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François Sarre

François Sarre est un musicien et auteur-compositeur limousin né le à Boisseuil et mort le à Limoges[1].

François Sarre
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  87 ans)
Limoges
Nationalité
Domicile
Activités
Autres informations
Distinction

Biographie

François Sarre est né près de Boisseuil au moulin de Lanaud le 15 octobre 1854.

À l'école de Pierre-Buffière, il se fait remarquer par son amour des études et de la musique. Désirant poursuivre son instruction musicale, il se fixe en 1879 à Limoges.

C’est au contact de Paul Charreire, maître de chapelle de la cathédrale de Limoges, qu’il se sent irrévocablement attiré par la musique. Il compose de nombreuses mélodies, des chants religieux et un opéra. Il harmonise de nombreux chants traditionnels limousins. Cette reconstitution de chants anciens en assurera leur pérennisation.

La vie de François Sarre ne se résume pas seulement à « Lo Brianço » !

Il pratique plusieurs instruments, dirige fanfares, orchestres, chorales et organise de nombreuses manifestations musicales.

L’État institue un concours pour l’enseignement de la musique dans les lycées, collèges et écoles normales : il en sera l’un des premiers lauréats.

Il enseigne le chant au collège de jeunes filles et dans plusieurs écoles communales de Limoges, écrit dans des journaux musicaux de Paris des articles où il expose sa pédagogie de l’enseignement du chant et du solfège, publie une méthode de solfège et de calligraphie musicale complétée de l’invention d’une plume spéciale pour écrire la musique. Il a formé de nombreux élèves jusqu’à un âge très avancé.

À son décès, la presse locale écrivit :

À 87 ans, le papa Sarre, petit homme remuant, trépidant, courtois, aimable, passionné de son art, professait encore, faisant profiter ses nombreux élèves de son expérience qui était grande.(Valant)[2]

Lo Brianço

"Lo Brianço", qui n'est pas un chant du folklore limousin, garde une empreinte intimement liée au lyrisme que tout bon Limousin laisse jaillir de son cœur. Ce chant est devenu un véritable signe de ralliement (elle était chantée par les poilus de 14, prisonniers en Allemagne).

François Sarre en écrivit la musique en 1897 à la demande de M. Lagueny, éditeur de musique à Limoges, mais également parce qu'il chante, fait revivre toute cette région qui lui est si chère et que sillonne la Briance.

Avant d’être une chanson, La Briance a été un poème créé par Joseph Mazabraud (bfm-3258 page 94). Il y eut au moins une autre harmonisation de cette chanson mais Joseph Mazabraud exigeait :

« cette nouvelle forme est la seule que j’autorise à reproduire et seulement avec la musique nouvelle de M. Sarre » [3]

En effet, cette version chantée ne prenait pas en compte toutes les paroles initiales. Certains vers ont été modifiés et des couplets rajoutés ; Le journal Centre Presse s'en fit l'écho plusieurs fois en 1974[4] - [3]

Elle fut chantée pour la première fois chez Monsieur Roudaud, maire de Pierre-Buffière, par les jeunes de cette cité sous la baguette de François Sarre et obtint le 2e prix du concours musical « Les églantines »[5] - [6]

Initialement composée pour voix de baryton et piano, La Briance a fait l'objet d'harmonisation pour chœurs et orchestres d'harmonie.

Autres compositions

François Sarre a composé une centaine de pièces (chansons, mélodies), un recueil de cantiques et un opéra.

L'harmonisateur

Un aspect très attachant du  talent musical de François Sarre se manifeste dans les mĂ©lodies du folklore limousin. ProfondĂ©ment Ă©pris de sa terre natale, imprĂ©gnĂ© de la poĂ©sie et de la saveur des vielles coutumes, des traditions, des anecdotes et des chansons qui animaient les fĂŞtes de famille et veillĂ©es de son enfance, il a intensifiĂ© la poĂ©sie, l'Ă©motion, la malice, l'humour de ces chants populaires patois en les transcrivant pour chĹ“urs mixtes. Il y a introduit sa subtilitĂ© et son talent d'harmonisateur.

