Jean-Marie Barre

Il entre en 1971 à l’école nationale des Beaux-arts d’Aix-en-Provence.

Se confrontant tout d'abord à la création de toiles de scène, il réalise ensuite des peintures murales, dont certaines de grands formats. Maître d'œuvre, il travaille en particulier sur la relation entre l'architecture, la narration et le lieu.

Il exerce également pendant trois ans le métier de journaliste (Le Film français, Vidéo 7, l'Evènement du jeudi).

C'est dans les années 1980 qu'il trouve son écriture en peinture. Son travail porte sur la mémoire personnelle et collective ainsi que sur le constat social.

Ce n'est qu'en 2010, après trois ans de remise en question, qu'il aborde une manière radicalement différente de peindre. Signant désormais JMB BARRE, il trouve une première métamorphose avec un travail de matière, abordé sur toile et en sculpture. Une nouvelle période est mise en œuvre à partir d'acrylique - et à mains nues - associant noir et blanc, puis une triade composée de noir, rouge, blanc. JMB s'inscrit dans l'abstraction depuis 2012.

• Galerie Grey, Cannes, 1992
• Galerie L’orangeraie, Saint-Paul-de-Vence, 1992, 1994, 1995, 1996
• Galerie Tempera, Bruxelles, 1996
• Galerie Zabbeni Vevey, Suisse, 1997
• Salon Comparaisons, Grand-Palais, Paris, 1992, 2001
• Figuration critique, Grand-Palais, Paris, 1992, 1994
• Société Nationale des Beaux-arts, Paris, 1993
• Exposition France-Japon Tokyo, Osaka, 1993-1994
• Hôtel de Ville de Lausanne, Suisse, 1993
• Figuration Critica 2, Fondation Santillana, Espagne, 1993
• Espace JGS, Bd Haussmann, Paris, 1999-2000
• Galerie des Arches, Paris, 2007
• Les Conquérants, APACC, Montreuil, 2010
• Entrée en matière, HB55, Berlin, 2013

• (fr) « Jean-Marie Barre », sur l'encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain