Accueil🇫🇷Chercher

Fédération française des techniciens et scientifiques du tourisme

Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents :

  • Les titres sont pré-formatés par le logiciel. Ils ne sont ni en capitales, ni en gras.
  • Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
  • Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
  • L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
  • Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
  • Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
  • Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « VisualEditor - Toolbar - citoid citepong derivative.png Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
  • Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
  • Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
  • Insérer une infobox (cadre d'informations à droite) n'est pas obligatoire pour parachever la mise en page.

Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification.

Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article.

Conseils d’utilisation

Après avoir apposé le modèle {{Suppression}} sur une page, suivez les étapes expliquées sur Wikipédia:Pages à supprimer :

Dans les années 60, il n'existait pour le tourisme en France que trois centres de formation à Nice, Paris et Strasbourg. Celui de Nice fut le premier à ouvrir en France avec un enseignement touristique dispensé depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. A cette période, l'Éducation Nationale a commencé à s'intéresser aux filières professionnelles. Encore mal identifié dans les milieux professionnels, les étudiants ayant obtenu un Brevet de Technicien ou un Brevet de Technicien Supérieur avaient du mal à faire reconnaître leurs diplômes auprès de leurs futurs employeurs.

Pour mettre en valeur leur formation, un petit groupe d'anciens étudiants de l'école de tourisme de Nice a décidé de se regrouper dans une association créée en 1965 à Nice à l'initiative de Maurice DUPUY, premier président, exerçant le métier d'agent de voyages. De 1969 à 1974, Claude MORIN a exercé la Présidence de la Fédération Française des Techniciens Supérieurs du Tourisme (F.F.T.S.T.). La présidence actuelle est assurée par Annette MASSON.

Cette association a suivi l'important développement du tourisme auquel elle a activement participé. Elle s'est inscrite dans l'accompagnement de l'accroissement rapide des besoins en encadrement.

Sommaire

Au service des diplômés en Tourisme

Les lycées et écoles de Tourisme se sont multipliés. Par ailleurs, nombre d'universités ont ouvert des départements s'intéressant à ce secteur d'activité. En 1991, l'association décide de s'élargir à l'ensemble des diplômés en Tourisme, à condition que le diplôme soit reconnu par le Ministère de l'Éducation Nationale. Son rôle est de valoriser ces diplômes auprès des professionnels, mais aussi d'aider les diplômés à trouver un travail, à développer leur carrière professionnelle, à se former.

La F.F.T.S.T. facilite également le parcours scolaire/universitaire des étudiants qui s'intéressent au tourisme en leur proposant, sur son site, un répertoire unique[1] des formations référencées par l'Éducation Nationale qui s'intéressent au tourisme.

Au service de la formation

Si la France est dans le TOP 20 au niveau de la compétitivité économique mondiale[2], selon le classement établi tous les 2 ans par le World Economic Forum, elle est solidement ancrée en 2e position[3] pour le secteur touristique. Cela est dû indubitablement à la spécificité de l'enseignement et la F.F.T.S.T. s'intéresse de très près à l'évolution des formations en tourisme. Dans les années 1980, elle avait du reste été membre de la Commission qui était chargée de réformer les BTS du Tourisme.

L'association participe même directement à la formation :

- des étudiants, en permettant à nombre d'entre eux de participer à des manifestations professionnelles,

- des enseignants, en intervenant dans des centres de formation sur des sujets particuliers, comme l'accès au tourisme d'une clientèle à besoins spécifiques ou la lutte contre l'exploitation sexuelle des enfants sous couvert de tourisme[4] (partenariats avec l'ECPAT).

Au service du Tourisme

En 1969, Maurice DUPUY et Claude MORIN participent à l'école hôtelière et de tourisme de NICE à la création de l'A.M.F.O.R.T. (Association Mondiale pour la FORmation dans le Tourisme) dont la F.F.T.S.T. devient l'un des membres fondateurs.

En 1973, Jean Noël CAILLAUD et Claude MORIN organise à l'hôtel PLM Saint Jacques à Paris, sous l'égide de la F.F.T.S.T., TOUREXPO le premier salon professionnel du tourisme. Devant le succès, une deuxième édition de TOUREXPO s'est tenue au palais des congrès de la Porte Maillot à PARIS.

Face à l'ampleur de l'évènement, la F.F.T.S.T. se rapproche du Syndicat des Agences de Voyages (S.N.A.V.) pour assurer la pérennité parisienne du salon qui deviendra le "Salon Mondial du Tourisme et des Voyages" (S.M.T.V.) qui a accueilli en 2020 plus de 100 000 visiteurs.

Notes et références

  1. FFTST, Annette MASSON, Anne BOURDON, « Liste des établissements de formations en tourisme », sur F. F. T. S. T. (consulté le )
  2. « Compétitivité mondiale : la France au 17ème rang », sur Forum Économique Mondial (consulté le )
  3. « Tourisme : la France reste le deuxième pays le plus compétitif au monde », sur Les Echos, (consulté le )
  4. « Guide FFTST ECPAT », sur www.guide-fftst-ecpat.com (consulté le )