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Leopold Kozeluch

Leopold (Anton) Kozeluch (ou Kotzeluch ; en tchĂšque : KoĆŸeluh), nĂ© Ă  Velvary (royaume de BohĂȘme) le [1] et mort Ă  Vienne le [1], est un compositeur bohĂ©mien de la pĂ©riode classique viennoise.

Leopold Kozeluch
portrait
Leopold Kozeluch par William Ridley, 1797.
Nom de naissance Jan AntonĂ­n KoĆŸeluh
Naissance
Velvary
Drapeau de la BohĂȘme Royaume de BohĂȘme
DĂ©cĂšs (Ă  70 ans)
Vienne, Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche
Activité principale Compositeur, pianiste
Activités annexes Pédagogue, éditeur
Lieux d'activitĂ© Prague (1771–1778)
Vienne (1778–1818)
AnnĂ©es d'activitĂ© 1771–1818
MaĂźtres Frantisek DuĆĄek
Famille Katharina Cibbini-KoĆŸeluch(fille)

Il tient une place importante dans la musique pour clavier de la fin du XVIIIe siÚcle en contribuant au développement d'un style spécifique au piano-forte, au détriment de l'usage du clavecin.

Biographie

photo : maison natale
Maison natale de Koseluch à Velvary. DerriÚre le panneau, une plaque commémorative.
Divadlo v KotcĂ­ch

Leopold Kozeluch naĂźt Ă  Welwarn (aujourd'hui Velvary) Ă  25 km au nord-ouest de Prague dans une humble famille. Il est l'un des seize enfants d'un simple bottier. BaptisĂ© Jan AntonĂ­n, il change son prĂ©nom vers 1773[2] en Leopold, afin de se distinguer de son cousin et professeur Johann Antonin Kozeluch (1738–1814)[3], maĂźtre de chapelle Ă  la CathĂ©drale Saint-Guy de Prague de 1784 Ă  sa mort. Son patronyme, KoĆŸeluh (« tanneur » en tchĂšque) devient Kozeluch pour en faciliter la prononciation en allemand.

Son cousin Johann Antonin, lui-mĂȘme Ă©lĂšve de Josef Norbert Seger, se fait son premier Ă©ducateur musical. Il Ă©crit ses premiĂšres piĂšces Ă  l'Ăąge de onze ans. Puis il travaille la composition et le piano Ă  Prague, avec un autre cousin, Frantisek DuĆĄek (1731–1799)[3] (lui-mĂȘme Ă©lĂšve de Wagenseil, et ami de Mozart). Ses parents le poussent Ă  opter pour des Ă©tudes de droit. En 1771, au ThĂ©Ăątre national de Prague, ses premiers ballets et pantomimes pleins d'esprit, rencontrent un tel succĂšs qu'il en produit 24 autres en sept ans – tous sont perdus – et qu'il abandonne ses Ă©tudes de droit pour une carriĂšre musicale[2].

Vienne

En 1778, Ă  trente-et-un ans, il s'installe Ă  Vienne[3], oĂč il prend quelques leçons de Johann Georg Albrechtsberger. Ensuite il acquiert rapidement une solide rĂ©putation d'excellent pianiste, professeur et compositeur[2]. Tout le contraire en fait de la fameuse phrase de mĂ©pris de Leopold Mozart dans sa lettre Ă  son fils datĂ©e du : « M. Kozeloh-machin n'est plus Ă  Prague depuis longtemps, mais Ă  Vienne ».

Il compose la cantate sur la mort de Marie-ThĂ©rĂšse (1780) et devient professeur de piano Ă  la cour (aprĂšs Wagenseil et Steffan, devenu aveugle). Ses Ă©lĂšves de l'aristocratie sont Maria Theresia von Paradis, l'Archiduchesse Elisabeth von WĂŒrttemberg (premiĂšre Ă©pouse de l'empereur François Ier d'Autriche) ou Marie-Louise d'Autriche (fille de l'empereur et deuxiĂšme femme de NapolĂ©on Ier). En 1781, il se permet de refuser un poste d'organiste en remplacement de Mozart Ă  Salzbourg : « C’est surtout la conduite de l’archevĂȘque envers Mozart qui m’a rebutĂ©, car s’il a pu laisser partir un homme de cette trempe, quel traitement devais-je m’attendre Ă  subir de sa part ? » dira-t-il plus tard, Ă  l'un de ses amis. Mais la proposition dĂ©note la considĂ©ration dans laquelle on tenait le musicien et par son refus, des opportunitĂ©s qui lui Ă©taient offertes dans la capitale autrichienne.

