Lorenzo Mambrini (football, 1978)
Lorenzo Mambrini (né le [1] à Città di Castello[2] en Ombrie) est un footballeur italien qui évoluait au poste de milieu de terrain, avant de devenir entraîneur.
Lorenzo Mambrini | ||
Biographie | ||
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Nationalité | Italien | |
Naissance | Città di Castello (Italie) |
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Poste | Milieu de terrain puis entraîneur | |
Parcours amateur | ||
Années | Club | |
SSD Città di Castello | ||
Baldaccio Bruni | ||
Torgiano | ||
San Lorenzo Lerchi | ||
Parcours professionnel1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
US Arezzo | ||
Parcours entraîneur | ||
Années | Équipe | Stats |
Castiglionese | ||
San Lorenzo Lerchi | ||
ASD Valfabbrica | ||
2013 | Guanabacoa | |
2015 | Santiago de Cuba | adjoint |
2016-2017 | Santiago de Cuba | 24v, 11n, 4d |
2017 | Cuba | adjoint |
2018 | La Habana | 5v, 0n, 3d |
2018-? | Chacaritas FC | |
2019-2020 | FC Ciego de Ávila | 13v, 3n, 0d |
1 Compétitions officielles nationales et internationales. Dernière mise à jour : 7 décembre 2020 |
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Biographie
Carrière de joueur
Mambrini effectue l'essentiel de sa carrière en Serie D (SSD Città di Castello, Baldaccio Bruni, Torgiano, San Lorenzo Lerchi) même s'il évolue chez les professionnels à l'US Arezzo (Serie C) sous les ordres de Serse Cosmi[3]. Une blessure l'oblige à mettre fin à sa carrière de joueur en 2011[2].
En Italie
Il obtient sa licence d'entraîneur en 2006 et dirige des clubs de Serie D dont le Castiglionese, San Lorenzo de Lerchi et Valfabbrica[3]. C'est avec ce dernier club qu'il se voit impliqué dans une affaire de matchs truqués en 2013[4]. Condamné à 3 ans et demi de suspension[4], sa peine est réduite à 3 ans puis à 18 mois avant d'être blanchi le [5].
Première expérience cubaine
Entretemps, il décide de s'exiler à Cuba, le pays de sa compagne. Il y est nommé entraîneur du FC Santiago de Cuba en [6] où il atteint la consécration en remportant le championnat 2017 sans connaître la moindre défaite[5]. Dans la foulée du titre obtenu, en , il est nommé sélectionneur-adjoint de l'équipe nationale cubaine – fonction qu'il n'exercera pas – et entraîneur du FC La Habana, le club de la capitale[7].
Fin , il réussit sa première mission à la tête des Havanais en s'octroyant la deuxième place de l'édition 2018 du Torneo de Ascenso (l'équivalent de la D2 cubaine), résultat qui permet à son nouveau club de disputer le championnat 2018[8]. Mais son expérience au sein du FC La Habana est de courte durée puisqu'il abandonne l'équipe dès la deuxième journée dudit championnat[9].
En Équateur
En , il prend les rênes du Chacaritas FC, club de la serie C équatorienne[10].
Retour à Cuba
En , il est annoncé à la tête du FC Ciego de Ávila[11], club de 1re division cubaine.
Palmarès (entraîneur)
- FC La Habana :
- Deuxième du Torneo de Ascenso (D2) en 2018.
- FC Ciego de Ávila :
- Vice-champion de Cuba en 2019-20 (Ape.).
Notes et références
- (es) Reinaldo Cedeño Pinedo, « Mambrini: Un balón en la mirada », sur www.juventudrebelde.cu, (consulté le ).
- (it) Nicola Bambini, « «Ho vinto il campionato a Cuba. L'avevo promesso a Fidel» », sur www.vanityfair.it, (consulté le ).
- (it) Remo Bellucci, « Mambrini re di Cuba: "Per Fidel" », sur www.corrieredellumbria.corr.it, (consulté le ).
- (it) Nicola Agostini, « 10 punti di penalizzazione per il Valfabbrica », sur www.eccellenzacalcio.it, (consulté le ).
- (it) Xabier Jacobelli, « Mambrini, il nostro uomo all'Avana: Cuba scopre il calcio », sur www.corrieredellosport.it, (consulté le ).
- (es) « Ganar y divertir », sur www.sierramaestra.cu, (consulté le ).
- (es) Mario Herrera, « Lorenzo Mambrini al frente de La Habana », sur www.elblogdelossocitos.blogspot.pe, (consulté le ).
- (es) Enio Echezábal Acosta, « La Habana subió de último al tren », sur www.juventudrebelde.cu, (consulté le ).
- (es) Mario Lara, « Pinar la sorpresa, Santiago la confirmación », sur www.futboldecuba.blogspot.pe, (consulté le ).
- (es) Mario Lara, « La tía de Mambrini », sur www.futboldecuba.blogspot.pe, (consulté le ).
- (es) Diego Noy Armentero, « Lorenzo Mambrini, posible técnico de “Los Tiburones” de Ciego de Ávila », sur www.radiosurco.icrt.cu, (consulté le ).