Miocheries

Mel Bonis compose ses Miocheries pour piano en 1928. L'œuvre, comprenant onze destinataires, est publiée aux éditions Eschig en 1928[1]. Il s'agit de son quatrième album pour les enfants[2]. L'ouvrage est illustré par Georges Dola.

L'œuvre se compose de quatorze mouvements :

1. Première solitude, « pour commencer... »
2. Air connu, « pour Jeanine »
3. Ronde, « pour Daniel »
4. Le Moulin, « pour Étienne »
5. Fifille sage, « pour Huguette »
6. La leçon de solfège, « pour Claude »
7. À pas de loup, « pour Bernard »
8. Patineurs à roulettes, « pour Gilbert »
9. Croquemitaine, « pour eux tous »
10. Plutôt une vieille danse française, « pour Denise »
11. Joyeux scouts, « pour Guy »
12. Pique Nique, « pour Michel »
13. La Toute Petite s'endort, « pour Martine »
14. Les Noces de Polichinelle, « pour finir »

L'œuvre très facile et va en difficulté progressive. Chacune des quatorze pièces du recueil sauf la première, la neuvième et la dernière, sont dédiées à un de ses onze petits-enfants[2].

• n^o 13 : La Toute Petite s’endort – Bertrand Chamayou, piano (février 2020, Erato) (OCLC 1242055553) — dans Good Night!, avec 15 autres berceuses de Janáček à Brahms en passant par Glinka et Martinů, etc.

• Étienne Jardin, Mel Bonis (1858-1937) : parcours d'une compositrice de la Belle Époque, 2020 (ISBN 978-2-330-13313-9 et 2-330-13313-8, OCLC 1153996478, lire en ligne)

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