Il commence Ă  publier ses Ɠuvres en 1784, simultanĂ©ment dans plusieurs maisons d'Ă©ditions europĂ©ennes, notamment en Angleterre, oĂč il est en correspondance avec John Bland, Robert Birchall et Lewis, Houston & Hyde. Le Magazin der Music[4] rapporte comment ses compositions Ă©taient considĂ©rĂ©es : « Herr KoĆŸeluch est un excellent compositeur. Il y a dans ses sonates beaucoup d’invention, de bonnes mĂ©lodies et un style de progression qui lui est propre. Les mouvements rapides sont trĂšs brillants et ingĂ©nus, les mouvements lents trĂšs mĂ©lodieux. Par consĂ©quent, nous pouvons assurĂ©ment les recommander aux amateurs qui pratiquent le clavier. » L'annĂ©e suivante, il fonde sa propre maison d'Ă©dition, qui repris plus tard sous le nom de deviendra la Musikalisches Magazin par son plus jeune frĂšre, AntonĂ­n TomĂĄĆĄ Kozeluch. En tant qu'Ă©diteur, il publie ses contemporains bohĂ©miens comme Krammar, ou Vanhal, mais aussi Haydn et Mozart. Pendant les annĂ©es 1790, il devient franc-maçon ; ses Ɠuvres sont jouĂ©es Ă  Londres avec celles de Joseph Haydn, lors des concerts Salomon aux Hanover Square Rooms.

L'État de Bohùme lui commande une cantate pour le couronnement (en tant que roi de Bohùme) de l'empereur Leopold II, qui obtient un vif succùs à Prague, le .

AprĂšs une lettre de candidature, Ă  l'accession de François II en 1792, il succĂšde Ă  Antonio Salieri Ă  la charge prestigieuse (bien rĂ©munĂ©rĂ©e[5] et de grand pouvoir) de maĂźtre de chapelle de la chambre et compositeur de la Cour impĂ©riale d'Autriche[1] (Kammer Kapellmeister et Hofmusik Compositor). NommĂ© le [2] il garde ce dernier poste jusqu'en 1813 – date Ă  laquelle Franz Krommer le remplace.

De 1798 Ă  1809, il effectue plusieurs sĂ©ries d'arrangements de chants irlandais, Ă©cossais et gallois (prĂšs de 170 en tout) pour l'Ă©diteur d’Édimbourg, George Thomson, qui l'enrichissent[2], au dĂ©triment, dĂšs 1804, d'autres compositions.

Bien que d'un statut social bien meilleur que ceux des plus grands compositeurs contemporains, il tombe dans l'oubli dĂšs sa disparition, comme nombre de ses confrĂšres bohĂ©miens de la mĂȘme Ă©poque tenus en haute estime (Vaƈhal, Krommer...). Beethoven ayant contribuĂ© Ă  jeter l'ombre sur le compositeur par un jugement nĂ©gatif Ă  son Ă©gard en 1812 – « miserabilis » avait-il dit –, colportĂ© ensuite par les musicologues[6].

Sa fille, Katharina Cibbini (1785–1858) Ă©tait aussi une pianiste (Ă©lĂšve de Clementi) et compositrice bien connue du dĂ©but du XIXe siĂšcle Ă  Vienne[2].

ƒuvres

Leopold Kozeluch s'il compose pour la scĂšne, l'opĂ©ra (tous perdus sauf un), laisse de la musique sacrĂ©e (qui ne sont que des arrangements d'Ɠuvres profanes[2] de ses propres Ɠuvres ou d'autres musiciens) et des symphonies (11), il s'intĂ©resse surtout au clavier. Il tient une place importante dans la musique du XVIIIe siĂšcle et contribue au dĂ©veloppement d'un style de piano idiomatique au dĂ©triment de l'usage du clavecin[2] - [7].

L'Ɠuvre pour clavier solo (selon les derniers chiffres : 55 sonates, mais en outre 65 trios et 23 concertos) embrasse la pĂ©riode de 1773 Ă  1810, avec ses trois derniĂšres sonates, demeurĂ©es inĂ©dites de son vivant. En ardent dĂ©fenseur du piano-forte, le corpus des sonates de Kozeluch, reprĂ©sentatif du style tchĂšque Ă  Vienne[2], figure sans pĂąlir aux cĂŽtĂ©s de Clementi, Dussek, Haydn et Mozart.