« M. Sarre entreprend la reconstitution de ces chants anciens, dans lesquels vibrent, pour ainsi dire, les sentiments intimes du pays natal. Sentiments naĂŻfs, simples gĂ©nĂ©ralement, mais d'oĂą reste bannie toute trivialitĂ©. Sans crainte du contraste, en transportant des sujets rustiques sur une scène ou cravates blanches et gracieuses dentelles se font vis-Ă -vis, notre maĂ®tre harmoniste, instaurateur convaincu, veut coopĂ©rer au rappel instructif des mĹ“urs pastorales, Ă  la mise en relief des astucieuses ingĂ©nuitĂ©s de la bergère et surtout Ă  la glorification de ce nourricier du genre humain qu'est le paysan. Les vastes ressources de l'harmonie imitative ne sauraient avoir plus noble emploi. Â» [7]

Nos chansons limousines, dont on disait "Ce n'est peut-ĂŞtre pas de la bien savante musique que celle que l'on entend sur nos bruyères, mais c'est le souffle du pays empreint de l'âpre parfum des genĂ©vriers de nos montagnes" et sur lesquelles le barde breton Th. Bortel Ă©crivait "C'est savoureux comme un plat de châtaignes arrosĂ© de cidre ou de vin doux" et Jean Lagueny (Ă©diteur de ces chansons) de rajouter : "Nos chansons retentiront longtemps encore et se transmettront Ă  nos descendants, car elles extĂ©riorisent un sentiment qui tient profondĂ©ment au cĹ“ur du vrai Limousin ; l'amour de la Petite Patrie."

Dans "Lou mossour et lo Barjeiro", c'est l'Ă©pisode que l'on trouve dans maintes rĂ©gions : la bergère incorruptible et sĂ©vère devant le Monsieur entreprenant et trompeur. Ailleurs, c'est la fureur immodĂ©rĂ©e de celle qui a Ă©pousĂ© "un vieux jaloux", par cupiditĂ© sans doute, malgrĂ© les conseils de sa mère... Quel charme tranquille, ouatĂ©, un peu mystĂ©rieux se dĂ©gage des basses introduisant la plainte de celui qui veille seul au clair de lune, sĂ©parĂ© de "sa mie a qui le cĹ“ur fait tant de mal", sĂ©parĂ© de sa mie par les montagnes, les vallons, thème cher Ă  d'autres rĂ©gions montagneuses (Georges Verge, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration musicale de la Haute-Vienne)

L'enseignant

François Sarre enseigne dans les écoles publiques de Limoges dès 1878 (notamment à l'école de garçons du Pont-Neuf [8] puis à l'école de filles en 1882 [9]

Il obtient en 1887 le « Certificat d’aptitude à l’enseignement du chant dans les écoles communales et écoles primaires supérieures » [10], ce qui lui permet d'enseigner au collège puis lycée de jeunes filles de Limoges (actuellement lycée Léonard-Limosin) dès 1902 [11] jusqu’en 1919[11] date à laquelle il sera à 65 ans - à la suite d'une directive du ministère de l’instruction publique instituant le principe de féminisation du personnel des établissements de jeunes filles - remplacé par un professeur femme[12].

En juin 1886, Émile Labussière engage une réorganisation de l'enseignement du chant dans les écoles sur les bases des travaux de François Sarre [13]

Il instituera, non sans mal [14], une nouvelle pédagogie de l'enseignement du chant. Elle sera utilisée dans la quasi-totalité des écoles communales de Limoges [15]. Cette pédagogie, développée notamment dans une série d'articles publiés dans Le Parnasse (bulletin musical 1884-1885) s'appuie sur un ensemble de 6 cahiers de solfège pratique qu'il publiera.

Ces cahiers permettaient d’enseigner en même temps aux élèves la lecture et l’écriture musicale ; ils étaient disposés de façon à être utilisés directement comme des cahiers d’écriture ordinaires. Les explications étaient jointes aux exercices.

