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Je ne trompe pas mon mari !

Je ne trompe pas mon mari ! est une comédie en trois actes, de Georges Feydeau, écrite en collaboration avec René Peter[2], représentée pour la première fois à Paris, le 18 février 1914[3], sur la scène du théâtre de l’Athénée et reprise sur la même scène le 9 décembre 1916[4] - [5].

Je ne trompe pas mon mari !
dessin de Luc paru dans Le Journal amusant du 28 février 1914
dessin de Luc paru dans Le Journal amusant du 28 février 1914

Auteur Georges Feydeau
René Peter
Genre Vaudeville
Nb. d'actes 3
Musique de scène Au deuxième acte,Chanson Agrache (Albert Chantrier)[1]
Date de création en français 18 février 1914
Lieu de création en français Théâtre de l’Athénée
Représentations notables
  • 1916 : Théâtre de l’AthĂ©nĂ©e
Personnages principaux
  • Saint-Franquet,
  • Mlle Bichon
  • Mme Plantarède
  • M. Plantarède
  • Misse Dotty
Lieux de l'action
  • Acte I : Le jardin d'un hĂ´tel Ă  Châtel-Sancy (Auvergne);
  • Acte II : Atelier de Saint-Franquet ;
  • Acte III : Chez Saint-Franquet ;

200 représentations lors de la création[6].

Argument

Le peintre Saint-Franquet, le meilleur ami de M. Plantarède, fait la cour à Mme Plantarède. Et comme elle ne veut pas tromper son mari, Saint-Franquet gifle Des Saugettes, un petit gigolo, qui soupire pour Mme Plantarède. Miss Doty, une américaine milliardaire, fille du roi du cochon, veut épouser Saint-Franquet, malgré son fiancé Tommy. Saint-Franquet se remet avec son ancienne maitresse Mlle Bichon, une grue, étoile de café-concert.

Bichon, devient Mlle de Jouy, par la volonté du Ministère des Affaires Etrangères, aux menus plaisirs du Shah. Saint-Franquet se dispute, avec sa maîtresse, Bichon. Elle déclare qu'elle a un protecteur et lui téléphone; il arrive. C'est Plantarède.

Mme Plantarède, trompée, veut se venger, et se décide enfin à tromper son mari, la voici qui, elle arrive chez Saint-Franquet, au moment où celui-ci vient de promettre à Miss Doty de l'épouser. Saint-Franquet couche chez lui avec Mme Plantarède. Mme Plantarède aidée de Bichon persuade M. Plantarède qu'elle ne l'a jamais trompé, elle a simulé un adultère pour se venger. Saint-Franquet épouse Dotty, celle-ci imaginant que c'est par suite d'une erreur d'enveloppe qu'il lui a adressé une lettre de rupture.

Distribution

Distribution : 10 hommes – 6 femmes.

Rôles Première

Théâtre de l’Athénée
Reprise

Théâtre de l’Athénée
Reprise

Théâtre Antoine
Saint-Franquet Lucien Rozenberg Lucien Rozenberg Jacques Louvigny
Micheline Plantarède Lucile Nobert[7] Lucile Nobert Lucienne Givry[8]
M. Plantarède Lucien Cazalis[9] Albert Fertinel[10]
Bichon/Blanche de Jouy Betty Daussmond Armande Cassive Arletty
Miss Doty Alice Nory Camille Calvat[11] Juliette Malherbe[12]
Des Saugettes Paul Ardot[13] Jacques Louvigny
Tommy Dillon
Mme Giclefort Virginie Rolland[14] Virginie Rolland
Le gérant d'hôtel Cousin

Représentations notables

Références et notes

Notes
    Références
    1. Albert Chantrier. Musique de scène : "Chanson Agrache" du 2ème acte, pour chant et piano
    2. René Peter (1872-1947) sur data.bnf.fr
    3. « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
    4. Georges Feydeau, Je ne trompe pas mon mari (lire sur Wikisource)
    5. « La Rampe », sur Gallica, (consulté le )
    6. Georges Schmitt, « Mlle Alice Nory », La Rampe, no 6,‎ , p. 10 (lire en ligne, consulté le ).
    7. Lucile Nobert sur data.bnf.fr
    8. Lucienne Givry sur data.bnf.fr
    9. Lucien Cazalis sur data.bnf.fr
    10. Albert Fertinel sur data.bnf.fr
    11. Camille Calvat sur data.bnf.fr
    12. Juliette Malherbe sur data.bnf.fr
    13. Paul Ardot sur data.bnf.fr
    14. Virginie Rolland sur data.bnf.fr
    15. « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
    16. « Comoedia », sur Gallica, (consulté le )
    17. « La Rampe », sur Gallica, (consulté le )

    Liens externes

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