La Fille seule
La Fille seule est un film français réalisé par Benoît Jacquot et sorti le .
| Réalisation | Benoît Jacquot |
|---|---|
| Scénario |
Jérôme Beaujour Benoît Jacquot |
| Musique | AntonĂn Dvořák |
| Acteurs principaux | |
| Sociétés de production |
Cinéa La Sept Cinéma |
| Pays de production |
 France |
| Genre | Drame |
| Durée | 90 minutes |
| Sortie | 1995 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Valérie (Virginie Ledoyen), qui doit prendre son service au room service d'un hôtel parisien, vient d'annoncer à son petit ami Rémi qu'elle est enceinte. Lui ne sait pas comment réagir, elle doit partir. Le film suit Valérie, dont la journée est marquée par les relations parfois tendues, parfois sympathiques avec les nouveaux collègues et les clients. Elle téléphone à sa mère, va rejoindre Rémi dans une petite pause. Finalement, elle prend une décision.
Fiche technique
- Titre : La Fille seule
- Réalisation : Benoît Jacquot, assisté d'Antoine Santana
- Scénario : Jérôme Beaujour et Benoît Jacquot
- Montage : Pascale Chavance
- Images : Caroline Champetier
- Musique : AntonĂn Dvořák
- Production : Cinéa / La Sept Cinéma
- Pays : France
- Genre : Drame
- Durée : 90 minutes
- Date de sortie : 29 mai 1995
Distribution
- Virginie Ledoyen : Valérie Sergent
- Benoît Magimel : Rémi
- Aladin Reibel : Monsieur Sarre
- VĂ©ra Briole : Sabine
- Dominique Briole : la mère
- Virginie Emane : Fatiah
- Guillemette Grobon : Mme Charles
- Jean-Chrétien Sibertin-Blanc : Patrice
- Michel Bompoil : Jean-Marc
- Hervé Gamelin : Jean
Analyse
C'est un film en temps réel, excepté l'épilogue, mais lui aussi en temps réel.
RĂ©ception critique
Gérard Lefort, dans Libération estime que ce film « réglé sur le temps réel » sur un scénario a minima va, grâce aux qualités du réalisateur, au-delà du « seul challenge de sa construction temporelle », jugeant que ce « cinéma-honnêteté », qui fait notamment selon lui référence au travail de Chris Marker, décrit tout à la fois le « poids de réalisme social » et le questionnement romanesque autour de l'« énigme de la fille qui élude tous les affects », rôle porté par l'« excellence » du jeu de Virginie Ledoyen[1].
Distinctions
- César 1996 : nomination au meilleur espoir féminin pour Virginie Ledoyen.
Notes et références
- « Une fille seule dans de beaux draps » par Gérard Lefort dans Libération du 29 novembre 1995.
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- Cinémathèque québécoise
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (en) British Film Institute
- (pl) Filmweb.pl
- (en) IMDb
- (en) LUMIERE
- (de) OFDb
- (mul) The Movie Database