Ils étaient composés de quatre parties :

  • ThĂ©orie indispensable
  • Exercices graduĂ©s destinĂ©s Ă  ĂŞtre lus chantĂ©s puis recopiĂ©s
  • ThĂ©orie complĂ©mentaire (4e de couverture)
  • Questionnaire musical dont les rĂ©ponses devaient ĂŞtre apprises par cĹ“ur (3e de couverture)

Le pionnier

Salles de concert

En juillet 1882, considérant que le théâtre municipal n’est pas adapté, il fait transformer le cirque Plège de la place de la République en salle de concert [16]. Cet évènement révèle le manque crucial d’une véritable salle de concert à Limoges.

« Il y a lĂ  vraiment une grande et utile chose Ă  faire et nous comprenons qu’elle tente le vif et ardent esprit de M. Sarre. Est-ce lui qui la mènera Ă  bonne fin ? Nous le souhaitons, mais que ce soit M. Sarre ou tout autre bon citoyen il faudra, bon grĂ© mal grĂ©, que Limoges arrive Ă  possĂ©der une salle de ce genre, et le jour oĂą elle sera bâtie, tout le monde se demandera comment il se fait qu’on ait attendu pour l’avoir » [17]

Il sera effectivement transformĂ© en salle de concert Ă  la fin du XIXe siècle et sera renommĂ©, pour l’occasion salle Berlioz. Il sera dĂ©truit en 1953 en raison de sa vĂ©tustĂ©.

Entre-temps, sera inauguré en 1926 un nouveau cirque-théâtre.

Conservatoire de musique

En 1887, Adrien Tarrade, maire de Limoges, charge François Sarre de l’élaboration d’un projet de création d’un conservatoire de musique.

François Sarre proposera pendant deux ans plusieurs projets (en 09/1887[18] et en 02/1888[19]) qui n'aboutiront jamais compte tenu de l'impératif imposé par la municipalité de ne pas dépenser plus que le budget actuel de l'enseignement du chant dans les écoles (6500frs, correspondant à 2 heures de cours par semaine et par école)[20]. Mission quasi impossible dans un environnement qui en plus n'était pas des plus favorables :

  • Une commission de l'instruction publique chargĂ©e d'examiner les projets  loin d'ĂŞtre convaincue ; lors du conseil municipal du 7 novembre 1887, elle ira mĂŞme jusqu'Ă  demande au conseil municipal de statuer sur l'utilitĂ© de l'enseignement du chant dans les Ă©coles[21].
  • Un inspecteur du chant frileux quant aux nouvelles mĂ©thodes d'enseignement du chant. Celle de François Sarre[22] ?
  • Un niveau de formation du corps enseignant insuffisant « Chacun se dit musicien, dès qu’il sait lire la musique, ou tapoter sur le piano ; ceux qui en savent un peu plus deviennent professeurs… » [23]
  • Une rĂ©ticence de certains professeurs de musique « Un revirement favorable, aussi subit qu’inattendu, vient de se produire parmi les professeurs de musique qui, de parti pris, s’étaient jusqu’à prĂ©sent montrĂ©s hostiles Ă  l’organisation du conservatoire » [24]

Le conseil municipal décidera toutefois en 1888 de créer le Conservatoire de Musique mais il ne sera jamais mis à exécution.

Un article de la presse en 1902 en attribua la responsabilitĂ© au « dĂ©cès inopinĂ© Â» de M. Tarrade. LI-02-page 3701 Il faudra attendre d’autres projets pour qu’en 1910 l’école soit enfin inaugurĂ©e le 15 aoĂ»t 1910 lors du concours international !

 XVIIe fĂŞte fĂ©dĂ©rale de gymnastique en 1891.

Obéissant aux rythmes d’une fanfare qui accentuaient leurs mouvements, de nombreux gymnastes manœuvraient avec la plus grande précision ; musique et gymnastique étaient combinées de telle sorte qu’au temps final de chaque exercice, musiciens et gymnastes s’arrêtaient net comme un seul homme. La réussite de cette entreprise ne manqua pas de provoquer l’admiration des spectateurs présents et M. Prudhomme, le dévoué président de la société qui avait bien voulu favoriser et même coopérer à l’expérience en question, fut si agréablement surpris du succès obtenu par la tentative de M. Sarre qu’il se promit bien de faire des efforts pour divulguer les avantages d’une pareille adaptation à la musique.

