Emilie Mediz-Pelikan

En 1883 Emilie Mediz-Pelikan devient la dernière étudiante d'Albert Zimmermann, dont elle avait été auparavant l'assistante à Salzbourg. Elle l'accompagne ensuite à Munich où il meurt en 1888. Elle vécut aussi à Dachau où elle fréquenta la colonie artistique (Dachau art colony (en)) qui s'y trouvait, ce qui lui permit de rencontrer Adolf Hölzel et Fritz von Uhde. Elle vécut aussi à Paris et Knokke[1] où fit la connaissance d'autres artistes.

C'est à Knokke qu'elle revit Karl Mediz qu'elle avait rencontré pour la première fois à Dachau. En 1891, ils partirent pour Vienne où ils se marièrent. N'y rencontrant que peu de succès, ils s'installèrent d'abord à Krems an der Donau où naquit leur fille, puis, à Dresdeen 1894 .

Elle connut sa première exposition majeure en 1898 au Palais de la Sécession, dans le cadre de la sécession viennoise. En 1903 elle fut invitée à exposer par le Hagenbund.

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  Blick von der Ruine Dürnstein ins Donautal.
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  Vue de Lokrum
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  Portrait d'une jeune femme.
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  Karl Mediz.
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  Châtaigniers en fleurs. Œuvre conservée à la Österreichische Galerie Belvedere[2]

• Erich Tromayer, Emilie Mediz-Pelikan. Bilder, Briefe, Gedanken, Auto-édition, Vienna, 1986
• Daniela Nittenberg, Das Frühwerk der Emilie Mediz-Pelikan, Thèse, Université de Vienne, 1990
• Therese Backhausen, Ménage à trois. Emilie Mediz-Pelikan und Karl Mediz, travail doctoral Université de Salzbourg, 2008

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  • (en) British Museum
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