Fabienne Radi

Fabienne Radi naît le 12 décembre 1960 à Fribourg[1] - [2]. Elle est originaire de Pont-en-Ogoz, dans le même canton[1].

Depuis 2008, elle enseigne à la Head[3] - [4] à Genève, et au Collège des Humanités de l'EPFL à Lausanne[5]. Avec Carla Demierre et Izet Sheshivari, elle fonde et dirige la revue Tissu de 2004 à 2010[3].

Elle a publié des essais sur l'art (Ça prend. Art contemporain, cinéma et pop culture, Mamco, 2013, Oh la mon Dieu, Art&Fiction, 2015) et des micro-fictions (Cent titres sans Sans titre, Boabooks, 2014). En 2017, elle publie son premier récit de fiction, C'est quelque chose, aux Éditions D'autre Part.

Elle habite à Genève[6].

• Notre besoin de culotte est impossible à rassasier, Lausanne, art&fiction, coll. « ShushLarry », 2022, 192 p. (ISBN 978-2-88964-041-6, présentation en ligne)
• Le Déclin du professeur de tennis, Sombres Torrents, 2020, 76 p., (ISBN 978-2-490241-08-8)
• Émail diamant, Lausanne, art&fiction, coll. « ShushLarry », 2020, 178 p. (ISBN 978-2-940570-94-2, présentation en ligne)[7]
  Prix suisse de littérature 2022
• Holy, etc., Lausanne, art&fiction, coll. « ShushLarry », 2018, 124 p. (ISBN 978-2-940570-40-9, présentation en ligne)
• Peindre des colonnes vertébrales : & autres textes, Rennes, Sombres Torrents, 2018, 68 p. (ISBN 978-2-490241-00-2)
• C'est quelque chose, Genève, Éd. d'autre part, 2017, 96 p. (ISBN 978-2-940518-40-1)
  Prix des Trois-Chênes 2016
• Oh Là Mon Dieu. 5 histoires traitant de l'art par la bande, Lausanne, art&fiction, coll. « ShushLarry », 2015, 80 p. (ISBN 978-2-940377-92-3, présentation en ligne)
• Ça prend. Art contemporain, cinéma et pop culture, Dijon, Les Presses du Réel, coll. « Mamco / Musée d'Art contemporain de Genève », 2013, 224 p. (ISBN 978-2-940159-54-3)
• Cent titres sans Sans titre[5], boabooks
• Vingt-Quatre images[8]
• Smacks[4], boabooks

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