Kim Shin-jo
Kim Shin-jo (ęą€ě‹ ěˇ°, nĂ© le ) est l'un des deux seuls survivants des 31 membres de l'unitĂ© 124 nord-corĂ©enne envoyĂ©e en CorĂ©e du Sud pour assassiner le prĂ©sident sud-corĂ©en Park Chung-hee lors d'un raid sur la Maison Bleue en [1].
Kim Shin-jo
Naissance | |
---|---|
Nationalités |
sud-coréenne (depuis ) nord-coréenne |
Formation |
Berea International Theological Seminary (en) |
Activités |
Grade militaire |
---|
L'autre survivant, Pak Jae-gyong, parvient à retourner au Nord, mais Kim Shin-jo est quant à lui capturé par les forces sud-coréennes. Il est interrogé pendant une année par les autorités avant d'être libéré. Après être devenu citoyen sud-coréen en 1970, ses parents sont exécutés et ses proches sont purgés par les autorités nord-coréennes[2] - [3] - [4] - [5].
Kim devient plus tard pasteur de l'Ă©glise Sungrak Sambong Ă Gyeonggi-do. Il se marie et a deux enfants[6].
Notes et références
- (en) Flora Lewis, « Seoul Feels a Cold Wind From the North », New York Times,‎ (lire en ligne).
- (en) Sunny Lee, « What would Jesus do to North Korea? », Asia Times,‎ (lire en ligne).
- (en) John M. Glionna, « The face of South Korea's boogeyman », Los Angeles Times,‎ (lire en ligne).
- (en) Sébastien Roblin, « How North Korea's Crazy Commandos Tried to Kill South Korea's President », The National Interest,‎ (lire en ligne).
- (en) Mac William Bishop, « North Korean ex-assassin recalls 1968, when the Korean cold war ran hot », NBC News,‎ (lire en ligne).
- (en) Mark McDonald, « Failed North Korean Assassin Assimilates in the South », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le ).
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.