Part de fortune
La part de fortune est en astrologie la seule part arabe encore usitée avec régularité. Pour une naissance diurne (la majorité des cas de nos jours avec le recours fréquent aux naissances provoquées), on obtient sa position en reportant à partir de l'ascendant la distance entre les positions en longitude écliptique du Soleil et de la Lune, mesurée dans le sens correspondant à l'ordre des signes (Bélier puis Taureau puis Gémeaux...), en partant du Soleil comme point de départ[1].
Si l'on déplace le Soleil sur l'ascendant, le nouvel emplacement de la Lune va déterminer la position de la part de fortune dans l'horoscope. Par conséquent, si un individu n'a pas fait d'efforts (domaine du Soleil et de l'ascendant) quant-à ses réactions par rapport au monde extérieur (domaine de la Lune[2]), alors la "part de fortune" sera plutôt un domaine d'infortune[3]. Voilà pourquoi la part de fortune est un élément d'astrologie karmique[4].
Notes et références
Notes
Références
- La part de fortune par Robert Hand
- Martin Schulman, Joie de vivre et part de fortune, Ă©d. d3, pages 24-25.
- Martin Schulman, Joie de vivre et part de fortune, 19.
- La part de fortune selon Laurence Larzul.
Bibliographie
- Michel de Socoa, La part de fortune, Éditions traditionnelles, .
- Martin Schulman, Astrologie karmique, Volume III : Joie de Vivre et Part de Fortune, (ISBN 978-2-88063-004-1).