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L'Énigme du clos Mazarin

L'Énigme du clos Mazarin est un roman policier historique de Jean d'Aillon publié en 1997.

L'Énigme du clos Mazarin
Auteur Jean d'Aillon
Pays Drapeau de la France France
Genre Roman policier historique
Éditeur Le Grand Châtelet
Date de parution 1997
Nombre de pages 316
ISBN 2-911850-01-7
Chronologie
SĂ©rie Louis Fronsac

Résumé

En 1646, Mazarin donne une partie d'Aix à son frère Michel, archevêque, et l'autorise à la clore. En décembre, Michel vend ses droits sur ce clos à un Italien. Peu après, Mazarin demande à Louis d'enquêter sur Michel qu'il protège, mais qui a falsifié sa signature sur des lettres de provision vierges. Il octroie Gaston à Louis.

Ă€ Aix, on dit aux deux enquĂŞteurs que FrĂ©gier, maquereau, vend de ces lettres. Mais Louis le trouve Ă©gorgĂ© et prĂ©vient le prĂ©vĂ´t. Ils se rendent ensuite chez le moine Balthazar, or ce dernier a Ă©tĂ© tuĂ© dans la nuit. Blanche, prostituĂ©e de FrĂ©gier, leur rĂ©vèle qu'il a fait signer un bon de caisse Ă  Michel et qu'il Ă©tait ami de Balthazar. Bauer sauve Louis d'un tueur, pensant que c'est Venel, conseiller au parlement, mais ce n'est pas lui. C'Ă©tait BarthĂ©lĂ©my, secrĂ©taire de Forbin, vice-prĂ©sident du parlement, qu'ils font arrĂŞter. Louis dĂ©couvre qu'il s'agit en fait du petit-fils de Gaufredi, nĂ© Ă  Aix ! Il les fait se retrouver, et BarthĂ©lĂ©my avoue que Daret lui avait rĂ©vĂ©lĂ© que Louis devait ruiner Forbin pour que le parlement d'Aix obĂ©isse Ă  Mazarin.

Daret est le secrétaire de St-Marc qui a chassé Gaufredi il y a 40 ans. Daret avoue que c'est Gueidon, avocat à Marseille, qui lui a demandé de vendre ses lettres s'il ne voulait pas qu'il dénonce son meurtre passé, puis qu'il élimine Louis. Les enquêteurs lui révèlent que Gaufredi, président de la chambre des représentants, est son oncle, qu'il est de la même famille que Forbin qu'il hait. Les enquêteurs lui demandent de taire toute cette histoire.

Cependant, Forbin affirme aux enquĂŞteurs que si Mazarin renonce Ă  l'Ă©largissement du parlement, les lettres resteront sans valeur et soutient que c'est Boniface, cousin de Romani, leur hĂ´telier, qui lui a tout dit. Peu après, Louis et Gaston se font voler leurs armes, mais parviennent Ă  anĂ©antir une attaque perpĂ©trĂ©e par de faux moines. Une prostituĂ©e de FrĂ©gier est tuĂ©e par balle. Bauer tue Boniface qui allait tuer Louis, et Gaufredi blesse Romani, un complice. Louis trouve les lettres chez Romani. Celui-ci, avant de mourir, avoue que c'Ă©tait FrĂ©gier le chef, mais qu'il l'a tuĂ© et que Gueidon Ă©tait son complice. Gueidon dit qu'il Ă©tait complice de Fontrailles qui a tuĂ© FrĂ©gier ! Il rĂ©vèle toute l'affaire et se disculpe. Daret se suicide.

Louis menace Gueidon qui lui donne les 50 000 livres qu'il a touchées. Il les partage en cinq en comptant Barthélémy. Ce dernier accepte de rester. Il fait aussi un don anonyme à un notaire pour Michel pour paiement de ses droits sur le clos Mazarin.

Après le retour de tous à Paris, Mazarin crée un 2e parlement à Aix avant d'essuyer la Fronde en 1648 et celle des princes en 1650.

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