Le catalogue des 420 Ɠuvres, dont environ 250 originales nous sont parvenues, a Ă©tĂ© dressĂ© en 1964[8], par Milan PoĆĄtolka, reprĂ©sentĂ© par le « P ». Le musicologue distingue trois styles, indĂ©pendants de la chronologie de composition : ses compositions vocales dĂšs 1780 sont galantes dans le style viennois Roccoco, ses concertos et symphonies sont dans le style classique et une partie importante de son Ɠuvre pour piano annonce le style romantique et tragique ou pathĂ©tique de Beethoven, vers 1785–97. Sans toutefois possĂ©der de traits personnels qui le distingueraient nettement de la production viennoise de la pĂ©riode. La qualitĂ© de son travail est prouvĂ©e du fait que souvent ses Ɠuvres furent confondues avec celles de Mozart ou Haydn[9]. On trouve dans ses compositions de chambre notamment, des caractĂ©ristiques devanciĂšres de Beethoven ou mĂȘme Schubert[10].

Symphonies et ouvertures

  • P I: 1 – Symphonie en rĂ© majeur "L'Arlechino"
  • P I: 2 – Symphonie in ut majeur
  • P I: 3 – Symphonie en ut majeur, op. 22 no 1
  • P I: 4 – Symphonie en fa majeur, op. 22 no 2
  • P I: 5 – Symphonie en sol mineur, op. 22 no 3
  • P I: 6 – Symphonie en ut majeur, op. 24 no 1
  • P I: 7 – Symphonie en la majeur, op. 24 no 2
  • P I: 8 – Symphonie en sol majeur, op. 24 no 3
  • P I: 9 – Symphonie en ut majeur
  • P I:10 – Symphonie en la majeur « sinfonia Francese » (À la Française) (1790)
  • P I:11 – Symphonie en si-bĂ©mol majeur « L'irresoluto »
  • P I:A1 – Symphonie en la majeur
  • P I:D1 – Symphonie en rĂ© majeur (perdue)
  • P I:D2 – Symphonie en rĂ© majeur
  • P I:D3 – Symphonie en rĂ© majeur
  • P I:E1 – Symphonie en mi majeur
  • P I:F1 – Symphonie en fa majeur
  • P I:G1 – Symphonie en sol majeur
  • P II:1 – Symphonie concertante en mi-bĂ©mol majeur (1798) pour piano, mandoline, trompette et contrebasse
  • P II:2 – Symphonie concertante en ut majeur
  • P III:1 – Ouverture en sol majeur
  • P III:1 – Ouverture en sol majeur, op. 9
  • P III:2 – Ouverture en rĂ© majeur

Concertos

  • P IV: 1 – Concerto pour piano, op. 12, en fa majeur (1784–85)
  • P IV: 2 – Concerto pour piano, op. 13 en si-bĂ©mol majeur
  • P IV: 3 – Concerto pour piano, op. 11 en sol majeur
  • P IV: 4 – Concerto pour piano, op. 16 en la majeur (1785)
  • P IV: 5 – Concerto pour piano, op. 15 en mi-bĂ©mol majeur (1785)
  • P IV: 6 – Concerto pour piano en ut majeur
  • P IV: 7 – Concerto pour piano, op. 25 en rĂ© majeur
  • P IV: 8 – Concerto pour piano Ă  quatre mains en si-bĂ©mol majeur (ca. 1785)
  • P IV: 9 – Concerto pour clavecin en rĂ© majeur
  • P IV:10 – Concerto pour clavecin en rĂ© majeur
  • P IV:11 – Rondeau d’un concerto pour clavecin en mi-bĂ©mol majeur
  • P IV:12 – Concerto pour clavecin en mi majeur
  • P IV:13 – Concerto pour clavecin en fa majeur
  • P IV:14 – Concerto pour piano en fa majeur
  • P IV:15 – Concerto pour piano, op. 36 en ut majeur
  • P IV:16 – Concerto pour piano, op. 45 en mi-bĂ©mol majeur
  • P IV:17 – Concerto pour piano en ut majeur
  • P IV:18 – Concerto pour piano en ut majeur
  • P IV:19 – Fantaisie pour piano et orchestre en rĂ© mineur
  • P IV:20 – Concerto pour clavecin en mi majeur
  • P IV:D1 – Concerto pour clavecin en rĂ© majeur
  • P IV:D2 – Concerto pour piano en rĂ© majeur
  • P IV:F1 – Concerto pour clavecin en fa majeur
  • P V: 1 – Concerto pour clarinette en mi-bĂ©mol majeur
  • P V: 2 – Concerto pour clarinette en mi-bĂ©mol majeur
  • P V: 3 – Sonate pour clarinette et orchestre en mi-bĂ©mol majeur
  • P V:B1 – Concerto pour basson en mi-bĂ©mol majeur
  • P V:C1 – Concerto pour basson en ut majeur

