Mohamed Ben Guittoun
Mohamed Ben Guittoun (ou Mohamed Ben Guitoun) (arabe : محمد بن قيطون)[1] est un célèbre poète algérien mort à la fin du XIXe siècle[2].
Mohamed Ben Guittoun
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XIXe siècle |
Biographie
Mohamed Ben Guittoun est originaire de la localité de Sidi Khaled (prés de Biskra), il compose en 1878 Hiziya (ou Haïziya), une élégie qui fera sa renommée dans le Sud constantinois[3]. Le poème, qui célèbre la mémoire de Hizia Bouakkaz (1855-1878), la bien-aimée de son ami Sayyad, morte dans la fleur de l'âge, « a été chanté par les plus brillants interprètes »[2] de musique melhoun[1].
Références
- Ahmed Amine Dellai, Guide bibliographique du melhoun : Maghreb, 1834-1996, L'Harmattan, , 383 p. (ISBN 2-7384-4715-5), p. 381 [lire en ligne]
- Achour Cheurfi, Écrivains algériens : Dictionnaire biographique, Alger, Casbah Éditions, , 415 p. (ISBN 9961-64-398-4), p. 82.
- Abdelhafid Hamdi-Cherif, « Le « aiyai », un chant de l'ouvert : Plaidoyer pour le bédouin », dans Rachid Aous (dir.) et Mohammed Habib Samrakandi (dir.), Musiques d'Algérie : Mémoire de la culture maghrébine, Toulouse, Presses universitaires du Mirail et Centre d'information et d'action musicales (CIAM), coll. « Horizons maghrébins : Le droit à la mémoire » (no 47), (ISBN 2-85816-657-9), p. 83 [lire en ligne].
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