Heinrich Maria Davringhausen

Gedenkstein en souvenir de Davringhausen, à Aix-la-Chapelle.

L’autodafé de l’ère hitlérienne détruisit la majeure partie de son œuvre de 1920-1924 en Allemagne, il figurera dans l’exposition « Entarte Kunst », Art dégénéré ou Tarré.

Dès 1936, il part en exil, en 1939 il se retrouve à Cagnes sur Mer, en 1940 il est interné au camp des Milles. De 1940 à 1943, il est dans le vieux Cagnes sur Mer avec d’autres peintres amis dont Jean Villeri, Geer Van Velde, etc. En 1943 occupation de la zone libre, il se refugie en Isère, en Auvergne …pour en 1945 revenir à Cagnes sur Mer pour y rester jusqu’à sa mort.

• Heinrich M. Davringhausen. Vom Expressionismus bis zur Neuen Sachlichkeit. Buch zur Ausstellung. Hrsg. v. August Macke-Haus, Bonn 2013.
• Dorothea Eimert (de): Heinrich Maria Davringhausen 1894–1970. Monographie und Werkverzeichnis. Köln 1995.
• Emilio Bertonati: Neue Sachlichkeit in Deutschland. Herrsching 1988, (ISBN 3881994475).
• Joachim Heusinger von Waldegg (de): H. M. Davringhausen. Rheinland, Köln 1977, (ISBN 3-7927-0290-8).

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