Piano

  • P. XII: 3 – Sonate no 13 en mi-bĂ©mol majeur, op. 13 no 1 (1784)
  • P. XII: 4 – Sonate no 10 en ut majeur, op. 8 no 2 (1784)
  • P. XII: 5 – Sonate no 9 en ut majeur, op. 8 no 1 (1784)
  • P. XII: 6 – Sonate no 15 en mi mineur, op. 13 no 3 (1784)
  • P. XII: 7 – Sonate no 14 en sol majeur, op. 13 no 2 (1784)
  • P. XII: 8 – Sonate no 1 en fa majeur, op. 1 no 1
  • P. XII: 9 – Sonate no 2 en mi-bĂ©mol majeur, op. 1 no 2
  • P. XII: 10 – Sonate no 3 en rĂ© majeur, op. 1 no 3
  • P. XII: 11 – Sonate no 4 en mi-bĂ©mol majeur, op. 2 no 1
  • P. XII: 12 – Sonate no 5 en la majeur, op. 2 no 2
  • P. XII: 13 – Sonate no 6 en ut mineur, op. 2 no 3
  • P. XII: 14 – Sonate no 7 en rĂ© majeur, op. 5
  • P. XII: 15 – Sonate no 11 en ut majeur, op. 10 no 1 (1784)
  • P. XII: 16 – Sonate no 12 en ut majeur, op. 10 no 2 (1784)
  • P. XII: 17 – Sonate no 16 en sol mineur, op. 15 no 1 (1784)
  • P. XII: 18 – Sonate no 17 en ut majeur, op. 15 no 2 (1784)
  • P. XII: 19 – Sonate no 18 en la-bĂ©mol majeur, op. 15 no 3 (1785)
  • P. XII: 20 – Sonate no 19 en fa mineur, op. 17 no 1 (1785)
  • P. XII: 21 – Sonate no 20 en la majeur, op. 17 no 2 (1785)
  • P. XII: 23 – Sonate no 22 en fa majeur, op. 20 no 1 (1786)
  • P. XII: 24 – Sonate no 23 en ut majeur, op. 20 no 2 (1786)
  • P. XII: 25 – Sonate no 24 en rĂ© mineur, op. 20 no 3 (1786)
  • P. XII: 26 – Sonate no 25 en rĂ© majeur, op. 26 no 1 (1788)
  • P. XII: 27 – Sonate no 26 en la mineur, op. 26 no 2 (1788)
  • P. XII: 28 – Sonate no 27 en mi-bĂ©mol majeur, op. 26 no 3 (1788)
  • P. XII: 29 – Sonate no 28 en si-bĂ©mol majeur, op. 30 no 1 (1789)
  • P. XII: 30 – Sonate no 29 en sol majeur, op. 30 no 2 (1789)
  • P. XII: 31 – Sonate no 30 en ut mineur, op. 30 no 3 (1789)
  • P. XII: 32 – Sonate no 31 en fa majeur, op. 35 no 1 (1791)
  • P. XII: 33 – Sonate no 32 en la majeur, op. 35 no 2 (1791)

Oratorio

  • P. XVI:1 – MoisĂš in Egitto o sia La liberazione degl' Israeliti Azione sacra [Moise en Egypte ou La libĂ©ration des Israelites] (1787)
  • P. XVI:2 – La Giuditta, (ca. 1790–92)

