Gouvernement Hamani Diori (2)

1. Président : Hamani Diori
2. Ministre de l'intérieur : Diamballa Yansambou Maïga
3. Ministre des finances : Courmo Barcougné
4. Ministre des travaux publics, des mines et de l'urbanisme : Léopold Kaziendé
5. Ministre de l'économie rurale : Maïda Mamoudou
6. Ministre de l'éducation nationale : Harou Kouka
7. Ministre des affaires sahariennes et nomades, des postes et télécommunications : Mouddour Zakara
8. Ministre de la défense nationale : Noma Kaka
9. Ministre de la justice : Mahamane Dandobi
10. Ministre de la fonction publique : Amadou Issaka
11. Ministre de la santé publique : Issa Ibrahim
12. Ministre des affaires économiques, du commerce et de l'industrie : Barkiré Halidou
13. Ministre de l'information et de la jeunesse : Boukary Sabo

Un peu plus de deux ans après sa création, le portefeuille des affaires étrangères est à nouveau une des compétences exclusives du président de la République[2]. Amadou Mayaki et Issoufou Saïdou Djermakoye quittent le gouvernement. Six ministres conservent leur portefeuille et six personnes entrent au gouvernement : Noma Kaka, Mahamane Dandobi, Amadou Issaka, Issa Ibrahim, Barkiré Halidou et Boukary Sabo[2].

Abdou Sidikou est nommé secrétaire d'État chargé des affaires étrangères le 14 avril 1967. Pour des raisons de santé, il doit abandonner les affaires étrangères et est nommé secrétaire d’État à la Présidence le 15 janvier 1970[3]. Le portefeuille de ministre des affaires étrangères est rétabli et confié à Courmo Barcougné. Lors de ce remaniement, Mahamane Dandobi quitte le gouvernement et plusieurs ministres changent de portefeuille[1].

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