Nouvelle scène rock française
La nouvelle scène rock française est le mouvement que Philippe Manœuvre, rédacteur en chef du magazine Rock & Folk, compare à l'émergence du Punk rock en Royaume-Uni et aux États-Unis en 1976[1], au Gibus, à La Flèche d'Or, au Triptyque et au Batofar ou à Bordeaux à l'Heretic Club, au Son'Art[2], au BT59 et à la Rock School Barbey). En 2006 et 2007, ils signent des contrats avec des majors du disque, comme BB Brunes avec Warner Music ou les Plasticines avec EMI. Sur une base batterie-guitare-basse, propre aux années 1960-70 et des claviers ils reproduisent un son plus vintage d'un orgue Hammond. On peut retrouver des chansons de ces groupes sur plusieurs compilations dont Paris Calling, Passe ton bac d'abord ou Bordeaux Teenage Rock.
Certains concerts regroupant des groupes issus de ce mouvement comme ceux sont organisés par la radio rock parisienne Oui FM ou par le magazine Rock & Folk avec les Rock'n'Roll Fridays. Quatre groupes majeurs ont ainsi été réunis à l'Olympia le : les BB Brunes, Naast, les Plastiscines et Les Shades. Influencés par The Libertines, The Strokes ou encore The White Stripes et des groupes plus anciens ou plus underground comme MC5, The Stooges, The Brian Jonestown Massacre ou encore Black Rebel Motorcycle Club.
Groupes par ville
Clermont-Ferrand
Lyon
Paris
- BB Brunes
- Brats
- Les Shades
- Lex Riders & The Machine Gun
- Naast
- Plastiscines
- Pravda
- Stéphane Mondino
- The Parisians
Références
- Soir 3, 22 février 2007
- Après cinq ans d’existence, le Son’Art ferme définitivement ses portes le 15 février 2009.
Voir aussi
Liens externes
- Alexis Bernier et Patrice Bardot, « Où sont les enfants du rock ? », sur next.liberation.fr, (consulté le ).