Discographie

  • IntĂ©grale des 49 sonates pour piano-forte - Kemp English, pianos-forte : Paul Downie ; Thomas et Barbara Wolf d'aprĂšs Anton Walter (c. 1795) ; Joseph Kirkmann (c. 1798) ; Johann Fritz (c. 1815) ; clavecin Longman et Broderip-Thomas Culliford 1785 (2011–2017, 8CD Grand Piano)
  • 5 Sonates pour piano - Brigitte Haudebourg, piano-forte (1998, EMS AAOC-97072)
  • 3 quatuors Ă  cordes, op. 32 - Quatuor Stamic (22–, Supraphon 11 1529-2131) (OCLC 31358183)
  • 3 Symphonies : en rĂ© (P. I:3), sol mineur (P. I:5) et fa - Matthias Bamert, London Mozart Players (13-, Chandos CHAN 9703)
  • 4 Symphonies : en ut (P. I:16), la (P. I:10), rĂ© (P. I:1), si-bĂ©mol majeur (P. I:11) - Concerto Köln (Teldec)
  • 4 Symphonies : en la (P. I:7), ut (P. I:6), rĂ© (P. I:3), sol mineur (P. I:5) - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice, dir. Marek Ć tilec (26-, Naxos 8.573627)
  • Concertos pour piano 1, 4 & 5 - Tomas Dratva, piano ; Sinfonietta Slovaque de Ćœilina, Dir. Olivier von Dohnanyi (17–, Oehms OC 588)
  • Concerto pour clarinette et orchestre en mi bĂ©mol majeur sur Emma Johnson plays Clarinet Concertos by Crusell - Kozeluch - Krommer, par Emma Johnson et le Royal Philharmonic Orchestra, dir. GĂŒnther Herbig (ASV Records CD DCA 763, 1991)
  • Concertos pour clarinette, Sonate concertante - Dieter Klöcker, Prager Kammerorchester (16–, Orfeo C 193 061 A)
  • Concertos pour piano 1, 5 & 6 - Howard Shelley, piano et direction d'orchestre - London Mozart players (10-, HypĂ©rion CDA68154)
Disques partiels
  • Prague - 1770 : Sinfonia Francese en la majeur (P. I:10) (avec TĆŻma, Mysliveček) - Ensemble de chambre Suk, Dir. Joseph Vlach (, MDG 601 0316-2)
  • Concerto pour piano Ă  quatre mains et orchestre (avec Dussek) - Prague Piano Duo : Martin et Zdeƈka HrĆĄel, Philharmonie de chambre tchĂšque Pardubice, dir. LeoĆĄ Ć vĂĄrovskĂœ (Praga)
  • Symphony in G minor sur le CD Masters of Czech Baroque, Czech Chamber Philharmonic, dir. Vojtěch SpurnĂœ, BMG, 2003

Édition

Bibliographie

  • (cs) Milan PoĆĄtolka, Leopold KoĆŸeluh : ĆŸivot a dĂ­lo [« vie et Ɠuvres »] Prague, 1964.
  • (de) Christa Flamm, Leopold KoĆŸeluch : Biographie und stilkritische Untersuchung der Sonaten fĂŒr Klavier, Violine und Violoncello. Catalogue thĂ©matique, ThĂšse, UniversitĂ© de Vienne, 1968. (OCLC 38630044)

Articles

  • (en) Roger Hickman, Leopold Kozeluch and the Viennese quatuor concertant, College Music Symposium, xxvi (1986), p. 42–52. (OCLC 5542966132)
  • (en) Katalin KomlĂłs, The Viennese Keyboard Trio in the 1780s: Sociological Background and Contemporary Reception, Early Music, lxviii (1987), p. 222–234.
  • (en) LukĂĄĆĄ M. Vytlačil, « From Velvary, Bohemia, to the court in Vienna : The life of the imperial Kapellmeister Leopold KoĆŸeluh and a new complete edition of his keyboard sonatas », Czech Music Quarterly, Prague, vol. 16, no 2,‎ , p. 7–11. (ISSN 1211-0264, lire en ligne)

Généraux

  • Marc Honegger, Dictionnaire de la musique : Tome 1, Les Hommes et leurs Ɠuvres. A-K, Paris, Éditions Bordas, , 1232 p. (ISBN 2-04-010721-5), p. 587
  • Marc Vignal (Dir.), Dictionnaire de la musique, Paris, Éditions Larousse, , 1516 p. (ISBN 978-2-03-586059-0), p. 756
  • (en) Milan PoĆĄtolka, The New Grove Dictionary of Music and Musicians : Kozeluch [Kotzeluch, KoĆŸeluh], Leopold [Jan AntonĂ­n, Ioannes Antonius], Londres, Macmillan, (Ă©ditĂ© par stanley sadie) seconde Ă©dition, 29 vols. 2001, 25000 p. (ISBN 978-0-19-517067-2, lire en ligne)

Références

  1. Honegger 1979, p. 1232
  2. Grove 2001
  3. Vignal 2011, p. 756
  4. Magazin der Music, Hambourg 1783, p. 71.
  5. 1 500 florin par an.
  6. Dieter Kökler, livret du disque Symphonies concertantes CPO 777 009-2 p. 44.
  7. C'est ce qu'affirmait déjà Eduard Hanslick (Histoire de la vie musicale à Vienne, 1869) : on lui doit « la popularisation définitive du pianoforte ».
  8. Milan PoĆĄtolka, Leopold KoĆŸeluh, ĆŸivot a dĂ­lo [vie et Ɠuvres]. Prague, 1964.
  9. Livret du disque MDG Prague - 1770 p. 14.
  10. Livret du disque TchĂšques Ă  Vienne, musique pour trio CD Matou MK 0053 p. 8.
  11. En savoir plus sur l'Ă©dition, voir l'article Vytlačil 2016.

Articles connexes

Liens externes

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