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Nationalisme sportif

Le nationalisme sportif désigne l'expression du nationalisme par le sport, ou la récupération de résultats sportifs pour promouvoir une politique nationale, d'une part ; la pratique d'un sport et sa promotion à visées nationalistes d'autre part.

La question nationale et le sport

Comme le propose Miroslav Hroc, il convient de traiter cette question en scindant l'espace géographique en trois. Les nations où le sport est implanté de longue date (France, Angleterre, etc), les anciennes colonies de ces métropoles sportives, et les nations issues de la chute de l'URSS, de l'ex-Yougoslavie à la Russie[1]. En effet, les problématiques sont différentes dans ces trois ensembles.

La « Question nationale » devient importante dans les années 1880 en Occident, et vers 1886-87 en France.

Bibliographie

  • Nationalismes et nation, Complexe, Raoul Girardet et coll. « Questions au XXe siècle », Bruxelles, 1995 (ISBN 2-87027-560-9)
  • L’Amour foot. Une passion planĂ©taire, Sous la direction de JĂ©rĂ´me Bureau et Jules Chancel,Éditions Autrement, Mutations, Poche n° 17, 1993. (ISSN 0751-0144)
  • L’IdĂ©ologie du sport en France. Michel Caillat, Paris, Les Éditions de la Passion, 1989.
  • Étienne Balibar, « Racisme et nationalisme : une logique de l’excès », in Racisme et modernitĂ©, sous la direction de Michel Wieviorka, Paris, Éditions La DĂ©couverte, 1993 (ISBN 2-7071-2190-8)
  • Amères victoires. Les sportifs noirs et le rĂŞve amĂ©ricain de mobilitĂ© sociale, Terrain. Carnets du Patrimoine Ethnologique, n° 25 (« Des sports »), .

Sources

Références

  1. Miroslav Hroc, Social Preconditions of National Revival in Europe, Cambridge, 1985, cité par « Le sport au secours des imaginaires nationaux », p.12, in « Quasimodo », N°3/4 Nationalismes sportifs, revue-quasimodo.org
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