écologie) (consulté le 22 juin 2015)
• (fr) Référence DORIS : espèce Physogyra lichtensteini (consulté le 22 juin 2015)
• (fr) Référence INPN : Physogyra lichtensteini Milne Edwards & Haime, 1851 (TAXREF) (consulté le 22 juin 2015)
• (en) Référence NCBI : Physogyra lichtensteini (taxons inclus) (consulté le 22 juin 2015)
• (en) Référence uBio : site déclaré ici indisponible le 7 avril 2023
• (en) Référence UICN : espèce Physogyra lichtensteini (Milne Edwards & Haime, 1851) (consulté le 22 juin 2015)