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Le Diable des glaces

Le Diable des glaces (Sometimes They Come Back... for More) est un film américain réalisé par Daniel Zelik Berk, sorti en 1999 directement sur le marché vidéo. C'est une pseudo-suite du film Les Enfants du diable (1996), lui-même précédé de Vengeance diabolique (1991).

Le Diable des glaces

Titre original Sometimes They Come Back... for More
RĂ©alisation Daniel Zelik Berk
Scénario Guy Riedel
Adam Grossman
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Horreur
Durée 89 minutes
Sortie 1999

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Un massacre a lieu dans une base secrète américaine en Antarctique et l'armée y envoie deux enquêteurs, le capitaine Sam Cage et le major Callie O'Grady. Ceux-ci découvrent qu'il y a deux survivants : le docteur Jennifer Wells et le technicien Brian Shebanski. Tous les quatre sont bientôt confrontés à des forces maléfiques.

Fiche technique

  • RĂ©alisation : Daniel Zelik Berk
  • ScĂ©nario : Adam Grossman et Darryl Sollerh
  • Photographie : Christopher Walling
  • Montage : Todd Clark
  • Musique : Brian Langsbard
  • SociĂ©tĂ© de production : Trimark Pictures
  • Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Genre : horreur
  • DurĂ©e : 89 minutes
  • Dates de sortie :

Distribution

Production

Trimark Pictures a racheté les droits de Vengeance diabolique à Dino De Laurentiis pour en faire une sorte de suite qui reprend la même idée de départ de Cours, Jimmy, cours la nouvelle de Stephen King dont Vengeance diabolique est adapté. Cette suite, Les Enfants du diable, a connu un succès modéré en vidéo, ce qui a permis de produire une autre suite, Le Diable des glaces, film qui n'a quant à lui absolument rien à voir avec la nouvelle de Stephen King[1].

Accueil critique

Le film obtient 0% de critiques positives, avec une note moyenne de 3/10 et sur la base de 5 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes[2]. Pour Alexandre Poncet, de Mad Movies, le film « tente de refaire The Thing avec le budget chauffage du chef-d'œuvre de Carpenter » et « le résultat fait peine à voir », d'autant que le film est dépourvu « de la moindre séquence-choc »[1].

Notes et références

  1. Alexandre Poncet, « Again and More ! », Mad Movies, no HS 22,‎ , p. 87
  2. (en) Sometimes They Come Back for More sur Rotten Tomatoes

Liens externes

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