Gettysburg Cyclorama
The Battle of Gettysburg (en français : La Bataille de Gettysburg) , mieux connue comme le Gettysburg Cyclorama, est un cyclorama peint en 1884 par le panoramiste Paul Philippoteaux dépeignant la charge de Pickett lors de la bataille de Gettysburg le [1].
Artiste | |
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Date | |
Type | |
Dimensions (H Ă— L) |
7 Ă— 84 m |
Localisation | |
Coordonnées |
39° 49′ 01″ N, 77° 14′ 01″ O |
La peinture panoramique mesure environ 7 mètres de haut sur 84 mètres de large[2].
Quatre versions ont été peintes, la plus notable étant située au Musée de Gettysburg (en) du Gettysburg National Military Park à la suite de son achat en 1942[3] - [1].
Versions et lieux d'exposition
Bâtiment Cyclorama de Gettysburg
Le Bâtiment Cyclorama de Gettysburg (en) imaginé par l'architecte Richard Neutra fut créé afin d'accueillir la peinture panoramique de La Bataille de Gettysburg de Paul Phillippoteaux.
En 2013, le bâtiment est détruit. Il était abandonné depuis le retrait pour restauration de la peinture panoramique The Battle of Gettysburg en 2008[4]. La peinture panoramique est déplacée et exposée au Musée de Gettysburg (en) à environ 1,5 km de son ancien emplacement[1] - [4].
Bâtiment Cyclorama de Boston
Une des versions fut longtemps exposée dans le Bâtiment Cyclorama de Boston (en) exploité par le Centre des Arts de Boston (en) à Boston dans le Massachusetts.
Cette version exposée depuis 1884 est remplacé en 1889 par une autre peinture panoramique, Custer's Last Fight.
Bibliographie
- (en) Dean S. Thomas, The Gettysburg Cyclorama: A Portrayal of the High Tide of the Confederacy, Gettysburg, Pennsylvanie, Thomas Publications, (ISBN 0-939631-14-8).
Notes et références
- (en) « Gettysburg Cyclorama » , sur gettysburgfoundation.org (consulté le )
- (en) Craig Jarvis, « Triangle trio buys massive painting », The News & Observer,‎ (lire en ligne , consulté le )
- (en) « The Gettysburg Cyclorama - Gettysburg National Military Park », sur National Park Service (consulté le )
- (en) Amy Worden, « Gettysburg's Cyclorama building is no more » , sur inquirer.com, (consulté le )