Luigi Deleidi

Luigi Deleidi naît en 1774 dans la Province de Bergame[1], ou le 15 novembre 1784 à Bergame[2], dans une famille à vocation artistique. Sa mère est la fille de Pietro Antonio Gualdi (1716-v.1784), peintre local bien connu pour ses œuvres religieuses, et son frère Marco (1780-1843) qui devient également peintre[3]

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although none of his works have been positively identified

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Traduction du texte anglais :
Le texte italien du Treccani dit : « Bien qu'il s'agisse de l'un des plus intéressants peintres paysagers de Bergame, la littérature du XIXe siècle nous en dit peu à son sujet, elle est surtout vague et non enrichie de détails chronologiques. Un autre problème, à prendre en considération pour ne pas tomber dans des attributions erronées, est le fait que le frère aîné, Marc, était aussi peintre, bien qu'aujourd'hui nous ne connaissons aucune de ses œuvres ». La phrase en anglais se traduit par :« bien qu'aucune de ses œuvres n'aient été formellement identifiées».

[2]. Après avoir montré très tôt sa capacité à dessiner, Luigi est envoyé à la Scuola di Pittura e Scenografia à Milan, où il étudie avec Alessandro Sanquirico[4]. Il est possible qu'il visite Rome à cette époque et qu'il retourne à Bergame en 1825.

La Piazza Vecchia, la vieille place de la ville de Bergame, maintenant dans l'Accademia Carrara

Il décide de se spécialiser dans les paysages et est surnommé il Nebbia « Le Brouillard » parce que ses peintures ont toutes une couleur légèrement brumeuse, et beaucoup se déroulent en hiver[4].

Il est aussi un musicien talentueux et joue souvent du basson avec des orchestres locaux ou, à l'occasion, comme soliste[4]. Il se produit à la fois au Teatro Sociale et au Teatro Riccardi (maintenant connu sous le nom de Teatro Donizetti). En fait, il est un ami de Donizetti et un associé d'autres artistes bergamasques, dont Giuseppe Diotti, Francesco Coghetti et Paolo Vincenzo Bonomini.

De nombreux membres de la noblesse locale lu demandent de réaliser des fresques dans leurs villas, et il obtient de nombreuses commandes similaires lors d'un séjour à Rome de 1837 à 1842. Parmi celles-ci, les fresques du Castello di Calepio et du Castello di Costa di Mezzate, toutes deux appartenant à la famille Vertova. Il est également crédité de décorations dans un bâtiment appartenant à la famille Torlonia, identifié comme étant soit la Villa Torlonia à Castel Gandolfo, ou le palais Giraud-Torlonia[2]. Dans ce dernier cas, il a probablement travaillé avec son ami Coghetti. Il décore également plusieurs théâtres et participe à la conception de la production[4].

Il meurt célibataire à Bergame le 24 septembre 1853 à Bergame[2]. Trois jours plus tard, la nécrologie parait dans le Giornale di Bergamo[2].

En 1856, un buste en sa mémoire est réalisé par Giovanni Maria Benzoni (en), et placé dans l'académie Carrara[2].

• (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Luigi Deleidi » (voir la liste des auteurs).