Philippe Joye
Philippe Joye, né le à Fribourg, est un architecte et une personnalité politique genevoise.
| Philippe Joye | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Conseiller d'État du canton de Genève | |
| – | |
| Élection | |
| Prédécesseur | Christian Grobet |
| Successeur | Laurent Moutinot |
| Député au Grand Conseil du canton de Genève | |
| – | |
| LĂ©gislature | 58e (2013-2018) |
| – | |
| LĂ©gislature | 51e (1985-1989) 52e (1989-1993) |
| – | |
| LĂ©gislature | 50e (1981-1985) |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Fribourg |
| Nationalité | Suisse |
| Parti politique | Mouvement citoyens genevois (2013-) Parti démocrate-chrétien (?-2013) |
| Profession | Architecte |
Biographie
Il est membre du Parti démocrate-chrétien et conseiller d'État genevois entre 1993 et 1997, responsable du département des travaux publics. En 2013, il adhère au Mouvement citoyens genevois[1]. La même année, il est élu député au Grand Conseil du canton de Genève[2]. Il n'est plus député depuis .
En , il est élu au conseil municipal de la ville de Vernier, mais il renonce finalement à y siéger[3].
Enfance
Philippe Joye et son frère jumeau sont nés dans la nuit du à l'hôpital à Fribourg. Dans la nuit, son frère est échangé avec un autre bébé, et pendant 6 ans, il vivra avec Paul, qu'il pense être son frère, alors que son jumeau vit dans une famille germanophone qui l'a nommé Ernstli. En 1947, les deux jumeaux se retrouvent côte à côte, et la ressemblance frappante ne laisse aucun doute sur l'échange. À la suite de difficultés administratives, puis d'un test de compatibilité d'une greffe de peau, la justice décide que les deux enfants échangés doivent réintégrer leur foyer. Les parents Joye laisseront à leur fils le choix de son prénom, et il choisira celui de son oncle, Charles[4].
Notes et références
- Jean-François Mabut, « C'est par dépit que l'ex-conseiller d'Etat PDC Philippe Joye passe au MCG », sur tdg.ch, (consulté le ).
- « ge.ch/elections/20131006/gc/co… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Laure Gabus, « Philippe Joye renonce à siéger à Vernier », La Tribune de Genève,‎ (lire en ligne
, consulté le ). - Xavier Lafargue, « L'incroyable destin des jumeaux Joye », Le Matin,‎ (lire en ligne).
Liens externes
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Blog de Philippe Joye