L’idée était nouvelle pour Limoges et, sans pouvoir affirmer que cette innovation n’avait pas été tentée ailleurs, nous pouvons dire que ce n’est que postérieurement à cette date (1891) que l’accompagnement par des musiques instrumentales a été mis en pratique un peu partout[25].

Bibliothèque de partitions

Soucieux de faire faire des économies à la municipalité de Limoges François Sarre propose de constituer une bibliothèque de partitions mises à disposition des écoles[26] - [27].

Son projet sera accepté et mit en place en 1884[28].

Le directeur

Le dynamisme de François Sarre est attesté par son investissement au sein de plusieurs organisations avec lesquelles il organisera de nombreuses manifestations et concerts.

À 26 ans il est déjà délégué de l’Association Départementale de Compositeurs de Musique, Professeurs, Artistes, Exécutants et Amateurs [29]En 1881, il fonde la Société Musicale du Pont-neuf (25 exécutants, 25 membres d’honneur à la création, elle dispense des cours de solfège et d’instrument) [30]. En 1886, elle prendra le nom de Union musicale de Limoges [31]

Il dirige la Chorale de l’Union des Amis.

En 1900, il fonde le Cercle musical de l’enseignement dont l'objectif est de favoriser la propagation de l’enseignement du chant dans les écoles de la région et de l’art musical en général. Il est constitué d'une chorale de dames, d'une chorale d'hommes et d'un orchestre [32]

En 1947, l’Union Musicale de Limoges fusionnera avec la Fanfare Municipale pour devenir l’Union Harmonique Municipale de Limoges

C'est à la tête de ces groupes qu'il participe à de nombreuses manifestations dont certaines ont été particulièrement remarquables:

  • En 1891, Ă  l'occasion de la 17e FĂŞte fĂ©dĂ©rale de gymnastique (1200 participants), il sera l’initiateur de l’accompagnement musical de mouvements de gymnastique [33]
  • En 1903, il organise « Les fĂŞtes du couronnement de la Muse » Ă  l’occasion de la grande exposition de Limoges. Il dirige les chĹ“urs et Gustave Charpentier (compositeur de l’œuvre lyrique "Le Couronnement de la Muse") la partie orchestrale [34]
  • En 1904, au cours de la fĂŞte de l’école laĂŻque, 1500 choristes y interprètent sous sa baguette La Marseillaise LI-06
  • Le 8 septembre 1913, il dirige le Cercle Musical de l'Enseignement, les Enfants de Limoges, et l'Union Chorale rassemblĂ©s lors de la venue Ă  Limoges du prĂ©sident PoincarrĂ©.
  • En 1886/1887, il participe au projet du concours national de Limoges d’orphĂ©ons, de musique d’harmonies et de fanfares dont il assure la rĂ©daction du règlement et oĂą il fait partie de la section musique[35]. Son chĹ“ur « Nature et son roi » y sera prĂ©sentĂ© comme Ĺ“uvre imposĂ©e.

Il continuera en 1897, 1910 et 1932 à être membre de l’organisation et membre du jury des autres Concours nationaux de Musique organisés par Limoges.

Généalogie

Généalogie de François Sarre

Les honneurs

  • François Sarre a Ă©tĂ© dĂ©corĂ© des palmes acadĂ©miques (officier d'AcadĂ©mie)
  • Plusieurs rues portent son nom Ă  Boisseuil, Ă  Panazol, Ă  Le Vigen

Limoges n'a rĂ©ussi qu'Ă  lui dĂ©dier une misĂ©rable impasse ! Madeleine NoĂ«l-Sarre, sa fille, sollicitera en vain la municipalitĂ© jusqu'Ă  sa mort pour que ce choix soit reconsidĂ©rĂ©...

  • En juillet 1952, Ă  l'occasion des fĂŞtes de la Briance et Ă  la suite d'une dĂ©cision du conseil municipal de Pierre-Buffière, une plaque commĂ©morative est posĂ©e sur la maison de François Sarre, 2 rue Saint-CĂ´me en prĂ©sence notamment de LĂ©on Betoule, maire de Limoges et de monsieur Regaudie, dĂ©putĂ© et prĂ©sident du Conseil gĂ©nĂ©ral.

