Les Siffleurs
Les Siffleurs (en russe : ĐĄĐČĐžŃŃŃĐœŃ ; Svistouny) est une nouvelle dâAnton Tchekhov, parue en 1885.
Les Siffleurs | |
Publication | |
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Auteur | Anton Tchekhov |
Titre d'origine | ĐĄĐČĐžŃŃŃĐœŃ - Svistouny
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Langue | Russe |
Parution | , dans Les Ăclats no 34 |
Historique
Les Siffleurs est initialement publiĂ© dans la revue russe Les Ăclats, no 34, du , sous le pseudonyme A.Tchekhonte[1]. Aussi traduit en français sous le titre Parasites[2].
Résumé
Alexis Vosmerkine fait visiter son domaine Ă son jeune frĂšre tout juste sorti licenciĂ© de lâuniversitĂ©. Fier de lui, il montre la forge, le bain, puis il entre dans le logement des domestiques qui sont en train de manger la soupe. Il lui vante les qualitĂ©s physiques et morales du paysan russe, supĂ©rieures Ă ses yeux aux Allemands et Français. Dâailleurs, il apprend tellement Ă leur contact ! Il prend lâexemple de Philippe le pĂątre, une force de la nature, puis dâEudoxie la vachĂšre qui nâest pas une allumette comme les filles de Saint-PĂ©tersbourg, mais l'incarnation de la nature selon lui. Enfin, AimĂ©e la chanteuse entame une chanson populaire avec les autres domestiques.
Son frĂšre, qui a allumĂ© un cigare pour chasser les odeurs dans la masure, note les paroles de la chanson dâAimĂ©e.
Les deux frĂšres sâen vont dĂ©jeuner en discutant du sens du mot intellectuel. Ă la fin du repas, ils ordonnent aux domestiques de chanter et danser devant eux.
Notes et références
- Dictionnaire Tchekhov, page 261, Françoise Darnal-LesnĂ©, Ădition L'Harmattan, 2010 (ISBN 978-2-296-11343-5)
- Parasites, dans Ćuvres de A.Tchekhov 1885, traduit par Madeleine Durand et Ădouard Parayre, Les Ăditeurs Français RĂ©unis, 1955, numĂ©ro dâĂ©diteur 431
Ădition française
- Parasites, dans Ćuvres de A. Tchekhov 1885, traduit par Madeleine Durand et Ădouard Parayre, Les Ăditeurs Français RĂ©unis, 1955, numĂ©ro dâĂ©diteur 431.