Marion Slitine

Elle a écrit une thèse sur l’art contemporain de Palestine[1], intitulée « La Palestine en créations. La fabrique de l'art contemporain, des territoires occupés aux espaces mondialisés »[2].

Elle contribue au livre Penser la Palestine en réseaux (Diacritiques Éditions/Les Presses de l’Ifpo, Sciences humaines et sociales, 2020). Elle dédie un chapitre aux réseaux de l’art contemporain de Palestine, sous le titre Un nouvel espace postnational ?[3].

Elle explique qu'à partir des années 2010, le Hamas a créé des syndicats d’artistes, financé des collectifs. « Il est tout dans l’intérêt du Hamas de redéployer cette politique culturelle pour montrer au monde sa légitimité », avance-t-elle[4].

En 2020, elle est lauréate du prix de du musée du Quai Branly - Jacques Chirac[2] et d’une mention spéciale du jury du Prix de thèse Moyen-Orient et mondes musulmans[5].

Elle est commissaire associée de l'exposition "Ce que la Palestine apporte au monde"[6] à l'Institut du Monde Arabe (IMA) à Paris du 31 mai au 19 novembre 2023[1]. On y découvre la vitalité de la scène créative palestinienne. Elle contribue au livre Ce que la Palestine apporte au monde[7] aux éditions Seuil[8].

Elle a été chargée de mission culturelle à l'Institut français à Jérusalem[9]. Elle est secrétaire générale du Cercle des Chercheurs sur le Moyen-Orient[10].

Elle est responsable d’un séminaire sur l’anthropologie de l’art contemporain au Moyen-Orient à l’IRIS (EHESS)[11].