Conjointement, en mĂŞme temps Ă  Solignac, un hommage Ă©tait rendu Ă  Joseph Mazabraud.

Dans l'après-midi, une manifestation a été organisée au château de La Planche au Vigen : une douzaine de groupes folkloriques et musicaux s'y sont produits[36].

  • En novembre 1997, les Compagnons de la BrĂ©jaude en Limousin organisent les 100 ans de "Lo Brianço"

Ce fut l'occasion d'entendre cinq chorales interpréter Lo Brianço et d'autres chants populaires limousins.

Notes et références

  1. Relevé généalogique sur Geneanet
  2. Valant, « Un compositeur Limousin : François Sarre », Le Courrier du Centre,‎
  3. Fonds Lagueny cote 37J2 / Archives départementales de la Haute-Vienne
  4. Centre Presse du 18/01/1974, du 22/02/1974
  5. Per diverti lo gen de Jean Rebier – De la création à la popularisation – Magalí URROZ – août 2006
  6. Revue Lemouzi, 1897, page 321
  7. Article du Dr Pierre CH. Limoges illustré, 04-1911
  8. Arrêté municipal de nomination. Archives municipales de Limoges / cote 1R222
  9. Arrêté de nomination. Archives municipales de Limoges / cote 1R222
  10. Archives départementales de la Haute-Vienne / cote 1T943
  11. Registre des procès-verbaux d'installation. Archives départementales de la Haute-Vienne / cote 1831w62
  12. Lettre du Directeur de l'Enseignement Secondaire. Archives départementales de la Haute-Vienne / cote 1831w62
  13. Archives municipales de Limoges - comptes rendus conseil municipal 1886, page 357
  14. Lettre de François Sarre du 22/05/1912. Archives départementales de la Haute-Vienne / cote 1T943
  15. Lettre de François Sarre du 14/01/1886. Archives municipales de Limoges / cote 1R222
  16. Lettre de François Sarre publiée dans le Courrier du Centre du 8 juillet 1882
  17. Courrier du Centre, 8 juillet 1882
  18. Lettre de François Sarre du 26/09/1887. Archives municipales de Limoges - 1R263
  19. Lettre de François Sarre du 26/02/1888. Archives municipales de Limoges - 1R263
  20. Extrait du conseil municipal. Archives municipales de Limoges - cote1D81, page 546
  21. Extrait du conseil municipal du 7/11/1887. Archives municipales de Limoges.
  22. Extrait du conseil municipal. Archives municipales de Limoges, page 463
  23. Communication d'Adrien Tarrade lors du conseil municipal du 16/02/1888. Archives municipales de Limoges, cote 1D82, page 124
  24. Courrier de François Sarre au maire du 26/01/1889. Archives municipales de Limoges, cote 1R263
  25. Article sur le Courrier du Centre, 05/1891
  26. Courrier de François Sarre du 17/02/1884. Archives municipales de Limoges / cote 1R222
  27. Circulaire municipale du 30/04/1184. Archives municipales de Limoges, cote 1R222
  28. Formulaire municipal. Archives municipales de Limoges / cote 1R222
  29. Lettre de François Sarre au Préfet de la Haute-vienne du 23/12/1880. Archives départementales de la Haute-Vienne / cote 4T54
  30. Lettre de François Sarre au préfet de la Haute-Vienne du 25/12/1881. Archives départementales de la Haute-Vienne / côte 4T28
  31. Lettre de François Sarre du 21/12/1886 au maire de Limoges. Archives municipales de Limoges / cote 2R121
  32. Statuts de l'association. Archives départementales de la Haute-Vienne / cote 4T54
  33. Article du Courrier du Centre, 05/1891
  34. Article du Courrier du Centre du 01/07/1903
  35. Arrêté municipal du 31/07/1886. Archives municipales de Limoges / cote 2R127
  36. Programme de la fête. L'Écho du Centre - 5/7/1952

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